Votre film du mois de Mars 2013
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Re: Votre film du mois de Mars 2013
Film du Mois de Mars 2013 :
Films découverts :
- Зеркало (Le Miroir) de Andrei Tarkovsky : 9/10
- L'Eclisse (L'Eclipse) de Michelangelo Antonioni : 8.5/10 Ciné
- North by Northwest (La Mort aux Trousses) de Alfred Hitchcock : 8/10 Ciné
- NightFall de Jacques Tourneur : 8/10
- Arashi o Yobu Juhachi-nin (18 jeunes gens à l'appel de l'orage) de Yoshishige Yoshida : 7.5/10
- Cloud Atlas de Andy et Lana Wachowski, Tom Tykwer : 7/10 Ciné
- The Scarlet Empress (L'Impératrice Rouge) de Josef von Sternberg : 7/10 Ciné
- He Ran All the Way (Menace dans la Nuit) de John Berry : 7/10
- Mest (La Flûte de Roseau) de Yermek Shinarbayev : 7/10
- Trances de Ahmed El Maanouni : 6.5/10
- Woman on the Run (Dans l'Ombre de San Francisco) de Norman Foster : 6.5/10
- Django Unchained de Quentin Tarrantino : 6/10 Ciné
- A la Merveille de Terrence Malick : 5/10 Ciné
- Le dernier pour la route de Philippe Godeau : 4/10
- Total Recall (2012) de Len Wiseman : 3.5/10
- Knowing (Prédictions) de Alex Proyas : 1/10
Films revus :
- Heaven's Gate (La Porte du Paradis) de Michael Cimino : 9/10 Ciné
- Dark City de Alex Proyas : 7.5/10
- Nine Months (Neuf Mois Aussi) de Chris Colombus : 4/10
Films des mois précédents :[spoiler]
Février : Daisan no Kagemusha de Umetsugu Inoue
Janvier 2013 : Idi i Smotri (Requiem pour un Massacre) de Elem Klimov
Décembre : The Man Who Loved Cat Dancing de Richard C. Sarafian
Novembre : Brute Force de Jules Dassin
Octobre : Die Büchse der Pandora (Loulou) de Georg Wilhelm Pabst
Septembre : Waterloo Bridge de Mervyn Leroy
Aout : Suna no Onna (La Femme des Sables) de Hiroshi Teshigahara
Avril : Cure de Kiyoshi Kurosawa
Mars : Shotgun Stories de Jeff Nichols
Février : Blood Simple des Frères Coen
Janvier 2012 : The Artist de Michel Hazanavicius
Décembre : Shame de Steve McQueen
Novembre : Paths of Glory de Stanley Kubrick
Octobre : Yellow Sky de William A. Wellman
Septembre : Take Shelter de Jeff Nichols
Aout : Insomnia de Erik Skjoldbjærg
Juillet : Collapse de Chris Smith
Juin : Essential Killing de Jerzy Skolimowski
Mai : The Tree of Life de Terrence Malick
Avril : Heat de Michael Mann
Mars : Shunpu Den (Histoire d'une Prostituée) de Seijun Suzuki
Février : Incendies de Denis Villeneuve
Janvier 2011 :
Décembre : La Princesse de Montpensier de Bertrand Tavernier
Novembre : Electra Glide in Blue de James William Guercio
Octobre : Sandra de Luchino Visconti
Septembre : Keoma de Enzo G. Castellari
Aout : The Red Shoes de Michael Powell et Emeric Pressburger
Juillet : Boogie Nights de Paul Thomas Anderson
Juin 2010 : Munich de Steven Spielberg[/spoiler]
Films découverts :
- Зеркало (Le Miroir) de Andrei Tarkovsky : 9/10
- L'Eclisse (L'Eclipse) de Michelangelo Antonioni : 8.5/10 Ciné
- North by Northwest (La Mort aux Trousses) de Alfred Hitchcock : 8/10 Ciné
- NightFall de Jacques Tourneur : 8/10
- Arashi o Yobu Juhachi-nin (18 jeunes gens à l'appel de l'orage) de Yoshishige Yoshida : 7.5/10
- Cloud Atlas de Andy et Lana Wachowski, Tom Tykwer : 7/10 Ciné
- The Scarlet Empress (L'Impératrice Rouge) de Josef von Sternberg : 7/10 Ciné
- He Ran All the Way (Menace dans la Nuit) de John Berry : 7/10
- Mest (La Flûte de Roseau) de Yermek Shinarbayev : 7/10
- Trances de Ahmed El Maanouni : 6.5/10
- Woman on the Run (Dans l'Ombre de San Francisco) de Norman Foster : 6.5/10
- Django Unchained de Quentin Tarrantino : 6/10 Ciné
- A la Merveille de Terrence Malick : 5/10 Ciné
- Le dernier pour la route de Philippe Godeau : 4/10
- Total Recall (2012) de Len Wiseman : 3.5/10
- Knowing (Prédictions) de Alex Proyas : 1/10
Films revus :
- Heaven's Gate (La Porte du Paradis) de Michael Cimino : 9/10 Ciné
- Dark City de Alex Proyas : 7.5/10
- Nine Months (Neuf Mois Aussi) de Chris Colombus : 4/10
Films des mois précédents :[spoiler]
Février : Daisan no Kagemusha de Umetsugu Inoue
Janvier 2013 : Idi i Smotri (Requiem pour un Massacre) de Elem Klimov
Décembre : The Man Who Loved Cat Dancing de Richard C. Sarafian
Novembre : Brute Force de Jules Dassin
Octobre : Die Büchse der Pandora (Loulou) de Georg Wilhelm Pabst
Septembre : Waterloo Bridge de Mervyn Leroy
Aout : Suna no Onna (La Femme des Sables) de Hiroshi Teshigahara
Avril : Cure de Kiyoshi Kurosawa
Mars : Shotgun Stories de Jeff Nichols
Février : Blood Simple des Frères Coen
Janvier 2012 : The Artist de Michel Hazanavicius
Décembre : Shame de Steve McQueen
Novembre : Paths of Glory de Stanley Kubrick
Octobre : Yellow Sky de William A. Wellman
Septembre : Take Shelter de Jeff Nichols
Aout : Insomnia de Erik Skjoldbjærg
Juillet : Collapse de Chris Smith
Juin : Essential Killing de Jerzy Skolimowski
Mai : The Tree of Life de Terrence Malick
Avril : Heat de Michael Mann
Mars : Shunpu Den (Histoire d'une Prostituée) de Seijun Suzuki
Février : Incendies de Denis Villeneuve
Janvier 2011 :
Décembre : La Princesse de Montpensier de Bertrand Tavernier
Novembre : Electra Glide in Blue de James William Guercio
Octobre : Sandra de Luchino Visconti
Septembre : Keoma de Enzo G. Castellari
Aout : The Red Shoes de Michael Powell et Emeric Pressburger
Juillet : Boogie Nights de Paul Thomas Anderson
Juin 2010 : Munich de Steven Spielberg[/spoiler]
"Mad Max II c'est presque du Bela Tarr à l'aune des blockbusters actuels" Atclosetherange
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Re: Votre film du mois de Mars 2013
FILM DU MOIS DE MARS 2013
FILMS VUS EN SALLE
-Flight: 7/10
-Spring Breakers: 3/10
-20 ans d'écart: 6/10
-Au bout du conte: 6/10
-Cloud Atlas: 8/10
-Le Monde Fantastique d'Oz: 5/10
-La Religieuse: 6,5/10
The Place beyond the pines: 5,5/10
-G.I. Joe: Conspiration: 3/10
-Jack le chasseur de géants: 7/10
FILMS VUS EN SALLE
-Flight: 7/10
-Spring Breakers: 3/10
-20 ans d'écart: 6/10
-Au bout du conte: 6/10
-Cloud Atlas: 8/10
-Le Monde Fantastique d'Oz: 5/10
-La Religieuse: 6,5/10
The Place beyond the pines: 5,5/10
-G.I. Joe: Conspiration: 3/10
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Re: Votre film du mois de Mars 2013
Mon bilan de mois de mars.
Place aux jeunes (Leo McCarey, 1933)
Dans le registre de la gravité, le cinéaste pratique ici un art consommé de la litote et de la soustraction, et empoigne de façon courageuse le problème, rarement traité à l’écran, de la dépendance des vieilles personnes vis-à-vis de leur progéniture petite-bourgeoise. Il y a du Ozu dans ce conte de fées inversé, cette chronique familiale qui met en lumière, par touches délicates et allusives, un égoïsme générationnel qui n’ose s’afficher, une brisure irréparable de la transmission entre parents et enfants, l’agonie d’un couple âgé et aimant contraint, après une dernière soirée d’heureuse remémoration, à une séparation définitive. Presque trop de retenue également : si l’émotion filtre parfois, elle peine à s’épanouir vraiment. 4/6
Le chant du Missouri (Vincente Minnelli, 1944)
A l’aube du vingtième siècle, Saint-Louis se prépare à accueillir l’exposition universelle. Solaire et effervescente, la ville cristallise sous une forme vibrante les prestiges souriants de l’imaginaire, celui-là même qu’entretiennent quatre sœurs aux prises avec leurs problèmes quotidiens, leurs rivalités passagères, leurs premières découvertes sentimentales et déceptions amoureuses. La pénombre fantastique figure l’affolante présence des chimères, le spectacle musical favorise la description chaleureuse d’une famille de la classe moyenne américaine, les couleurs chatoyantes des quatre saisons parent la chronique d’atours généreux, de souvenirs tendres et de notations drolatiques. Un vrai bonheur. 5/6
Le quai des brumes (Marcel Carné, 1938)
Le Vigan peint les choses cachées derrière les choses, Michel Simon estime qu’il veut mieux avoir sa tête de Barbe-bleue que pas de tête du tout, et Michèle Morgan a de beaux yeux (on sait). Héritier du fatalisme atmosphérique d’un Lang ou d’un Murnau, peintre d’un ville-prison (Le Havre, très cinégénique) aux pavés mouillés, au brouillard épais, aux docks opaques qui voient partir les bateaux vers une vie meilleure en laissant les héros à quai, Carné déréalise le monde qu’il filme, le dissout dans une poétique de rêve et d’espoir illusoire où même les pires crapules sont pathétiques, où le suicide elliptique du peintre scelle la perte du déserteur, et où l’originalité fantasque des innocents et des salauds renvoient à une même solitude désespérée. 4/6
Le fils unique (Yasujiro Ozu, 1936)
Une fois n’est pas coutume, Ozu inverse les polarités en se penchant sur la relation d’une mère et de son fils, en lieu et place de la dynamique père/fille souvent explorée. Dans ce cinéma fait de variations et de modulations infimes, la différence est notable et accentue la dimension mélodramatique d’un récit où la notion du sacrifice et la force parfois écrasante de l’amour maternel entament un pas de deux avec la désillusion de celui qui a pris conscience de l’échec de ses ambitions. Le commentaire social nourrit de sa précision cette chronique triste et mélancolique, qui voit s’épuiser les efforts d’une vie de labeur sur l’autel d’une réussite par procuration, et opposer l’espoir jamais repu d’êtres démunis à l’hostilité de la vie citadine. 4/6
A la merveille (Terrence Malick, 2012)
Le cinéaste poursuit une quête que l’on devine éminemment personnelle, systématise un langage délesté de toute caractérisation psychologique et replie la dimension épique à l’échelle intimiste du sentiment amoureux, de ses variations, de sa fragilité. Régulièrement, il franchit la frontière démarquant l’inspiration de l’auto-caricature. Mais la pureté cristalline de ses images, leur faculté à produire sens et émotion en captant des instants éphémères volés à la beauté du monde, dépassent presque miraculeusement la naïveté parfois embarrassante du propos. Si tout le film n’est pas à la hauteur de la superbe première heure, si les limites de ce cinéma mystique n’ont jamais parues aussi flagrantes, la dimension déceptive de l’ensemble, à laquelle Olga Kurylenko apporte sa sublime présence, s’accorde au voile du doute et du regret qui traversent toute l’œuvre de l’auteur – le voile de la mélancolie. 5/6
Terre sans pain (Luis Buñuel, 1933)
Le seul documentaire réalisé par Buñuel est porté par la croyance surréaliste selon laquelle la réalité est souvent grosse d’un irrationnel qu’il suffit d’accueillir et de voir. En fixant sur pellicule le quotidien misérable des habitants de Las Hurdes, région enclavée de l’Estrémadure, il impose à notre regard une violence crue renforcée par la neutralité entomologique du commentaire et la musique distanciée de Brahms. La fillette agonisant sur le tas de gravats, l’âne dévoré par les abeilles, les difformités consanguines des crétins qui se cachent dans les hauteurs des montages constituent autant d’images rudes, puissantes, d’une totale étrangeté, où la détresse la plus terrible atteint les limites de la bestialité. 5/6
Au bout du conte (Agnès Jaoui, 2013)
Bacri était le touchant Castella, puis l’odieux Cassard ; il rappelle ici, dans son registre préféré de bougon dépressif, qu’il est particulièrement taillé pour le cinéma de Jaoui. La méthode n’a pas changé et ne suscitera qu’indifférence chez les défenseurs d’un cinéma plus radicalement aventureux. Pour ma part je suis toujours aussi sensible à cet art du parallèle, du croisement et du carrefour, traversé par une morale moins stricte que généreuse. Car dans la relecture amusée des contes enfantins, dans les parcours de ces personnages bienveillants et maladroits, bercés d’illusions et pétris d’angoisses, on retrouve quelque chose de notre propre vie : la formule est peut-être bidon mais elle résume bien la filmo de la réalisatrice. 4/6
40 ans, mode d’emploi (Judd Apatow, 2012)
S’il reprend le système de description triviale (et les personnages secondaires) d’En cloque, mode d’emploi, le film porte les stigmates presque sinistres du précédent opus. Plus que jamais le cinéaste travaille une dynamique de contrastes et d’apparences faussées, dans la forme comme dans le fond. Le bonheur de son couple de quadras, exposé dans toute son opulence bourgeoise et pétante, y est constamment au bord de l’explosion : les sourires, les compromissions du quotidien, le poids étouffant de la vie conjugale, le rapport douloureux aux pères y dessinent une sorte d’enfer quotidien. Reste l’amour usé mais sincère, qui garantit à ce film drôle et mordant une émotion juste. 4/6
L’évangile selon saint Matthieu (Pier Paolo Pasolini, 1964)
Déclinaison singulière et très personnelle du texte biblique, d’autant plus surprenante qu’elle émane d’un artiste que l’on sait farouchement athée et marxiste. Elle me laisse très partagé : l’alternance des styles et des tonalités, le caractère composite d’une expression qui emprunte tour à tour aux peintures médiévales, au symbolisme du muet, à la nervosité du reportage contemporain, distille autant de fascination que de perplexité. Et pour quelques séquences sublimes (le calvaire et la mise en croix, particulièrement), il faut se farcir les logorrhées explicatives et les lourdeurs de la parabole évangélique. Mais les images ont quelque chose de sacré, et leur épaisseur spirituelle est indéniable. 3/6
Camille Claudel 1915 (Bruno Dumont, 2013)
Au rayon de l’épure le film se pose là, de manière un peu trop évidente. Trois jours d’internement aux côtés de l’artiste statuaire, figurés dans un dénuement total, un assèchement radical qui ne se nourrit que de visages, de champs/contre-champs, de monologues très écrits. L’intention est là, claire et nette : exprimer la désertion intérieure, la solitude, la privation d’une femme emprisonnée en elle-même. Lorsque le frère Paulo apparaît et fait basculer la deuxième partie dans un monolithique pensum sur l’illumination du christianisme poétique, la sanction tombe : à trop viser l’aplat on frise l’avarice, et l’austérité d’anachorète ça va deux minutes. 3/6
L’ange bleu (Josef von Sternberg, 1930)
Au début du film, le serin mort dans sa cage annonce le trajet figural du héros, professeur bourgeois à la moralité très stricte, soudain possédé par le démon de midi. A la fin, ce dernier pousse le cri du coq sur scène, ridicule et humilié, devant ses anciens élèves venus voir sa déchéance. Entretemps, Sternberg élabore un univers envoûtant aux intensités magnétiques, qui mêle désir et pulsion de mort, fétichise l’image de la passion et la tamisant de taffetas, de plumes, de strass et de soie. La créature à la sexualité rayonnante qui trône sur la scène d’un beuglant est un Méphisto femelle, et ce poème baudelairien nourri de pathétique et de romantisme pervers une version moderne de Faust, gouverné par l’érotisme et la déraison. 5/6
La cité des douleurs (Hou Hsiao-hsien, 1989)
Entre les mains d’un Zhang Yimou ou d’un Chen Kaige, le film serait sans doute devenu une fresque somptueusement enluminée, à vocation internationale. Hou Hsiao-hsien travaille quant à lui l’attente et la contemplation, et l’évocation d’un destin familial et des quatre années de répression qui suivirent la restitution de Taïwan à la gouvernance chinoise s’opère dans un mouvement plus large et mélancolique, qui inscrit les soubresauts politiques au cœur d’une respiration intimiste. La dramatisation s’évapore au profit d’une patiente composition symphonique, faite de suspension et de non-dit (la surdité du photographe dicte l’inspiration muette de quelques séquences parmi les plus belles), doucement imprimée par la marche tragique de l’histoire. 4/6
A Canterbury tale (Michael Powell, & Emeric Pressburger, 1944)
Dans les prairies verdoyantes du Kent, sur la route ancestrale de Canterbury qu’empruntaient les pèlerins en quête de grâces, deux soldats et une jeune veuve se rencontrent et décident de résoudre ensemble ce qu’on pourrait appeler le mystère du Colleur – au bout du compte l’enquête leur servira à panser quelques blessures. Les cinéastes visent la magique quotidienne nichée dans les vallons du paysage, les discussions chaleureuses des habitants du cru, les jeux d’enfants qui miment la guerre. Le film est une curieuse proposition de conte moderne, qui distille un charme intermittent et ne parvient jamais tout à fait à trouver la dynamique heureuse, l’état de plénitude que son récit relâché, presque buissonnier, tente de dompter. 3/6
Guet-apens (Sam Peckinpah, 1972)
La société urbaine américaine en ce début des années 70 est celle d’une mobilité extrême, ses institutions et ses lieux de vie (pénitenciers, bars, usines) gangrenés par le règne de la force et l’argent. La corruption est présente à tous les échelons, l’État de droit absent : sur ce constat désabusé Peckinpah construit un polar nerveux parsemené de déflagrations brutales. Le couple lui-même n’y échappe pas : malmené, fragile, en proie une violence interne et à la suspicion permanente, il lui faudra littéralement être enseveli sous les détritus pour retrouver une solidité nouvelle. Voilà toute l’amère beauté d’un film d’action mené tambour battant, qui bafoue allègrement la morale traditionnelle du film noir. Dans le genre, c’est du costaud. 5/6
Chut, chut, chère Charlotte (Robert Aldrich, 1964)
Nouvelle excroissance d’une entreprise de démolition des légendes à laquelle le cinéaste confère les accents assumés de l’outrance et de la transgression. Bette Davis, dans un rôle jumeau de celui de Baby Jane, est une nouvelle figure de proue psychotique, le casting vire à la réunion de stars vieillies, transformées en crapules veules ou doucereuses (Olivia de Havilland, ex-rivale à Oscars de Davis chez Wyler, ou Joseph Cotten), le suspense est quasiment tué au profit d’une dilatation suintante d’effets sardoniques et déformants. Sur cette machination faite de folie provoquée, de cruauté féminine et de cadavres revenus à la vie plane aussi l’ombre de Clouzot et de ses Diaboliques, en nettement moins pervers et fascinant. 4/6
Un jour à New York (Gene Kelly & Stanley Donen, 1949)
Le jour se lève sur la Grosse Pomme, un docker sifflote sur les quais, trois marins en permission déboulent avec la ferme intention de conquérir la ville et de se lever des mignonnes. Au début on a envie de mettre le holà sur les débordements un chouïa exagérés de nos héros ravis de la crèche. Mais la dynamique endiablée de l’aventure annihile toute résistance. D’un délirant numéro de danse cromagnonique devant un squelette de dinosaure à une réunion étoilée au sommet de l’Empire State, d’une poursuite en taxi cartoonesque à la résolution finale, poudrée d’embrassades et de magie, le ravissement opère. Dix-sept ans plus tard, les magnifiques Demoiselles de Rochefort paieront leur tribut à cet archétype du genre. 5/6
J'ai découvert également :
La belle et la bête (Jean Cocteau, 1946) 4/6
L'homme qui rétrécit (Jack Arnold, 1957) 5/6
L'étrangleur de Boston (Richard Fleischer, 1968) 5/6
Spring breakers (Harmony Korine, 2012) 3/6
Un crime dans la tête (John Frankenheimer, 1962) 4/6
No (Pablo Larrain, 2012) 4/6
Jappeloup (Christian Duguay, 2013) 4/6
Queen of Montreuil (Solveig Anspach, 2013) 4/6
The place beyond the pines (Derek Cianfrance, 2012) 5/6
La planète des singes (Franklin J. Schaffner, 1968) 4/6
Nanouk l'esquimau (Robert Flaherty, 1922) 4/6
Stories we tell (Sarah Polley, 2012) 5/6
Chronique d'un été (Jean Rouch & Edgar Morin, 1961) 5/6
Place aux jeunes (Leo McCarey, 1933)
Dans le registre de la gravité, le cinéaste pratique ici un art consommé de la litote et de la soustraction, et empoigne de façon courageuse le problème, rarement traité à l’écran, de la dépendance des vieilles personnes vis-à-vis de leur progéniture petite-bourgeoise. Il y a du Ozu dans ce conte de fées inversé, cette chronique familiale qui met en lumière, par touches délicates et allusives, un égoïsme générationnel qui n’ose s’afficher, une brisure irréparable de la transmission entre parents et enfants, l’agonie d’un couple âgé et aimant contraint, après une dernière soirée d’heureuse remémoration, à une séparation définitive. Presque trop de retenue également : si l’émotion filtre parfois, elle peine à s’épanouir vraiment. 4/6
Le chant du Missouri (Vincente Minnelli, 1944)
A l’aube du vingtième siècle, Saint-Louis se prépare à accueillir l’exposition universelle. Solaire et effervescente, la ville cristallise sous une forme vibrante les prestiges souriants de l’imaginaire, celui-là même qu’entretiennent quatre sœurs aux prises avec leurs problèmes quotidiens, leurs rivalités passagères, leurs premières découvertes sentimentales et déceptions amoureuses. La pénombre fantastique figure l’affolante présence des chimères, le spectacle musical favorise la description chaleureuse d’une famille de la classe moyenne américaine, les couleurs chatoyantes des quatre saisons parent la chronique d’atours généreux, de souvenirs tendres et de notations drolatiques. Un vrai bonheur. 5/6
Le quai des brumes (Marcel Carné, 1938)
Le Vigan peint les choses cachées derrière les choses, Michel Simon estime qu’il veut mieux avoir sa tête de Barbe-bleue que pas de tête du tout, et Michèle Morgan a de beaux yeux (on sait). Héritier du fatalisme atmosphérique d’un Lang ou d’un Murnau, peintre d’un ville-prison (Le Havre, très cinégénique) aux pavés mouillés, au brouillard épais, aux docks opaques qui voient partir les bateaux vers une vie meilleure en laissant les héros à quai, Carné déréalise le monde qu’il filme, le dissout dans une poétique de rêve et d’espoir illusoire où même les pires crapules sont pathétiques, où le suicide elliptique du peintre scelle la perte du déserteur, et où l’originalité fantasque des innocents et des salauds renvoient à une même solitude désespérée. 4/6
Le fils unique (Yasujiro Ozu, 1936)
Une fois n’est pas coutume, Ozu inverse les polarités en se penchant sur la relation d’une mère et de son fils, en lieu et place de la dynamique père/fille souvent explorée. Dans ce cinéma fait de variations et de modulations infimes, la différence est notable et accentue la dimension mélodramatique d’un récit où la notion du sacrifice et la force parfois écrasante de l’amour maternel entament un pas de deux avec la désillusion de celui qui a pris conscience de l’échec de ses ambitions. Le commentaire social nourrit de sa précision cette chronique triste et mélancolique, qui voit s’épuiser les efforts d’une vie de labeur sur l’autel d’une réussite par procuration, et opposer l’espoir jamais repu d’êtres démunis à l’hostilité de la vie citadine. 4/6
A la merveille (Terrence Malick, 2012)
Le cinéaste poursuit une quête que l’on devine éminemment personnelle, systématise un langage délesté de toute caractérisation psychologique et replie la dimension épique à l’échelle intimiste du sentiment amoureux, de ses variations, de sa fragilité. Régulièrement, il franchit la frontière démarquant l’inspiration de l’auto-caricature. Mais la pureté cristalline de ses images, leur faculté à produire sens et émotion en captant des instants éphémères volés à la beauté du monde, dépassent presque miraculeusement la naïveté parfois embarrassante du propos. Si tout le film n’est pas à la hauteur de la superbe première heure, si les limites de ce cinéma mystique n’ont jamais parues aussi flagrantes, la dimension déceptive de l’ensemble, à laquelle Olga Kurylenko apporte sa sublime présence, s’accorde au voile du doute et du regret qui traversent toute l’œuvre de l’auteur – le voile de la mélancolie. 5/6
Terre sans pain (Luis Buñuel, 1933)
Le seul documentaire réalisé par Buñuel est porté par la croyance surréaliste selon laquelle la réalité est souvent grosse d’un irrationnel qu’il suffit d’accueillir et de voir. En fixant sur pellicule le quotidien misérable des habitants de Las Hurdes, région enclavée de l’Estrémadure, il impose à notre regard une violence crue renforcée par la neutralité entomologique du commentaire et la musique distanciée de Brahms. La fillette agonisant sur le tas de gravats, l’âne dévoré par les abeilles, les difformités consanguines des crétins qui se cachent dans les hauteurs des montages constituent autant d’images rudes, puissantes, d’une totale étrangeté, où la détresse la plus terrible atteint les limites de la bestialité. 5/6
Au bout du conte (Agnès Jaoui, 2013)
Bacri était le touchant Castella, puis l’odieux Cassard ; il rappelle ici, dans son registre préféré de bougon dépressif, qu’il est particulièrement taillé pour le cinéma de Jaoui. La méthode n’a pas changé et ne suscitera qu’indifférence chez les défenseurs d’un cinéma plus radicalement aventureux. Pour ma part je suis toujours aussi sensible à cet art du parallèle, du croisement et du carrefour, traversé par une morale moins stricte que généreuse. Car dans la relecture amusée des contes enfantins, dans les parcours de ces personnages bienveillants et maladroits, bercés d’illusions et pétris d’angoisses, on retrouve quelque chose de notre propre vie : la formule est peut-être bidon mais elle résume bien la filmo de la réalisatrice. 4/6
40 ans, mode d’emploi (Judd Apatow, 2012)
S’il reprend le système de description triviale (et les personnages secondaires) d’En cloque, mode d’emploi, le film porte les stigmates presque sinistres du précédent opus. Plus que jamais le cinéaste travaille une dynamique de contrastes et d’apparences faussées, dans la forme comme dans le fond. Le bonheur de son couple de quadras, exposé dans toute son opulence bourgeoise et pétante, y est constamment au bord de l’explosion : les sourires, les compromissions du quotidien, le poids étouffant de la vie conjugale, le rapport douloureux aux pères y dessinent une sorte d’enfer quotidien. Reste l’amour usé mais sincère, qui garantit à ce film drôle et mordant une émotion juste. 4/6
L’évangile selon saint Matthieu (Pier Paolo Pasolini, 1964)
Déclinaison singulière et très personnelle du texte biblique, d’autant plus surprenante qu’elle émane d’un artiste que l’on sait farouchement athée et marxiste. Elle me laisse très partagé : l’alternance des styles et des tonalités, le caractère composite d’une expression qui emprunte tour à tour aux peintures médiévales, au symbolisme du muet, à la nervosité du reportage contemporain, distille autant de fascination que de perplexité. Et pour quelques séquences sublimes (le calvaire et la mise en croix, particulièrement), il faut se farcir les logorrhées explicatives et les lourdeurs de la parabole évangélique. Mais les images ont quelque chose de sacré, et leur épaisseur spirituelle est indéniable. 3/6
Camille Claudel 1915 (Bruno Dumont, 2013)
Au rayon de l’épure le film se pose là, de manière un peu trop évidente. Trois jours d’internement aux côtés de l’artiste statuaire, figurés dans un dénuement total, un assèchement radical qui ne se nourrit que de visages, de champs/contre-champs, de monologues très écrits. L’intention est là, claire et nette : exprimer la désertion intérieure, la solitude, la privation d’une femme emprisonnée en elle-même. Lorsque le frère Paulo apparaît et fait basculer la deuxième partie dans un monolithique pensum sur l’illumination du christianisme poétique, la sanction tombe : à trop viser l’aplat on frise l’avarice, et l’austérité d’anachorète ça va deux minutes. 3/6
L’ange bleu (Josef von Sternberg, 1930)
Au début du film, le serin mort dans sa cage annonce le trajet figural du héros, professeur bourgeois à la moralité très stricte, soudain possédé par le démon de midi. A la fin, ce dernier pousse le cri du coq sur scène, ridicule et humilié, devant ses anciens élèves venus voir sa déchéance. Entretemps, Sternberg élabore un univers envoûtant aux intensités magnétiques, qui mêle désir et pulsion de mort, fétichise l’image de la passion et la tamisant de taffetas, de plumes, de strass et de soie. La créature à la sexualité rayonnante qui trône sur la scène d’un beuglant est un Méphisto femelle, et ce poème baudelairien nourri de pathétique et de romantisme pervers une version moderne de Faust, gouverné par l’érotisme et la déraison. 5/6
La cité des douleurs (Hou Hsiao-hsien, 1989)
Entre les mains d’un Zhang Yimou ou d’un Chen Kaige, le film serait sans doute devenu une fresque somptueusement enluminée, à vocation internationale. Hou Hsiao-hsien travaille quant à lui l’attente et la contemplation, et l’évocation d’un destin familial et des quatre années de répression qui suivirent la restitution de Taïwan à la gouvernance chinoise s’opère dans un mouvement plus large et mélancolique, qui inscrit les soubresauts politiques au cœur d’une respiration intimiste. La dramatisation s’évapore au profit d’une patiente composition symphonique, faite de suspension et de non-dit (la surdité du photographe dicte l’inspiration muette de quelques séquences parmi les plus belles), doucement imprimée par la marche tragique de l’histoire. 4/6
A Canterbury tale (Michael Powell, & Emeric Pressburger, 1944)
Dans les prairies verdoyantes du Kent, sur la route ancestrale de Canterbury qu’empruntaient les pèlerins en quête de grâces, deux soldats et une jeune veuve se rencontrent et décident de résoudre ensemble ce qu’on pourrait appeler le mystère du Colleur – au bout du compte l’enquête leur servira à panser quelques blessures. Les cinéastes visent la magique quotidienne nichée dans les vallons du paysage, les discussions chaleureuses des habitants du cru, les jeux d’enfants qui miment la guerre. Le film est une curieuse proposition de conte moderne, qui distille un charme intermittent et ne parvient jamais tout à fait à trouver la dynamique heureuse, l’état de plénitude que son récit relâché, presque buissonnier, tente de dompter. 3/6
Guet-apens (Sam Peckinpah, 1972)
La société urbaine américaine en ce début des années 70 est celle d’une mobilité extrême, ses institutions et ses lieux de vie (pénitenciers, bars, usines) gangrenés par le règne de la force et l’argent. La corruption est présente à tous les échelons, l’État de droit absent : sur ce constat désabusé Peckinpah construit un polar nerveux parsemené de déflagrations brutales. Le couple lui-même n’y échappe pas : malmené, fragile, en proie une violence interne et à la suspicion permanente, il lui faudra littéralement être enseveli sous les détritus pour retrouver une solidité nouvelle. Voilà toute l’amère beauté d’un film d’action mené tambour battant, qui bafoue allègrement la morale traditionnelle du film noir. Dans le genre, c’est du costaud. 5/6
Chut, chut, chère Charlotte (Robert Aldrich, 1964)
Nouvelle excroissance d’une entreprise de démolition des légendes à laquelle le cinéaste confère les accents assumés de l’outrance et de la transgression. Bette Davis, dans un rôle jumeau de celui de Baby Jane, est une nouvelle figure de proue psychotique, le casting vire à la réunion de stars vieillies, transformées en crapules veules ou doucereuses (Olivia de Havilland, ex-rivale à Oscars de Davis chez Wyler, ou Joseph Cotten), le suspense est quasiment tué au profit d’une dilatation suintante d’effets sardoniques et déformants. Sur cette machination faite de folie provoquée, de cruauté féminine et de cadavres revenus à la vie plane aussi l’ombre de Clouzot et de ses Diaboliques, en nettement moins pervers et fascinant. 4/6
Un jour à New York (Gene Kelly & Stanley Donen, 1949)
Le jour se lève sur la Grosse Pomme, un docker sifflote sur les quais, trois marins en permission déboulent avec la ferme intention de conquérir la ville et de se lever des mignonnes. Au début on a envie de mettre le holà sur les débordements un chouïa exagérés de nos héros ravis de la crèche. Mais la dynamique endiablée de l’aventure annihile toute résistance. D’un délirant numéro de danse cromagnonique devant un squelette de dinosaure à une réunion étoilée au sommet de l’Empire State, d’une poursuite en taxi cartoonesque à la résolution finale, poudrée d’embrassades et de magie, le ravissement opère. Dix-sept ans plus tard, les magnifiques Demoiselles de Rochefort paieront leur tribut à cet archétype du genre. 5/6
J'ai découvert également :
La belle et la bête (Jean Cocteau, 1946) 4/6
L'homme qui rétrécit (Jack Arnold, 1957) 5/6
L'étrangleur de Boston (Richard Fleischer, 1968) 5/6
Spring breakers (Harmony Korine, 2012) 3/6
Un crime dans la tête (John Frankenheimer, 1962) 4/6
No (Pablo Larrain, 2012) 4/6
Jappeloup (Christian Duguay, 2013) 4/6
Queen of Montreuil (Solveig Anspach, 2013) 4/6
The place beyond the pines (Derek Cianfrance, 2012) 5/6
La planète des singes (Franklin J. Schaffner, 1968) 4/6
Nanouk l'esquimau (Robert Flaherty, 1922) 4/6
Stories we tell (Sarah Polley, 2012) 5/6
Chronique d'un été (Jean Rouch & Edgar Morin, 1961) 5/6
Dernière modification par Thaddeus le 1 avr. 13, 01:41, modifié 1 fois.
- Demi-Lune
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Re: Votre film du mois de Mars 2013
Toujours un plaisir de te lire, mais note un peu sévère pour un tel film (chef-d’œuvre à mes yeux).Thaddeus a écrit :La belle et la bête (Jean Cocteau, 1946) 4/6
- Thaddeus
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Re: Votre film du mois de Mars 2013
C'est un beau, voire un très beau film, je ne le nie pas. Je n'ai sans doute pas été emporté par sa poésie autant que j'aurais aimé l'être. Cartaines séquences sont splendides, d'autres me semblent marquées par un volontarisme féérique un peu vermoulu. Mais j'ai aimé, vraiment.
- Harkento
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Re: Votre film du mois de Mars 2013
FILM DU MOIS :
Les salauds dorment en paix d'Akira Kurosawa
Films vus au cinéma :
Cloud Atlas (les frères Wachowski, Tom Tykwer) : 8 / 10 – U.S.A., Allemagne, Etc ; Sci-fi, drame, mystère
20 ans d'écart (David Moreau) : 7,5 / 10 – France ; Comédie romantique
Jack le chasseur de géants (Brian Singer) : 6,5 / 10 – U.S.A. ; Aventure, fantasy
Le monde fantastique d'Oz (Sam Raimi) : 6 / 10 – U.S.A. ; Conte, fantastique
Mobius (Eric Rochant) : 6 / 10 – France ; Espionnage, romance
A la merveille (Terence Malick) : 5,5 / 10 – U.S.A. ; Drame, romance
Warm bodies – Renaissance (Jonathan Levine) : 5 / 10 – U.S.A. ; Horreur, romance, comédie
Les amants passagers (Pedro Almodovar) : 5 / 10 – Espagne ; Comédie
The place beyond the pines (Derek Cianfrance) : 4 / 10 – U.S.A. ; Drame
Spring breakers (Harmony Korine) : 4 / 10 – U.S.A. ; Drame, crime
Sublimes créatures (Richard LaGravenese) : 3 / 10 – U.S.A. ; Fantastique, romance, drame
G.I. Joe : Conspiration (Jon M. Chu) : 2 / 10 – U.S.A. ; Action
Cinéma : Les Hallucinations Collectives 2013 :
Possession (Andrzej Zulawski) : 7,5 / 10 - France [1981] ; Horreur, thriller, drame -film redécouvert
La compagnie des loups (Neil Jordan) : 7 / 10 – Angleterre [1984] ; Fantasy, Horreur
Rock'n roll Overdose (Todd Philip) : 7 / 10 – U.S.A. [1993] ; documentaire
The land of Hope (Sono Sion) : 7 / 10 – Japon [2012] ; Drame,
Le dernier monde cannibale (Ruggero Deodato) : 6,5 / 10 - [1977] ; Horreur, aventure
Sans retour (Walter Hill) : 6,5 / 10 – U.S.A. [1981] ; Thriller, drame, guerre - film redécouvert
Modus Anomali (Joko Anwar) : 4 / 10 - Indonnésie [2012] ; Horreur
The Collection (Marcus Dunstan) : 3,5 / 10 – U.S.A. [2012] ; Horreur
Films dévouverts :
The devil & Daniel Webster (William Dieterle) : 9 / 10 – U.S.A. [1941] ; Fantasy, drame
Eureka (Nicolas Roeg) : 9 / 10 – U.S.A. [1984] ; Drame
Seuls sont les indomptés (David Miller) : 9 / 10 – U.S.A. [1962] ; Western, drame
Isadora (Karel Reisz) : 8,5 / 10 – U.K. , France [1968] ; Drame, biopic
The fallen idol (Carol Reed) : 8,5 / 10 – Angleterre [1948] ; Drame, policier
Elle n'a dansé qu'un seul été (Arne Mattsson) : 8,5 / 10 – Suède [1952] ; Drame, comédie
Safe (Todd Haynes) : 8,5 / 10 – U.S.A. [1995] ; Drame
La grande horloge (John Farrow) : 8 / 10 – U.S.A. [1948] ; Policier, thriller
Six femmes pour l'assassin (Mario Bava) : 8 / 10 – Italie [1964] ; Giallo
Ton vice est une chambre dont moi seul est la clé (Sergio Martino) : 8 / 10 – Italie [1972] ; Giallo
Elvira Madigan (Bo Widerberg) : 8 / 10 – Suède [1967] ; Drame, romance
Just another love story (Ole Bornedal) : 8 / 10 – Danemark [2007] ; Drame, thriller
Venus in furs (Jess Franco) : 8 / 10 – Angleterre, Italie, Allemagne [1969] ; Fantasy, thriller
Quand passe les cygognes (Mikhail Kalatozov) : 8 / 10 – Russie [1958] ; Drame, guerre
Kanal (Andrej Wajda) : 8 / 10 – Pologne [1957] ; Guerre, drame
Apportez-moi la tête d'Alfredo Garcia (Sam Peckinpah) : 7,5 / 10 – U.S.A. [1974] ; Drame, action, crime
Sous le soleil de Satan (Maurice Pialat) : 7,5 / 10 – France [1987] ; Drame
Un été 42 (Robert Mulligan) : 7,5 / 10 – U.S.A. [1972] ; Drame
Homicide (David Mamet) : 7,5 / 10 – U.S.A. [1991] ; Policier, drame
Le retour de Martin Guerre (Daniel Vigne) : 7,5 / 10 [1982] ; Drame, histoire
Strange illusion (Edgar Ulmer) : 7 / 10 – U.S.A. [1945] ; Film noir
La rose pourpre du Caire (Woody Allen) : 7 / 10 – U.S.A. [1984] ; Comédie, drame
La clinique sanglante (Fernando Di Leo) : 6,5 / 10 – Italie [1971] ; Giallo
La légende de la forteresse de Souram (Sergei Parajanov) : 6,5 / 10 – Soviet Union [1986] ; Drame,
Judex (Georges Franju) : 6,5 / 10 – France [1963] ; Crime, Action
L'effroyable secret du Dr Hichcock (Riccardo Freda) : 6,5 / 10 – Italie [1962] ; Horreur, thriller
La chance de ma vie (Nicolas Cuche) : 4,5 / 10 – France [2011] ; Comédie, romance
Morituris (Raffaele Picchio) : 4 / 10 – Italie [2011] ; Horreur
Anna Christie (Clarence Brown) : 3,5 / 10 – U.S.A. [1931] ; Drame, romance
Découvertes d'Asie :
Les salauds dorment en paix (Akira Kurosawa) : 9,5 / 10 – Japon [1960] ; Drame, Thriller
Le goût du saké (Yasujiro Ozu) : 7 / 10 – Japon [1962] ; Drame
Girl Boss Guerilla (Noribumi Suzuki) : 6,5 / 10 – Japon [1972] ; Erotique, Yakuza, Action
Gang of Wasseypur – partie 1 (Anurag Kashyap) : 6 / 10 – Inde [2012] ; Crime, drame
Série :
American Horror Story – Saison 1 : 7,5 / 10 – U.S.A. [2011] ; Horreur, thriller, drame
Courts métrages :
Love at first sight (Mickael Davies) : 7 / 10 – Angleterre [2010] ; Drame, romance
Films redécouverts :
M le maudit (Fritz Lang) : 9,5 / 10 – Allemagne [1931] ; Drame
Indiana Jones : les aventuriers de l'arche perdue (Steven Spielberg) : 8 / 10 – U.S.A. [1981] ; Aventure
L'imaginarium de Dr Parnassus (Terry Gilliam) : 7 / 10 – U.K, Canada, France [2009] ; Fantasy, drame
Les salauds dorment en paix d'Akira Kurosawa
Films vus au cinéma :
Cloud Atlas (les frères Wachowski, Tom Tykwer) : 8 / 10 – U.S.A., Allemagne, Etc ; Sci-fi, drame, mystère
20 ans d'écart (David Moreau) : 7,5 / 10 – France ; Comédie romantique
Jack le chasseur de géants (Brian Singer) : 6,5 / 10 – U.S.A. ; Aventure, fantasy
Le monde fantastique d'Oz (Sam Raimi) : 6 / 10 – U.S.A. ; Conte, fantastique
Mobius (Eric Rochant) : 6 / 10 – France ; Espionnage, romance
A la merveille (Terence Malick) : 5,5 / 10 – U.S.A. ; Drame, romance
Warm bodies – Renaissance (Jonathan Levine) : 5 / 10 – U.S.A. ; Horreur, romance, comédie
Les amants passagers (Pedro Almodovar) : 5 / 10 – Espagne ; Comédie
The place beyond the pines (Derek Cianfrance) : 4 / 10 – U.S.A. ; Drame
Spring breakers (Harmony Korine) : 4 / 10 – U.S.A. ; Drame, crime
Sublimes créatures (Richard LaGravenese) : 3 / 10 – U.S.A. ; Fantastique, romance, drame
G.I. Joe : Conspiration (Jon M. Chu) : 2 / 10 – U.S.A. ; Action
Cinéma : Les Hallucinations Collectives 2013 :
Possession (Andrzej Zulawski) : 7,5 / 10 - France [1981] ; Horreur, thriller, drame -film redécouvert
La compagnie des loups (Neil Jordan) : 7 / 10 – Angleterre [1984] ; Fantasy, Horreur
Rock'n roll Overdose (Todd Philip) : 7 / 10 – U.S.A. [1993] ; documentaire
The land of Hope (Sono Sion) : 7 / 10 – Japon [2012] ; Drame,
Le dernier monde cannibale (Ruggero Deodato) : 6,5 / 10 - [1977] ; Horreur, aventure
Sans retour (Walter Hill) : 6,5 / 10 – U.S.A. [1981] ; Thriller, drame, guerre - film redécouvert
Modus Anomali (Joko Anwar) : 4 / 10 - Indonnésie [2012] ; Horreur
The Collection (Marcus Dunstan) : 3,5 / 10 – U.S.A. [2012] ; Horreur
Films dévouverts :
The devil & Daniel Webster (William Dieterle) : 9 / 10 – U.S.A. [1941] ; Fantasy, drame
Eureka (Nicolas Roeg) : 9 / 10 – U.S.A. [1984] ; Drame
Seuls sont les indomptés (David Miller) : 9 / 10 – U.S.A. [1962] ; Western, drame
Isadora (Karel Reisz) : 8,5 / 10 – U.K. , France [1968] ; Drame, biopic
The fallen idol (Carol Reed) : 8,5 / 10 – Angleterre [1948] ; Drame, policier
Elle n'a dansé qu'un seul été (Arne Mattsson) : 8,5 / 10 – Suède [1952] ; Drame, comédie
Safe (Todd Haynes) : 8,5 / 10 – U.S.A. [1995] ; Drame
La grande horloge (John Farrow) : 8 / 10 – U.S.A. [1948] ; Policier, thriller
Six femmes pour l'assassin (Mario Bava) : 8 / 10 – Italie [1964] ; Giallo
Ton vice est une chambre dont moi seul est la clé (Sergio Martino) : 8 / 10 – Italie [1972] ; Giallo
Elvira Madigan (Bo Widerberg) : 8 / 10 – Suède [1967] ; Drame, romance
Just another love story (Ole Bornedal) : 8 / 10 – Danemark [2007] ; Drame, thriller
Venus in furs (Jess Franco) : 8 / 10 – Angleterre, Italie, Allemagne [1969] ; Fantasy, thriller
Quand passe les cygognes (Mikhail Kalatozov) : 8 / 10 – Russie [1958] ; Drame, guerre
Kanal (Andrej Wajda) : 8 / 10 – Pologne [1957] ; Guerre, drame
Apportez-moi la tête d'Alfredo Garcia (Sam Peckinpah) : 7,5 / 10 – U.S.A. [1974] ; Drame, action, crime
Sous le soleil de Satan (Maurice Pialat) : 7,5 / 10 – France [1987] ; Drame
Un été 42 (Robert Mulligan) : 7,5 / 10 – U.S.A. [1972] ; Drame
Homicide (David Mamet) : 7,5 / 10 – U.S.A. [1991] ; Policier, drame
Le retour de Martin Guerre (Daniel Vigne) : 7,5 / 10 [1982] ; Drame, histoire
Strange illusion (Edgar Ulmer) : 7 / 10 – U.S.A. [1945] ; Film noir
La rose pourpre du Caire (Woody Allen) : 7 / 10 – U.S.A. [1984] ; Comédie, drame
La clinique sanglante (Fernando Di Leo) : 6,5 / 10 – Italie [1971] ; Giallo
La légende de la forteresse de Souram (Sergei Parajanov) : 6,5 / 10 – Soviet Union [1986] ; Drame,
Judex (Georges Franju) : 6,5 / 10 – France [1963] ; Crime, Action
L'effroyable secret du Dr Hichcock (Riccardo Freda) : 6,5 / 10 – Italie [1962] ; Horreur, thriller
La chance de ma vie (Nicolas Cuche) : 4,5 / 10 – France [2011] ; Comédie, romance
Morituris (Raffaele Picchio) : 4 / 10 – Italie [2011] ; Horreur
Anna Christie (Clarence Brown) : 3,5 / 10 – U.S.A. [1931] ; Drame, romance
Découvertes d'Asie :
Les salauds dorment en paix (Akira Kurosawa) : 9,5 / 10 – Japon [1960] ; Drame, Thriller
Le goût du saké (Yasujiro Ozu) : 7 / 10 – Japon [1962] ; Drame
Girl Boss Guerilla (Noribumi Suzuki) : 6,5 / 10 – Japon [1972] ; Erotique, Yakuza, Action
Gang of Wasseypur – partie 1 (Anurag Kashyap) : 6 / 10 – Inde [2012] ; Crime, drame
Série :
American Horror Story – Saison 1 : 7,5 / 10 – U.S.A. [2011] ; Horreur, thriller, drame
Courts métrages :
Love at first sight (Mickael Davies) : 7 / 10 – Angleterre [2010] ; Drame, romance
Films redécouverts :
M le maudit (Fritz Lang) : 9,5 / 10 – Allemagne [1931] ; Drame
Indiana Jones : les aventuriers de l'arche perdue (Steven Spielberg) : 8 / 10 – U.S.A. [1981] ; Aventure
L'imaginarium de Dr Parnassus (Terry Gilliam) : 7 / 10 – U.K, Canada, France [2009] ; Fantasy, drame
Dernière modification par Harkento le 1 avr. 13, 02:32, modifié 3 fois.
Mon blog ciné : http://sep7iemesens.wordpress.com/ / Mes Tops : http://dvdclassik.com/forum/viewtopic.p ... 7#p2317957
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Re: Votre film du mois de Mars 2013
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Re: Votre film du mois de Mars 2013
Film du mois
1 Lucia et le Sexe de Julio Medem
2 Les Amants du Cercle Polaire de Julio Medem
3 Le Droit d'aimer de Curtis Bernhardt
4 Cloud Atlas d'Andy et Lana Watchowski
5 Le Flambeur de Karel Reisz
1 Lucia et le Sexe de Julio Medem
2 Les Amants du Cercle Polaire de Julio Medem
3 Le Droit d'aimer de Curtis Bernhardt
4 Cloud Atlas d'Andy et Lana Watchowski
5 Le Flambeur de Karel Reisz
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Re: Votre film du mois de Mars 2013
Mars 2013
Beaucoup moins de films vus par rapport aux deux mois précédents, avec pas mal de films revus, et assez peu de découvertes vraiment intéressantes. Sauf...
Film du mois :
To the wonder (A la merveille) - T.Malick, 2013 : 9/10
Films découverts ou redécouverts :
Terminator : Salvation (Terminator : Renaissance) - McG, 2009 : 6,5/10
The Living daylights (Tuer n'est pas jouer) - J.Glen, 1987 : 6,5/10
Bullet to the head (Du Plomb dans la tête) - W.Hill, 2012 : 5/10
Spring Breakers - H.Korine, 2013 : 5/10
This is 40 (40 ans : mode d'emploi) - J.Apatow, 2012 : 6/10
Secret Beyond the Door (Le Secret derrière la porte) - F.Lang, 1948 : 5,5/10
Camille Claudel 1915 - B.Dumont, 2013 : 6,5/10
Paris when it sizzles (Deux têtes folles) - R.Quine, 1964 : 6,5/10
Raising Arizona (Arizona Jr) - J&E.Coen, 1987 : 7,5/10
No - P.Larrain, 2012: 8/10
Samsara - R.Fricke, 2011 : 7,5/10
Films revus :
Chugyeogja (The Chaser) - Na.H-j, 2008 : 8,5/10
Miller's crossing - J&E.Coen, 1990 : 10/10
License to kill (Permis de tuer) - J.Glen, 1989 : 7,5/10
Tinker Tailor Soldier Spy (La Taupe) - T.Alfredson, 2011 : 8,5/10
North by northwest (La Mort aux trousses) - A.Hitchcock, 1959 : 10/10
The Children's hour (La Rumeur) - W.Wyler, 1961 : 8,5/10
Saw - J.Wan, 2004 : 6/10
GoldenEye - M.Campbell, 1995 : 7,5/10
Beaucoup moins de films vus par rapport aux deux mois précédents, avec pas mal de films revus, et assez peu de découvertes vraiment intéressantes. Sauf...
Film du mois :
To the wonder (A la merveille) - T.Malick, 2013 : 9/10
Films découverts ou redécouverts :
Terminator : Salvation (Terminator : Renaissance) - McG, 2009 : 6,5/10
The Living daylights (Tuer n'est pas jouer) - J.Glen, 1987 : 6,5/10
Bullet to the head (Du Plomb dans la tête) - W.Hill, 2012 : 5/10
Spring Breakers - H.Korine, 2013 : 5/10
This is 40 (40 ans : mode d'emploi) - J.Apatow, 2012 : 6/10
Secret Beyond the Door (Le Secret derrière la porte) - F.Lang, 1948 : 5,5/10
Camille Claudel 1915 - B.Dumont, 2013 : 6,5/10
Paris when it sizzles (Deux têtes folles) - R.Quine, 1964 : 6,5/10
Raising Arizona (Arizona Jr) - J&E.Coen, 1987 : 7,5/10
No - P.Larrain, 2012: 8/10
Samsara - R.Fricke, 2011 : 7,5/10
Films revus :
Chugyeogja (The Chaser) - Na.H-j, 2008 : 8,5/10
Miller's crossing - J&E.Coen, 1990 : 10/10
License to kill (Permis de tuer) - J.Glen, 1989 : 7,5/10
Tinker Tailor Soldier Spy (La Taupe) - T.Alfredson, 2011 : 8,5/10
North by northwest (La Mort aux trousses) - A.Hitchcock, 1959 : 10/10
The Children's hour (La Rumeur) - W.Wyler, 1961 : 8,5/10
Saw - J.Wan, 2004 : 6/10
GoldenEye - M.Campbell, 1995 : 7,5/10
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Re: Votre film du mois de Mars 2013
MARS 2013
Film du mois
Coups de coeur du mois
Films découvertsFilm du mois
Coups de coeur du mois
- Anguish - Bigas Luna [DVD, VOST] 6,5/10
- The ABC's of death - Yoshihiro Nishimura, Noboru Iguchi, Jason Eisener & Co [DivX, VOST] 6/10
- Acción mutante - Álex de la Iglesia [DivX, VOST] 7,5/10 MA CRITIQUE
- Bullet to the head - Walter Hill [Ciné, VF] 7/10
- Zaytoun - Eran Riklis [Ciné, VOST] 5,5/10
- Spring breakers - Harmony Korine [Ciné, VOST] 8,5/10
- Hansel & Gretel : Witch hunters - Tommy Wirkola [Ciné, VF] 4/10
- 20 ans d'écart - David Moreau [Ciné, VF] 5,5/10
- To the wonder - Terrence Malick [Ciné, VOST] 8/10
- Smashed - James Ponsoldt [DVD, VOST] 6,5/10
- Chained - Jennifer Lynch [DivX, VOST] 6/10
- The sessions - Ben Lewin [Ciné, VOST] 7/10
- Heaven's gate - Michael Cimino [Ciné, VOST] 8,5/10
- Cloud atlas - Tom Tykwer, Lana & Andy Wachowski [Ciné, VOST] 6,5/10
- Oz the great and powerful - Sam Raimi [Ciné, VF] 6/10
- This is 40 - Judd Apatow [Ciné, VF] 7,5/10
- Gli equilibristi - Ivano De Matteo [Ciné, VOST] 7/10
- Au bout du conte - Agnès Jaoui [Ciné, VF] 5/10
- La planète sauvage - René Laloux [Ciné, VF] 7,5/10
- No - Pablo Larraín [Ciné, VOST] 6,5/10
- About Cherry - Stephen Elliott [DivX, VO] 6/10
- Die wand - Julian Pölsler [Ciné, VOST] 6,5/10
- The last exorcism Part II - Ed Gass-Donnelly [Ciné, VF] 3/10
- Perdita Durango - Álex de la Iglesia [DivX, VOST] 7,5/10
- Muerto de risa - Álex de la Iglesia [DVD, VOST] 7/10
- Fun size - Josh Schwartz [DVD, VOST] 5,5/10
- Warm bodies - Jonathan Levine [Ciné, VF] 6/10
- Djeca - Aida Begic [Ciné, VOST] 4/10
- Mystery - Lou Ye [Ciné, VOST] 6,5/10
- The place beyond the pines - Derek Cianfrance [Ciné, VOST] 7,5/10
- For a good time, call ... - Jamie Travis [DVD, VOST] 6/10
- Les coquillettes - Sophie Letourneur [Ciné, VF] 4/10
- Your sister's sister - Lynn Shelton [DivX, VO] 6,5/10
- Stories we tell - Sarah Polley [Ciné, VOST] 7,5/10
- Kriegerin - David Wnendt [Ciné, VOST] 6/10
- 800 balas - Álex de la Iglesia [DVD, VOST] 7,5/10
- Olympus has fallen - Antoine Fuqua [Ciné, VF] 5,5/10
- La cité rose - Julien Abraham [Ciné, VF] 6/10
- G.I. Joe : Retaliation - Jon M. Chu [Ciné, VF] 5/10
- Los amantes pasajeros - Pedro Almodóvar [Ciné, VOST] 6/10
- La religieuse - Guillaume Nicloux [Ciné, VF] 6/10
- The theatre bizarre - Douglas Buck, Tom Savini, Buddy Giovinazzo & Co. [DVD, VOST] 5/10
Films revus
- In the mouth of madness - John Carpenter [DVD, VOST] 7,5/10
- Elephant - Gus Van Sant [Ciné, VOST] 8,5/10
- Full metal jacket - Stanley Kubrick [Ciné, VOST] 8,5/10
- A clockwork orange - Stanley Kubrick [Ciné, VOST] 9/10
- El día de la bestia - Álex de la Iglesia [DVD, VOST] 7/10
- Election - Alexander Payne [DVD, VOST] 7/10
- To the wonder - Terrence Malick [Ciné, VOST] 8/10
- Spring breakers - Harmony Korine [Ciné, VOST] 8,5/10
- La communidad - Álex de la Iglesia [DVD, VOST] 7,5/10
- Scarface - Brian De Palma [Ciné, VOST] 10/10
- Jaws - Steven Spielberg [Ciné, VOST] 9/10
- The shining - Stanley Kubrick [Ciné, VOST] 8,5/10
- Crimen ferpecto - Álex de la Iglesia [DVD, VOST] 8/10
- Balada triste de trompeta - Álex de la Iglesia [DVD, VOST] 8,5/10
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Re: Votre film du mois de Mars 2013
Film du mois de mars 2013 :
1) Journal d'un curé de campagne (Robert Bresson, 1951)
Puis :
2) A la merveille (Terrence Malick, 2012, sortie cinéma 2013)
3) L'enfant miroir (Philip Ridley, 1990)
4) Camille Claudel, 1915 (Bruno Dumont, 2013)
5) Cloud Atlas (Lana et Andy Wachowski, Tom Tykwer, 2012, sortie cinéma 2013)
Films des mois précédents :
1) Journal d'un curé de campagne (Robert Bresson, 1951)
Puis :
2) A la merveille (Terrence Malick, 2012, sortie cinéma 2013)
3) L'enfant miroir (Philip Ridley, 1990)
4) Camille Claudel, 1915 (Bruno Dumont, 2013)
5) Cloud Atlas (Lana et Andy Wachowski, Tom Tykwer, 2012, sortie cinéma 2013)
Films des mois précédents :
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Re: Votre film du mois de Mars 2013
-Kaonashi Yupa- a écrit :
Mars 2013
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