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Marie Antoinette (Jean Delannoy, 1956)
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Re: Marie Antoinette (Jean Delannoy, 1956)
Là, je ne suis pas chez moi, je suis sur un Mac, et... il y a des captures bien jaunâtres ! (la 1, la 2 et la 3) Horrible !
Ça sera peut-être moins fort sur mon PC, mais... ras-le-bol de cette mode "photo jaunie" ! Heureusement que le film ne m'intéresse pas.
EDIT : je tremble pour "L'affaire des poisons".
Ça sera peut-être moins fort sur mon PC, mais... ras-le-bol de cette mode "photo jaunie" ! Heureusement que le film ne m'intéresse pas.
EDIT : je tremble pour "L'affaire des poisons".
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C'est effectivement moins fort -- nettement moins fort -- sur mon PC. Il n'empêche... rogntudjuuu !Commissaire Juve a écrit : Ça sera peut-être moins fort sur mon PC
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Re: Marie Antoinette (Jean Delannoy, 1956)
Ca me parait au contraire plutôt bleu.
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Re: Marie Antoinette (Jean Delannoy, 1956)
Je parle des captures 1, 2, 3 !
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Re: Marie Antoinette (Jean Delannoy, 1956)
Au passage, concernant la dominante bleue / ou jaune / ou verte / ou que sais-je (et je vais poster ce message sur d'autres topics) :
Deux points sur lesquels on peut revenir. Le premier concerne notre vision de spectateur. Nous avons tous le souvenir de ces films populaires diffusés à la TV et en DVD. Mais qui peut vraiment se souvenir du rendu de l'image à la sortie du film en 1967 ? Il est vrai que les images TV et DVD se confondent de films en films, tant et si bien que l'on peut supposer que les télé-cinémas tirés dans les années 1980 et 1990 ont pu imposer à notre regard de spectateur averti une évidence plastique pourtant faussée. Ensuite, un avis qui sera par ailleurs conforté par le texte suivant, extrait du livre Louis de Funès, Grimaces et gloire (Bertrand Dicale, chez Grasset en 2009, p. 356, 357), confirmant ces teintes :
"Dans les films de Jean Girault, par exemple, le chef opérateur Marcel Grignon (qui filmera au total huit fois de Funès, outre La tentation de Barbizon, qui est par coïncidence un des premiers films dont il a fait l'image) veille à ce que ses yeux aient une couleur et une luminosité très intenses. Avant les trucages numériques d'aujourd'hui, ce souci, chez quelques stars, oblige à donner à toute l'image une dominante bleue, par le choix du décor, l'éclairage lors de la prise de vue et surtout l'étalonnage au moment du tirage du film. Un traitement qui, avant le numérique, a tendance à fausser l'image et, dans certains cas, à conditionner toute la composition d'un plan à la couleur des yeux de la vedette. On murmure d'ailleurs dans le métier que Georges Wakhevitch a dû, pour cette raison, changer de couleur les murs du décor d'Oscar d'Edouard Molinaro. [...] Alors qu'on assiste ainsi à une des premières séances de rushes, Jeanne de Funès s'écrie soudain : "Loulou, tes yeux !" De fait, sur plusieurs prises d'une même scène, la pupille de de Funès a pris une teinte un peu rosée. De là vont naître des tensions, que plusieurs sources affirment attisées par les maquilleurs du comique, Anatole Paris, et son épouse, Marie-Madeleine."
Ces éléments apparaissent très précieux pour la compréhension de ces changements chromatiques d'un support à l'autre, c'est à dire du DVD (non restauré) au blu-ray (restauré, et cherchant donc la plupart du temps à se rapprocher des teintes d'origine). Enfin, cet extrait semble intéressant dans la mesure où il met en évidence le problème de façon générale, c'est à dire comme une pratique évoquée pour les stars de l'époque.
Deux points sur lesquels on peut revenir. Le premier concerne notre vision de spectateur. Nous avons tous le souvenir de ces films populaires diffusés à la TV et en DVD. Mais qui peut vraiment se souvenir du rendu de l'image à la sortie du film en 1967 ? Il est vrai que les images TV et DVD se confondent de films en films, tant et si bien que l'on peut supposer que les télé-cinémas tirés dans les années 1980 et 1990 ont pu imposer à notre regard de spectateur averti une évidence plastique pourtant faussée. Ensuite, un avis qui sera par ailleurs conforté par le texte suivant, extrait du livre Louis de Funès, Grimaces et gloire (Bertrand Dicale, chez Grasset en 2009, p. 356, 357), confirmant ces teintes :
"Dans les films de Jean Girault, par exemple, le chef opérateur Marcel Grignon (qui filmera au total huit fois de Funès, outre La tentation de Barbizon, qui est par coïncidence un des premiers films dont il a fait l'image) veille à ce que ses yeux aient une couleur et une luminosité très intenses. Avant les trucages numériques d'aujourd'hui, ce souci, chez quelques stars, oblige à donner à toute l'image une dominante bleue, par le choix du décor, l'éclairage lors de la prise de vue et surtout l'étalonnage au moment du tirage du film. Un traitement qui, avant le numérique, a tendance à fausser l'image et, dans certains cas, à conditionner toute la composition d'un plan à la couleur des yeux de la vedette. On murmure d'ailleurs dans le métier que Georges Wakhevitch a dû, pour cette raison, changer de couleur les murs du décor d'Oscar d'Edouard Molinaro. [...] Alors qu'on assiste ainsi à une des premières séances de rushes, Jeanne de Funès s'écrie soudain : "Loulou, tes yeux !" De fait, sur plusieurs prises d'une même scène, la pupille de de Funès a pris une teinte un peu rosée. De là vont naître des tensions, que plusieurs sources affirment attisées par les maquilleurs du comique, Anatole Paris, et son épouse, Marie-Madeleine."
Ces éléments apparaissent très précieux pour la compréhension de ces changements chromatiques d'un support à l'autre, c'est à dire du DVD (non restauré) au blu-ray (restauré, et cherchant donc la plupart du temps à se rapprocher des teintes d'origine). Enfin, cet extrait semble intéressant dans la mesure où il met en évidence le problème de façon générale, c'est à dire comme une pratique évoquée pour les stars de l'époque.
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Re: Marie Antoinette (Jean Delannoy, 1956)
On est tout à fait d'accord qu'il y a une question de fidélité à la photo d'origine qui est difficile à évaluer.
Par contre, il y a des choses qui laissent perplexes tant on a parfois l'impression de retrouver un véritable motif lié à un éditeur + un labo, sur des films très différents tournés avec des équipes très différentes à des périodes très différentes.
Chez Gaumont, quand Lucien Lacombe, Zazie dans le métro, La valise, Il était une fois un flic, Péril en la demeure, La chèvre, Coup de tête et Boris Godounov ont tous des caractéristiques colorimétriques qui se ressemblent au moins partiellement (tendances bleutées, noirs bouchés et grisés, etc), on peut décemment se poser des questions si, au delà de la photo d'origine, il n'y a aussi et surtout un traitement en laboratoire lors de la restauration.
Par contre, il y a des choses qui laissent perplexes tant on a parfois l'impression de retrouver un véritable motif lié à un éditeur + un labo, sur des films très différents tournés avec des équipes très différentes à des périodes très différentes.
Chez Gaumont, quand Lucien Lacombe, Zazie dans le métro, La valise, Il était une fois un flic, Péril en la demeure, La chèvre, Coup de tête et Boris Godounov ont tous des caractéristiques colorimétriques qui se ressemblent au moins partiellement (tendances bleutées, noirs bouchés et grisés, etc), on peut décemment se poser des questions si, au delà de la photo d'origine, il n'y a aussi et surtout un traitement en laboratoire lors de la restauration.
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Re: Marie Antoinette (Jean Delannoy, 1956)
Propos liminaire : Julien... je parle "en général", je ne t'agresse pas.
Perso, je m'en bats les bollocks de ces histoires de prétendue "photo d'origine" ! Quand je me promène dans Paris ou à Versailles, le blanc des nuages, des panneaux de circulation, etc., ce blanc-là est blanc... ni jaunâtre, ni bleuâtre, ni verdâtre.
Après, que Jean-Pierre Jeunet ou François Dupeyron aient envie de filmer à travers une analyse d'urine, ok... c'est leur choix. Mais à l'époque de Jean Delannoy et de Gilles Grangier, je doute que ce genre de pratique était courante.
Enfin pour revenir au jaunâtre : quand on prétend vendre de l'image "restaurée", il n'y a rien de plus contreproductif. Les photos jaunies retrouvées au fond d'une boîte à chaussures, les dents jaunes, ça fait tout sauf restauré.
EDIT : du reste, à mon avis, il n'est même pas question de "photo d'origine", mais de "chaleur d'origine" des péloches. On en avait déjà parlé : il fut un temps, on disait que les film Kodak étaient un peu chauds, que les films Fuji tiraient un peu vers le vert... Eh bien, si l'Eastmancolor tire vers le jaune, je m'en contrefiche. Qu'on le corrige comme on le faisait autrefois.
L'alibi suprême. Fermez le ban !tenia a écrit :... fidélité à la photo d'origine ...
Perso, je m'en bats les bollocks de ces histoires de prétendue "photo d'origine" ! Quand je me promène dans Paris ou à Versailles, le blanc des nuages, des panneaux de circulation, etc., ce blanc-là est blanc... ni jaunâtre, ni bleuâtre, ni verdâtre.
Après, que Jean-Pierre Jeunet ou François Dupeyron aient envie de filmer à travers une analyse d'urine, ok... c'est leur choix. Mais à l'époque de Jean Delannoy et de Gilles Grangier, je doute que ce genre de pratique était courante.
Enfin pour revenir au jaunâtre : quand on prétend vendre de l'image "restaurée", il n'y a rien de plus contreproductif. Les photos jaunies retrouvées au fond d'une boîte à chaussures, les dents jaunes, ça fait tout sauf restauré.
EDIT : du reste, à mon avis, il n'est même pas question de "photo d'origine", mais de "chaleur d'origine" des péloches. On en avait déjà parlé : il fut un temps, on disait que les film Kodak étaient un peu chauds, que les films Fuji tiraient un peu vers le vert... Eh bien, si l'Eastmancolor tire vers le jaune, je m'en contrefiche. Qu'on le corrige comme on le faisait autrefois.
Dernière modification par Commissaire Juve le 12 juil. 15, 11:36, modifié 1 fois.
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Re: Marie Antoinette (Jean Delannoy, 1956)
Commissaire, t'en fais pas, c'est pas contre toi non plus, d'autant que moi je t'aime bien. Et ton site m'a très souvent servi pour acheter des René Château, si si.Commissaire Juve a écrit :Propos liminaire : Julien... je parle "en général", je ne t'agresse pas.
L'alibi suprême. Fermez le ban !tenia a écrit :... fidélité à la photo d'origine ...
Perso, je m'en bats les bollocks de ces histoires de prétendue "photo d'origine" ! Quand je me promène dans Paris ou à Versailles, le blanc des nuages, des panneaux de circulation, etc., ce blanc-là est blanc... ni jaunâtre, ni bleuâtre, ni verdâtre.
Après, que Jean-Pierre Jeunet ou François Dupeyron aient envie de filmer à travers une analyse d'urine, ok... c'est leur choix. Mais à l'époque de Jean Delannoy et de Gilles Grangier, je doute que ce genre de pratique était courante.
Enfin pour revenir au jaunâtre : quand on prétend vendre de l'image "restaurée", il n'y a rien de plus contreproductif. Les photos jaunies retrouvées au fond d'une boîte à chaussures, les dents jaunes, ça fait tout sauf restauré.
EDIT : du reste, à mon avis, il n'est même pas question de "photo d'origine", mais de "chaleur d'origine" des péloches. On en avait déjà parlé, mais, il fut un temps, on disait que les film Kodak étaient un peu chaud, que les films Fuji tiraient un peu vers le vert... Eh bien, si l'Estmancolor tire vers le jaune, je m'en contrefiche. Qu'on le corrige comme on le faisait autrefois.
Mais, parce qu'il y a un mais, je réponds à ce que tu dis par ce chapitre de livre :
Alors le débat reste ouvert. Que dire ?"Dans les films de Jean Girault, par exemple, le chef opérateur Marcel Grignon (qui filmera au total huit fois de Funès, outre La tentation de Barbizon, qui est par coïncidence un des premiers films dont il a fait l'image) veille à ce que ses yeux aient une couleur et une luminosité très intenses. Avant les trucages numériques d'aujourd'hui, ce souci, chez quelques stars, oblige à donner à toute l'image une dominante bleue, par le choix du décor, l'éclairage lors de la prise de vue et surtout l'étalonnage au moment du tirage du film. Un traitement qui, avant le numérique, a tendance à fausser l'image et, dans certains cas, à conditionner toute la composition d'un plan à la couleur des yeux de la vedette. On murmure d'ailleurs dans le métier que Georges Wakhevitch a dû, pour cette raison, changer de couleur les murs du décor d'Oscar d'Edouard Molinaro. [...] Alors qu'on assiste ainsi à une des premières séances de rushes, Jeanne de Funès s'écrie soudain : "Loulou, tes yeux !" De fait, sur plusieurs prises d'une même scène, la pupille de de Funès a pris une teinte un peu rosée. De là vont naître des tensions, que plusieurs sources affirment attisées par les maquilleurs du comique, Anatole Paris, et son épouse, Marie-Madeleine."
Visiblement si, à l'époque, certaines teintes étaient plus ou moins voulues. Alors, qu'est-ce à dire par rapport à ce que font les studios ? Je ne dis pas qu'ils font tout bien, attention. Mais je m'interroge. Et au lieu de fusiller à tout va (mais ce n'est pas un reproche "plus grand que la mort", attention hein), je cherche à comprendre. Donc, je cherche tout cours. Je recherche.
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Re: Marie Antoinette (Jean Delannoy, 1956)
Ben, à l'heure qu'il est, je préfère acheter des films en noir & blanc.Julien Léonard a écrit : Que dire ?
On court toujours le risque de tomber sur des accidents à la "Madame de..." (accident rectifié, d'ailleurs) ou à la "Bande à part", il peut aussi y avoir des problèmes de densité du noir ("Un témoin dans la ville"), mais le fait est qu'on est beaucoup moins emmerdés !
PS : dans ton quote, il faut évidemment lire "Eastmancolor".
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Re: Marie Antoinette (Jean Delannoy, 1956)
Que malheureusement, tant qu'il n'y aura pas plus d'informations accessibles à tous sur le travail de recherche qui, je l'espère, sert de base aux restaurations en l'absence de personnes pouvant servir de référent, ça reste difficile à la fois de dire si c'est anormal, mais aussi de dire si c'est normal.Julien Léonard a écrit :Alors le débat reste ouvert. Que dire ?
Et dans le doute...
Je veux dire, je comprends le commissaire, il y a des photos qui paraissent étrange en BR, parce que ça parait tellement pas naturel et tranche tellement avec toutes ces autres restaurations qu'on a vu jusqu'à présent. Je veux bien croire que les De Broca avec Bebel aient eu une photo jaune, vraiment jaune, mais pourquoi j'ai l'impression que ce sont les seuls films comme ça en BR ?
C'est ce type de question sans réponse qui fout le doute.
Surtout que le jaune, ça peut aussi venir d'un moniteur mal étalonné.
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Re: Marie Antoinette (Jean Delannoy, 1956)
Je trouve ça très beau.
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Re: Marie Antoinette (Jean Delannoy, 1956)
Quel moniteur ?tenia a écrit : Surtout que le jaune, ça peut aussi venir d'un moniteur mal étalonné.
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Re: Marie Antoinette (Jean Delannoy, 1956)
Pour ce qui me concerne : il m'arrive de passer ici sur un Mac dont le moniteur a un étalonnage probablement trop "chaud" et tout ce qui est "jaunâtre" saute littéralement à la figure (d'où, par exemple, l'énorme colère que j'ai faite en découvrant les captures des parapluies de Cherbourg).Geoffrey Firmin a écrit :Quel moniteur ?tenia a écrit : Surtout que le jaune, ça peut aussi venir d'un moniteur mal étalonné.
Sur mon PC -- apparemment mieux étalonné -- ce genre de problème est nettement plus atténué.
Quoi qu'il en soit, il y a une "petite" dominante jaunâtre sur les 3 premières captures (on peut facilement la virer avec le filtre "couleur dominante" de Photoshop... filtre qui blanchit les blancs et réétalonne le reste).
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Re: Marie Antoinette (Jean Delannoy, 1956)
Surtout, est-ce qu'on n'a pas été trop habitués à voir des masters trafiqués pour faire "joli", et ce pendant des années, jusqu'à ce qu'enfin on prenne soin de "respecter" un peu mieux le rendu d'origine ?
J'ai beau également tiquer sur ces photogrammes bien jaunâtres, ils me semblent plus correspondre à un rendu pellicule que les couleurs boostées, très "tv", qu'on peut voir par exemple dans le test de Garçon ! (comparatif dvd). Il y a peut-être un juste milieu entre les deux mais on s'y approche sans doute...
J'ai beau également tiquer sur ces photogrammes bien jaunâtres, ils me semblent plus correspondre à un rendu pellicule que les couleurs boostées, très "tv", qu'on peut voir par exemple dans le test de Garçon ! (comparatif dvd). Il y a peut-être un juste milieu entre les deux mais on s'y approche sans doute...
"Un film n'est pas une envie de faire pipi" (Cinéphage, août 2021)