Dale Cooper a écrit : ↑24 janv. 22, 01:13Serge Korber
J'ignorais qu'il était encore en vie
Oui, je suis même surpris par sa relative jeunesse (Sur un arbre perché est tout de même le souvenir d'un film vu à la télé en noir et blanc un dimanche en fin d'après-midi, c'est dire si ça remonte!).
Ah tiens ! Encore un truc que je découvre après tout le monde.
Et puisqu'on parle de Sur un arbre perché, je me le suis refait
il y a quelques jours (film découvert en juillet 1973, en Vendée,
sous le chapiteau d'un cinéma itinérant... j'étais gamin et le truc
du vampire m'avait foutu les chocottes).
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
Décès d'Etchika Choureau (1929-2022) qui eut une petite carrière en France (Les enfants de l'amour de Léonide Moguy (1953), Les fruits de l'été de Raymond Bernard (1955)...) et à Hollywood (Lafayette Escadrille de Wellman (1958) ) avant d'avoir une liaison avec le futur roi du Maroc Hassan II.
Erich a écrit : ↑25 janv. 22, 22:28
Décès d'Etchika Choureau (1929-2022) qui eut une petite carrière en France (Les enfants de l'amour de Léonide Moguy (1953), Les fruits de l'été de Raymond Bernard (1955)...) et à Hollywood (Lafayette Escadrille de Wellman (1958) ) avant d'avoir une liaison avec le futur roi du Maroc Hassan II.
Ah mince !!!
Quand il faut y aller, il faut y aller.
Elle avait une bonne petite gueule ; je l'aimais bien !
Même si on lui a souvent fait tourner les mêmes rôles.
Bon voyage à elle.
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
Dale Cooper a écrit : ↑24 janv. 22, 01:13
il avait aussi réalisé Un idiot à Paris (pas vu) avec Jean Lefebvre.
Il faut. Ce n'est pas un chef d'oeuvre, mais rien que pour cette mythique scène de Blier face à ses ouvriers en grève, il fallait que ce film existe. RIP
Si sa deuxième partie de filmo tire la gueule (Les Bidochons brrr... j'en ai encore des frissons), ses premiers films - pré De Funès - sont légers et charmants (Un idiot à Paris compris). Je pense au très Michel Deville-ien Le Dix-septième Ciel ou au méconnu La Petite Vertu (et la sublime musique de Georges Delerue).
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
Il faut. Ce n'est pas un chef d'oeuvre, mais rien que pour cette mythique scène de Blier face à ses ouvriers en grève, il fallait que ce film existe. RIP
Si sa deuxième partie de filmo tire la gueule (Les Bidochons brrr... j'en ai encore des frissons), ses premiers films - pré De Funès - sont légers et charmants (Un idiot à Paris compris). Je pense au très Michel Deville-ien Le Dix-septième Ciel ou au méconnu La Petite Vertu (et la sublime musique de Georges Delerue).
J'allais le citer, "La petite vertu" très belle découverte récente pour moi. Dany Carrel y est très en beauté...
Je viens d'apprendre cette triste nouvelle...
RIP Monica Vitti
J'avais découvert sa beauté singulière dans les films d'Antonioni évidemment : L'éclipse, L'avventura, La notte, Le désert rouge, Le mystère d'Oberwald.
Mais j'avais découvert une autre facette de son talent dans des comédies italiennes comme celles de Franco Giraldi (Les ordres sont les ordres, Super témoin) ou Le canard à l'orange de Luciano Salce.
"Vouloir le bonheur, c’est déjà un peu le bonheur"