Dvdclassik : cinéma et DVD

gnome a écrit : ↑13 oct. 21, 12:48 J'ai toujours aimé Jamais Plus Jamais....

J'ai toujours pensé que ce n'était pas celui qui avait les scènes d'action les plus ébouriffantes, les décors les plus fous, les moyens les plus somptueux, etc..

Mais c'était probablement celui où il y avait le plus de cinéma : c'est à dire, en l'occurrence, le plus de séquences soignées dans leur finition, le plus d'enchainements élégants.

Alexandre Angel a écrit : ↑14 oct. 21, 14:27

gnome a écrit : ↑13 oct. 21, 12:48 J'ai toujours aimé Jamais Plus Jamais....

J'ai toujours pensé que ce n'était pas celui qui avait les scènes d'action les plus ébouriffantes, les décors les plus fous, les moyens les plus somptueux, etc..

Mais c'était probablement celui où il y avait le plus de cinéma : c'est à dire, en l'occurrence, le plus de séquences soignées dans leur finition, le plus d'enchainements élégants.

Tu l'avais pourtant très mal noté dans ton excellente critique.

Tu ne peux que confondre (jamais écrit de critique de ce film sauf un avis comme ça, en cours d'échanges, positif et sans note )

Ah non pardon, c'était Julien Léonard !

James Bond et les femmes, vu par Charlie (Riss) :

Alice Coffin dans le rôle de Requin, ça serait plus flippant pour beaucoup que Christopher Waltz effectivement. Avec Simone Dr No de Beauvoir dans le rôle de Numéro 1 bien sûr.

Pour les fans de Roger Moore, il a débuté face à Elizabeth Taylor avec qui j’ai l’impression cela n’avait du tout collé (dans un interview, il ne tarit pas d’éloges en revanche pour Eleanor Parker, on dit même qu’il en était amoureux lors du tournage ensemble).

Difficile de ne pas tomber amoureux de Eleanor Parker.

Je me refais quelques James Bond en ce moment pour établir un classement. Pour le moment j’ai un peu de mal et quelques déceptions en revoyant les Sean Connery (notamment Bons baisers de Russie que je plaçais très haut jusqu’alors).
Revu Moonraker hier et je trouve que c’est un Bond très bien rythmé dans lequel on ne s’ennuie jamais d’autant plus que Lois Chilles est une Bond girl très agréable à suivre, totalement glamour (quel dos!) tout en étant toujours convaincante, que ce soit en scientifique ou lors de scènes d’action (puisque déjà en 79, elle était capable de se défendre toute seule, dans la lignée de Barbara Bach et Diana Rigg avant elle).
En revanche, le film est parsemé de gags bien lourds (qui en font son originalité) culminant dans le ridicule totale du dernier tiers.
Aujourd’hui on s’étonne devant les audaces de Meurs un autre jour (d’un tout autre genre), mais on peut se demander comment il a été envisageable par la production de l’époque de tomber dans la parodie totale.

Supfiction a écrit : ↑25 oct. 21, 14:00 En revanche, le film est parsemé de gags bien lourds (qui en font son originalité) culminant dans le ridicule totale du dernier tiers.
Aujourd’hui on s’étonne devant les audaces de Meurs un autre jour (d’un tout autre genre), mais on peut se demander comment il a été envisageable par la production de l’époque de tomber dans la parodie totale.

Les Bond de l'ère Moore frôlent constamment la parodie.
C'est une des caractéristiques majeure de ces films.

A plus ou moins grande échelle oui. On peut se demander si le public visé n’était pas sensiblement plus jeune que celui d’aujourd’hui. Heureusement Roger Moore avait une classe folle, ce qui a permis de faire passer les trucs les plus dingues.

Supfiction a écrit : ↑25 oct. 21, 14:17 Heureusement Roger Moore avait une classe folle, ce qui a permis de faire passer les trucs les plus dingues.

Heu...

.. ou presque.

Je me suis gardé pour la fin les deux meilleurs dans mon souvenir : L’espion qui m’aimait et Dangereusement votre.

Major Tom a écrit : ↑25 oct. 21, 14:21

Supfiction a écrit : ↑25 oct. 21, 14:17 Heureusement Roger Moore avait une classe folle, ce qui a permis de faire passer les trucs les plus dingues.

Heu...

Persuadé que ces séquences complètement délirantes passeraient encore moins bien avec tous les autres interprètes de James Bond.

Ces films sont a mes yeux assez indigestes, mais c'est aussi le sentiment que j'éprouve en revoyant presque tous les films de la série, quel que soit l'acteur principal ...