Rien sur les mixages effroyables où l'atmosphère disparaît presque au profit des voix ?AustinSix a écrit : ↑26 févr. 23, 18:39Avec ta remarque sur les voix françaises, je n'ai pu m'empêcher de me souvenir de ce petit chapitre d'introduction sur le doublage, dans mon premier livre sur les séries (en 1987 (qui dit homme mûrs?)).Telmo a écrit : ↑26 févr. 23, 18:00 J'ai déjà donné pour les traductions pourries, les sempiternelles voix, insuffisantes en nombre et en variété, les mixages de doublage bien frontaux style allemand (encore aujourd'hui) donc ça ira merci, hors valeur historique et nostalgique, mais la redécouverte est souvent cruelle.
- Spoiler (cliquez pour afficher)
Homme mûr ou trop mûr ? Un peu passé de mode ce mûr, remplacé par mature, calque pas trop gênant de l'anglais (d'origine latine) mais le doublage a l'excuse de la synchronisation labiale, lui.
Bon point pour Yves Robert, en tout cas.
Eliot Ness ? Les Incorruptibles ? Encore cité par Ségolène Royal comme précédent exemple de summum de violence à l'écran dans son magnum opus, le ras-le-bol des bébés zappeurs, p. 149, même si Bioman est pire question violence, du moins d'après elle.
Bonus :
J'arrête avec les citations de Bécassine, promis !"Mais sans être chauvins et dirigistes, il faut quand même admettre que, sans quotas, nos enfants finiront par penser américain voire parler japonais. Déjà, au palais de justice, on a remarqué que des jeunes délinquants appellent le juge « Votre Honneur ». "