Les Blu-ray Artus
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Re: Les Blu-ray Artus
La ville dorée est un très bon film, moins inoubliable que Offrande au bien aimé, que j'adore. Je suis content de récupérer une copie commercial sous-titrée en français, je n'avais que des sous-titres anglais (et encore pas pour les dernières 5 minutes).
La critique féministe redécouvre un peu non pas le cinéaste, mais plutôt les vedettes féminine de la UFA et note souvent que les personnages qu'elles interprètent sont beaucoup plus compliqués et transgressifs que ce qu'on pourrait penser (les trois K), ce qui est intéressant par rapport au public allemand de la période, qui, manifestement, attendait autre chose que les idéaux du régime transformés en film.
La critique féministe redécouvre un peu non pas le cinéaste, mais plutôt les vedettes féminine de la UFA et note souvent que les personnages qu'elles interprètent sont beaucoup plus compliqués et transgressifs que ce qu'on pourrait penser (les trois K), ce qui est intéressant par rapport au public allemand de la période, qui, manifestement, attendait autre chose que les idéaux du régime transformés en film.
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- Alexandre Angel
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Re: Les Blu-ray Artus
J'adhère à priori et je pense en effet qu'il y a matière à se constituer une culture sympa dans ce domaine et cette fenêtre-là.damdouss a écrit : ↑10 janv. 23, 15:12 Concernant Harlan je pense que c'était un bon plasticien avant tout et qui a su utiliser merveilleusement la couleur (l'agfacolor) et sans la couleur il ne serait peut-être pas resté dans les annales. Ses mélos ne sont pas transcendantaux mais pas indignes non plus tout comme ceux que Sirk avaient pu faire en Allemagne jusqu'en 1939. Après il faut en effet adhérer à ce genre assez spécifiquement allemand qui continuera d'ailleurs après guerre dans les années 50 en RFA avec nombre de films souvent mineurs (avec Romy Schneider par exemple).. C'était aussi un genre le plus apolitique qui soit et l'Allemagne en a surement eu bien besoin pendant ces années... Des mélos et des films policiers résument les quasi seules productions notables du cinéma allemand des années 50-60 avant que n'arrive la nouvelle vague allemande des Fassbinder, Herzog ou Wenders !
Domaine dans lequel Sierck, à mon sens, et pour ce que j'en connais, s'est imposé très vite comme un maître ne serais-je qu'avec La Fille des marais.
Et bien l'intelligence est mise à rude épreuve quand les auteurs alimentent une idéologie horrible qui continue de nous menacer même si les paramètres ont évolué.
Cette période est pour moi incroyablement proche : on peut encore la toucher du doigt, la distinguer et pas seulement "par temps dégagé" . Trier le grain de l'ivraie chez ceux qui ont participé à l'abjection est un effort pour moi tellement surhumain que j'ai tendance à lâcher l'affaire. Je le reconnais humblement.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Les Blu-ray Artus
Justement le jugement a posteriori est toujours à relativiser par l'historien pour les acteurs ayant connu la période qui est jugée. Les pires ambiguïtés ont concerné l'occupation et le régime de Vichy dans notre pays : penser que la France était massivement "résistante" par exemple tel que les gouvernements l'ont laissé croire après guerre et pendant 30 ans au moins : on admet aujourd'hui que c'était faux ("Le chagrin et la pitié" d'Ophuls a en partie fait pour déboulonner cette "croyance"). Le cinéma sous l'occupation et les films de la Continental pourraient alors par principe être tous condamnés et leurs auteurs aussi... On sait maintenant que tous ceux qui y travaillaient n'étaient pas et loin de là des nazillons en puissance ! (Le Chanois qui était juif, résistant y bosse comme scénariste aidé par ses collègues techniciens et réalisateurs de la Continental)Alexandre Angel a écrit : ↑10 janv. 23, 16:53Et bien l'intelligence est mise à rude épreuve quand les auteurs alimentent une idéologie horrible qui continue de nous menacer même si les paramètres ont évolué.
Cette période est pour moi incroyablement proche : on peut encore la toucher du doigt, la distinguer et pas seulement "par temps dégagé" . Trier le grain de l'ivraie chez ceux qui ont participé à l'abjection est un effort pour moi tellement surhumain que j'ai tendance à lâcher l'affaire. Je le reconnais humblement.
De même que tous les réalisateurs allemands n'ont pas pu ou su quitter l'Allemagne des années 30 : étaient ils tous des nazis convaincus ? La question pécuniaire, la facilité de réaliser pour le régime sans se remettre en question rentre aussi en ligne de compte. Vaste question en tout cas... Et je le redis le régime communiste, qui même s'il n'est pas de la même consubstantialité que le régime nazi a fait lui aussi des millions de morts... Faut-il jeter tous les films réalisés sous régime soviétique ?
Les films d'Arlan font partie de l'Histoire du cinéma allemand : on peut les ignorer, les juger quand c'est nécessaire (l'abominable "Juif Süss") et en admirer quelques uns quand c'est possible également. Car je le répète : le "mélodrama" allemand teinté d'histoires d'amour romantiques est quand même une partie intégrante du cinéma outre rhin des années 20 à 60 : et ceux d'Arlan dans les années 40 n'échappent finalement pas à cette tradition.
Après pour en revenir purement au cinéma je ne pense pas qu'Arlan ait le même talent qu'un Sirk non plus !
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Re: Les Blu-ray Artus
Il n'a pas réalisé que le Juif Süß (gratiné ahem) quand même, heureusement. Lui aussi inédit en vidéo, hors import US, et pas près de sortir ici.Alexandre Angel a écrit : ↑10 janv. 23, 14:25Concernant Harlan, et en reconnaissant que je ne maîtrise pas la filmographie, c'est tout de même un peu compliqué de faire le distinguo.
PS : lapsus corrigé.
Dernière modification par Telmo le 10 janv. 23, 22:28, modifié 1 fois.
- Alexandre Angel
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Re: Les Blu-ray Artus
Joué ? Réalisé tu veux dire ?
Mon discours (celui que je tiens à damdouss) est que je me fous qu'il n'ait pas réalisé "que" Le Juif Süss : mon problème est qu'il l'a réalisé et que ça rejaillit pour moi sur le reste de la filmo, aussi "injuste" (y compris pour moi) que cela puisse être . La filmographie est complètement entachée pour moi.*
Je tiendrais le même discours si Detlef Sierck avait fuckté de la même manière. Heureusement pour ce dernier, pour son talent et pour nous cinéphiles, tout en étant un fleuron de l'UFA, il est resté digne.
* cela dit, je devrais dire "suspecte" plutôt qu'"entachée" car je souscris partiellement à l'idée que Veit Harlan ait pu être un artisan tranquillement esthète.
Je parle des salauds (ou salopes) qui ont épousé une cause immonde soit par idéologie militante et/ou opportunisme, soit par lâcheté. Ou souvent les deux en même temps. Leni Riefenstahl fut une mamie admirable qui faisait de la plongée sous-marine à plus de 100 ans. Mais idéologiquement, c'était une salope : c'est sans négociation possible.
Dans ce documentaire réalisé par Laurent Roth, déjà ancien, que j'ai vu en salle en 1996, on la voit regarder des rushes sur une moviola de ses propres images de défilés nazi, elle arbore un rictus de jouissance rétrospective d'une obscénité à peine croyable.
Voilà, pour ma part, je clos sur ce topic la discussion because on s'éloigne d'Artus
Mon discours (celui que je tiens à damdouss) est que je me fous qu'il n'ait pas réalisé "que" Le Juif Süss : mon problème est qu'il l'a réalisé et que ça rejaillit pour moi sur le reste de la filmo, aussi "injuste" (y compris pour moi) que cela puisse être . La filmographie est complètement entachée pour moi.*
Je tiendrais le même discours si Detlef Sierck avait fuckté de la même manière. Heureusement pour ce dernier, pour son talent et pour nous cinéphiles, tout en étant un fleuron de l'UFA, il est resté digne.
* cela dit, je devrais dire "suspecte" plutôt qu'"entachée" car je souscris partiellement à l'idée que Veit Harlan ait pu être un artisan tranquillement esthète.
Mais là, tu prêches un convaincu : je ne parle pas du tout de ce monde -là.damdouss a écrit : ↑10 janv. 23, 17:48 Justement le jugement a posteriori est toujours à relativiser par l'historien pour les acteurs ayant connu la période qui est jugée. Les pires ambiguïtés ont concerné l'occupation et le régime de Vichy dans notre pays : penser que la France était massivement "résistante" par exemple tel que les gouvernements l'ont laissé croire après guerre et pendant 30 ans au moins : on admet aujourd'hui que c'était faux ("Le chagrin et la pitié" d'Ophuls a en partie fait pour déboulonner cette "croyance"). Le cinéma sous l'occupation et les films de la Continental pourraient alors par principe être tous condamnés et leurs auteurs aussi... On sait maintenant que tous ceux qui y travaillaient n'étaient pas et loin de là des nazillons en puissance ! (Le Chanois qui était juif, résistant y bosse comme scénariste aidé par ses collègues techniciens et réalisateurs de la Continental)
De même que tous les réalisateurs allemands n'ont pas pu ou su quitter l'Allemagne des années 30 : étaient ils tous des nazis convaincus ? La question pécuniaire, la facilité de réaliser pour le régime sans se remettre en question rentre aussi en ligne de compte. Vaste question en tout cas... Et je le redis le régime communiste, qui même s'il n'est pas de la même consubstantialité que le régime nazi a fait lui aussi des millions de morts... Faut-il jeter tous les films réalisés sous régime soviétique ?
Les films d'Arlan font partie de l'Histoire du cinéma allemand : on peut les ignorer, les juger quand c'est nécessaire (l'abominable "Juif Süss") et en admirer quelques uns quand c'est possible également. Car je le répète : le "mélodrama" allemand teinté d'histoires d'amour romantiques est quand même une partie intégrante du cinéma outre rhin des années 20 à 60 : et ceux d'Arlan dans les années 40 n'échappent finalement pas à cette tradition.
Je parle des salauds (ou salopes) qui ont épousé une cause immonde soit par idéologie militante et/ou opportunisme, soit par lâcheté. Ou souvent les deux en même temps. Leni Riefenstahl fut une mamie admirable qui faisait de la plongée sous-marine à plus de 100 ans. Mais idéologiquement, c'était une salope : c'est sans négociation possible.
Dans ce documentaire réalisé par Laurent Roth, déjà ancien, que j'ai vu en salle en 1996, on la voit regarder des rushes sur une moviola de ses propres images de défilés nazi, elle arbore un rictus de jouissance rétrospective d'une obscénité à peine croyable.
Voilà, pour ma part, je clos sur ce topic la discussion because on s'éloigne d'Artus
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Les Blu-ray Artus
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Re: Les Blu-ray Artus
C'est moi ou on est un peu HS, là ?
(mais c'est intéressant, hein)
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Re: Les Blu-ray Artus
Alexandre Angel a écrit : ↑10 janv. 23, 21:18 Joué ? Réalisé tu veux dire ?
Mon discours (celui que je tiens à damdouss) est que je me fous qu'il n'ait pas réalisé "que" Le Juif Süss : mon problème est qu'il l'a réalisé et que ça rejaillit pour moi sur le reste de la filmo, aussi "injuste" (y compris pour moi) que cela puisse être . La filmographie est complètement entachée pour moi.*
Je tiendrais le même discours si Detlef Sierck avait fuckté de la même manière. Heureusement pour ce dernier, pour son talent et pour nous cinéphiles, tout en étant un fleuron de l'UFA, il est resté digne.
* cela dit, je devrais dire "suspecte" plutôt qu'"entachée" car je souscris partiellement à l'idée que Veit Harlan ait pu être un artisan tranquillement esthète.
Mais là, tu prêches un convaincu : je ne parle pas du tout de ce monde -là.damdouss a écrit : ↑10 janv. 23, 17:48 Justement le jugement a posteriori est toujours à relativiser par l'historien pour les acteurs ayant connu la période qui est jugée. Les pires ambiguïtés ont concerné l'occupation et le régime de Vichy dans notre pays : penser que la France était massivement "résistante" par exemple tel que les gouvernements l'ont laissé croire après guerre et pendant 30 ans au moins : on admet aujourd'hui que c'était faux ("Le chagrin et la pitié" d'Ophuls a en partie fait pour déboulonner cette "croyance"). Le cinéma sous l'occupation et les films de la Continental pourraient alors par principe être tous condamnés et leurs auteurs aussi... On sait maintenant que tous ceux qui y travaillaient n'étaient pas et loin de là des nazillons en puissance ! (Le Chanois qui était juif, résistant y bosse comme scénariste aidé par ses collègues techniciens et réalisateurs de la Continental)
De même que tous les réalisateurs allemands n'ont pas pu ou su quitter l'Allemagne des années 30 : étaient ils tous des nazis convaincus ? La question pécuniaire, la facilité de réaliser pour le régime sans se remettre en question rentre aussi en ligne de compte. Vaste question en tout cas... Et je le redis le régime communiste, qui même s'il n'est pas de la même consubstantialité que le régime nazi a fait lui aussi des millions de morts... Faut-il jeter tous les films réalisés sous régime soviétique ?
Les films d'Arlan font partie de l'Histoire du cinéma allemand : on peut les ignorer, les juger quand c'est nécessaire (l'abominable "Juif Süss") et en admirer quelques uns quand c'est possible également. Car je le répète : le "mélodrama" allemand teinté d'histoires d'amour romantiques est quand même une partie intégrante du cinéma outre rhin des années 20 à 60 : et ceux d'Arlan dans les années 40 n'échappent finalement pas à cette tradition.
Je parle des salauds (ou salopes) qui ont épousé une cause immonde soit par idéologie militante et/ou opportunisme, soit par lâcheté. Ou souvent les deux en même temps. Leni Riefenstahl fut une mamie admirable qui faisait de la plongée sous-marine à plus de 100 ans. Mais idéologiquement, c'était une salope : c'est sans négociation possible.
Dans ce documentaire réalisé par Laurent Roth, déjà ancien, que j'ai vu en salle en 1996, on la voit regarder des rushes sur une moviola de ses propres images de défilés nazi, elle arbore un rictus de jouissance rétrospective d'une obscénité à peine croyable.
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Discussion très intéressante mais sans fin. Et des gens comme Rossellini ou même Douglas Sirk ne sont pas clairs sur certains aspects de leur vie. Il suffit juste de savoir ce qu'ils ont fait, de comprendre l'époque ce qui ne veut absolument pas dire les justifier, et de voir leurs films en ayant conscience de tout ça. Voir le Juif Suss ou Le Triomphe de la volonté ça ne me dérangerait pas du tout même si la moitié de ma famille a disparu à cause de cette idéologie. Dans un genre différent est-ce qu'on doit détruire les films de David Hamilton sous prétexte que c'était une ordure de violeur pédophile ?
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Re: Les Blu-ray Artus
C'est pas le sujet, on a fait le tour où allons dans les topics où on en parle ici on parle des éditions Artus.
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« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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Re: Les Blu-ray Artus
Oui vive Artus ! Merci pour les conseils concernant le coffret Damiani et Fata Morgana. Artus reste le meilleur petit éditeur français (malgré certaines défaillances comme les 5 déserteurs).
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Re: Les Blu-ray Artus
Super pour le Fata morganaRick Blaine a écrit : ↑10 janv. 23, 13:05 Mai 2023 :
LA TRILOGIE DE DAMIANO DAMIANI
Coffret 3 films + livret 100 pages
- Nous sommes tous en liberté provisoire
- Comment tuer un juge
- Goodbye & amen
FATA MORGANA (1965) de Vicente Aranda
Pour les Damiani il va falloir faire attention ou alors bien doublonner
Goodbye et Amen sort chez Radiance en angleterre
Et il y a le coffret Franco Nero/Cosa nostra : The Day of the Owl, The Case is Closed: Forget It and How to Kill a Judge
https://www.radiancefilms.co.uk/product ... no-damiani
Bonne question, j'ai vu le film sur Classic il y a peu mais il manque cruellement un blu-ray Français.
- tenia
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Re: Les Blu-ray Artus
En fait, les 4 Damiani de Radiance correspondent aux 3 annoncés chez Artus + La mafia fait la loi paru chez Canal via la collection Make My Day.
- Robert Brisseau
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Re: Les Blu-ray Artus
bien vu. Le bilan pour les sorties FR vs UK est que dans les 2 cas on a 1 coffret "trilogie" + 1 titre à part (1 seul éditeur côté Uk et 2 éditeurs pour la France) mais le contenu est légèrement différent: c'est "La Mafia" et "Goodbye & Amen" qui permutent "dans" ou "hors" coffret selon le pays (si j'ai bien compris)
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Re: Les Blu-ray Artus
C'est exactement ça.Robert Brisseau a écrit : ↑12 janv. 23, 10:41c'est "La Mafia" et "Goodbye & Amen" qui permutent "dans" ou "hors" coffret selon le pays
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Re: Les Blu-ray Artus
Ah oui je me suis embrouillé avec les titres
Day of the owl c'est la mafia fait la loi et case is closed = Nous sommes tous en liberté provisoire. Bref pas d'inédit en angleterre, je pense que les disques UK vont rester chez l'éditeur
Day of the owl c'est la mafia fait la loi et case is closed = Nous sommes tous en liberté provisoire. Bref pas d'inédit en angleterre, je pense que les disques UK vont rester chez l'éditeur