Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2018 [clos]

[Boubakar]

The disaster artist : 5,5/10

[Addis-Abeba]

Possum
Quel étrange film, je n'ai pas tout compris, mais j'aime bien, l'ambiance est assez unique, le pantin araignée est très inquiétant, et le pas moins étrange Sean Harris comme d'habitude parfait.

6/10

[Spongebob]

Bumblebee : 7/10

[Spongebob]

Dogman : 7,5/10

[Zelda Zonk]

- The Guilty (Gustav Möller - 2018) : 6,5/10

Pari risqué, mais pari gagné en ce qui me concerne, avec ce thriller danois en huis-clos, basé uniquement sur la perception d'une bande-son.
J'ai beaucoup pensé à Ed et son BITE, car ce film y aurait parfaitement trouvé sa place.

[Addis-Abeba]

-Cold skin:

Je ne m'attendais pas du tout à celà, ca change des films habituels de genre.
L'atmosphère est plutôt bonne avec cette ile sauvage, esthétiquement soigné, juste un regret que les créatures ressemblent trop à celles de Del Toro, mais Gens signe un film fort honorable.


6/10

[Addis-Abeba]

-The Cloverfield Paradox: 1.5/10

Et encore, c'est par ce que je suis de bonne humeur.

[Addis-Abeba]

-The Predator:


Ce n'est pas la catastrophe annoncée, mais Shane Black est trop gourmand, et oublie le concept de base du premier Prédator.Sa réussite provenait hormis sa réalisation, sa musique et ses acteurs charismatiques, de son scénario ultra basique: la Prédator face à un poignée de commandos, point barre, ici ca doit rester primaire.
Pas besoin de se disperser partout et de "complexifier" autant son histoire, elle perd en efficacité immédiate.
Pas désagréable à voir, mais un humour à coté de la plaque et quelques mauvais choix de réalisations ne font jamais décollé l'ensemble, dommage.
Quand même largement plus sympathique que celui de 2010 de Nimrod Antal.


4,5/10

[Zelda Zonk]

Un couteau dans le coeur (Yann Gonzalez - 2018) : 5/10

Cette note récompense l'exercice de style, plutôt réussi, et salue l'audace formelle d'une oeuvre qui s'inscrit clairement dans le cinéma bis ou underground, ce qui n'est pas si courant dans le cinéma français.
On voit bien que Yann Gonzalez se nourrit constamment de son amour pour le cinéma de genre et la série B, en particulier le Giallo italien, son film étant ultra-référencé (trop, diront certains) et regorgeant d'hommages appuyés à ses maîtres (Argento, De Palma, notamment). J'ai trouvé la première partie prometteuse (le milieu du porno gay, le tueur mystérieux...), précisément car elle s'enchâsse bien dans les codes du Giallo. En revanche, à partir du moment où le film emprunte une voie lorgnant davantage vers le fantastique, j'ai été beaucoup moins convaincu, notamment par toute cette partie champêtre très ennuyeuse. Esthétiquement, le film est bien maîtrisé dans son abstraction plastique, mais pêche donc quelque peu au niveau de son scénario bancal, mais aussi dans l'interprétation des seconds rôles, même si Vanessa Paradis est convaincante dans son rôle de productrice X blonde platine. Bref, une proposition intéressante, ne serait-ce que pour ses ambitions plastiques et ses trouvailles visuelles, mais qui ne parvient pas à dépasser le simple hommage fétichiste.

[A noter que le film est dispo gratuitement sur le Replay d'Arte, pour ceux qui pourraient être intéressés]

[Wulfa]

Shéhérazade, Jean-Bernard Marlin : 8/10.

De l'insupportable au sublime.

[Zelda Zonk]

I feel good (Gustave Kervern et Benoît Delépine - 2018) : 5/10

Kursk (Thomas Vinterberg - 2018) : 3,5/10

[Zelda Zonk]

Dogman (Matteo Garrone - 2018) : 7,5/10

[Addis-Abeba]

-Under The Silver Lake

2/10

[Boubakar]

Cold war : 5/10

[Addis-Abeba]

-La fille aux deux visages:

Tentative certes intéressante sur le thème du film de Franju, mais un peu suicidaire.
j'aimerai bien savoir ce qu'est devenu ce jeune réalisateur.

4.5/10