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- Coxwell
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Re: Disney+
Bd2049 a été tourné sur Arri Alexa Studio en Open gate 3.4K. Le DP a cadré en 1.90 et en 2.40. Ce n’est pas un recadrage 1.9 à partir du 2.4 donc mais un format pris dans le plein cadre d’origine qui est un peu plus carré.
Quant aux questions de l’intention artistique et du respect de l’intégrité de l’œuvre, dénaturée, moins authentique en Imax par rapport à son support initial ? Mais de quoi parle-t-on on exactement ? Quel est le support initial de référence ? Le Scope ? Le gamma 2.4 ? La courbe HDR ? Le profil Rec 2020 ? Quelle est la référence dans ce contexte si ce n’est le process natif du double format et des choix de photo pris en ce sens avec travail des courbes pour coller au cahier des charges du DP avec les machines de cinéma utilisées ?
En quoi une machine de cinéma calibrée et conçue chez Imax avec l’appui du support DCP Imax du film (avec travail en amont du DP qui est parfaitement au courant) serait moins authentique qu’un DCP 2k downscale et projeté sur une infinité de machines moins étalonnées - normées (et ce, en raison du parc différencié) ? C’est bien entendu illogique, et dans ce contexte, il n’y a pas de question de dénaturer. Quand on voit les efforts gigantesques qui sont faits sur le master et l’étalonnage de la machine et tests en salles, prétendre l’inverse est une provocation gratuite, incongrue et irrespectueuse pour toutes les personnes qui travaillent avec les équipes techniques du/des film(s). Le travail réalisé est dantesque et il n’y a rien de transgressif dans le résultat visuel. Il ne s’agit pas d’un type devant son ordinateur et son projecteur qui appuye a tout hasard sur la télécommande + saturation +++ netteté+++. Soyons sérieux.
Quant à la comparaison avec l’Imax 70 mm, je l’ai déjà évoqué ici même, mais le Laser 4K chez Imax donne des résultats ultra probants et sur bien des points, supérieurs à son homologue 70mm argentique. Spectre colorimétrique, stabilité d’image, contraste séquentiel et intra-image… la sensation de piqué et de définition n’est pas véritablement inférieure au 70mm. Cela est lié notamment au contraste supérieur et à la très bonne accutance de la technologie DLP.
Quant aux questions de l’intention artistique et du respect de l’intégrité de l’œuvre, dénaturée, moins authentique en Imax par rapport à son support initial ? Mais de quoi parle-t-on on exactement ? Quel est le support initial de référence ? Le Scope ? Le gamma 2.4 ? La courbe HDR ? Le profil Rec 2020 ? Quelle est la référence dans ce contexte si ce n’est le process natif du double format et des choix de photo pris en ce sens avec travail des courbes pour coller au cahier des charges du DP avec les machines de cinéma utilisées ?
En quoi une machine de cinéma calibrée et conçue chez Imax avec l’appui du support DCP Imax du film (avec travail en amont du DP qui est parfaitement au courant) serait moins authentique qu’un DCP 2k downscale et projeté sur une infinité de machines moins étalonnées - normées (et ce, en raison du parc différencié) ? C’est bien entendu illogique, et dans ce contexte, il n’y a pas de question de dénaturer. Quand on voit les efforts gigantesques qui sont faits sur le master et l’étalonnage de la machine et tests en salles, prétendre l’inverse est une provocation gratuite, incongrue et irrespectueuse pour toutes les personnes qui travaillent avec les équipes techniques du/des film(s). Le travail réalisé est dantesque et il n’y a rien de transgressif dans le résultat visuel. Il ne s’agit pas d’un type devant son ordinateur et son projecteur qui appuye a tout hasard sur la télécommande + saturation +++ netteté+++. Soyons sérieux.
Quant à la comparaison avec l’Imax 70 mm, je l’ai déjà évoqué ici même, mais le Laser 4K chez Imax donne des résultats ultra probants et sur bien des points, supérieurs à son homologue 70mm argentique. Spectre colorimétrique, stabilité d’image, contraste séquentiel et intra-image… la sensation de piqué et de définition n’est pas véritablement inférieure au 70mm. Cela est lié notamment au contraste supérieur et à la très bonne accutance de la technologie DLP.
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Re: Disney+
Encore une fois, il faut comparer des choses comparables. J’ai eu l’occasion et la chance de participer à de nombreux tests en conditions réelles. Dunkirk, en 70mm IMAX n’est pas meilleur que son homologue Imax Numérique projeté avec deux projecteurs Laser 4K. Je dirai même que je préfère la deuxième version pour les arguments évoqués plus hauts. Avatar proposait une très belle image en 70mm 3D. Mais encore une fois, ce qui en ressort dans les conditions décrites au dessus n’est pas un ersatz, loin de là. Le résultat est excellent. L’amélioration est possible avec des travaux plus pointus sur les toiles et l’espacement inter pixel et les microperfo. Mais cela devient complexe, on ne gagnera pas en piqué avec des matrices 8k. D’abord parce que la sensation de définition s’effondre avec le motion Blur du 24fps, et car le moteur optique est presque incapable de faire passer quelque chose au-delà de la vraie 4k (hautes fréquences) ; la 8k en projection est un mirage. N’importe quel professionnel sérieux confirmera. Reste le HDR (le vrai), mais qui est un « gouffre à lumière » et empêchant d’exploiter de très grandes bases d’écran pour le moment. Dolby ne parvient pas a dépasser 18m sinon au prix de sacrifices importants sur d’autres critères de l’image. Difficile.Boba Fett 69 a écrit : ↑9 nov. 21, 19:47 l'IMAX numérique qui sévit depuis plus de 10 ans n'a plus rien à voir avec le vrai IMAX des origines, à savoir des pellicules 70mm 15 perf à la résolution phénoménale.
Aujourd'hui il y a clairement tromperie sur la marchandise avec leur IMAX du pauvre (d'ailleurs surnommé "LieMAX" dans les pays anglo-saxons).
Ce n'est qu'un argument gadget marketing de plus, comme la 3D, la 4DX ou le ICE.
Les salles n'ont également rien à voir avec les salles IMAX d'antan, certaines étant ridiculement petites.
En France il n'y a guère que celle du Gaumont Disney qui y ressemble vraiment. Il y en avait au Futuroscope aussi, mais je ne sais pas ce qu'elles sont devenues aujourd'hui.
J'ai eu la chance de voir des documentaires dans des salles IMAX aux USA dans les années 90, ainsi qu'Avatar en copie 70mm au Gaumont Disney Village en 2009, le dernier film exploité sous cette forme dans cette salle.
Pour moi c'était ça l'IMAX, pas l'ersatz qu'on nous vend aujourd'hui.
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Re: Disney+
Je citais Deakins :
"The DMR process reduces grain (with the loss of definition involved in doing so) and also seems to add contrast and saturation. We did not use DMR for 'Skyfall' nor did we use it for BR2049.
Both of these films were shot using Alexa cameras. Although one was shot in standard aperture and one in Open Gate mode each utilized the extra 'negative' area you have between the standard 2.40:1 frame ratio and the edges of sensor. The effects work was also done to accommodate this extra image area.
As I have said countless times, the IMAX version shows more image area to the top and bottom of the wide screen frame. That is not how the process works when a film is shot in anamorphic because the anamorphic image already fills the sensor. So there has to be an extraction made. Less of the original picture area is seen on the IMAX screen. It is cropped to the left and right to allow for the more square IMAX image area. It is for this reason the image can be said to have been 'blown up' for IMAX and this is why they use the DMR process."
J'en ai déduis que BR2049 était tourné en anamorphique, donc avec extraction derrière, mais j'ai visiblement mal compris. Autant pour moi.
Deakins lui-même explique :Coxwell a écrit : ↑9 nov. 21, 20:35Quant aux questions de l’intention artistique et du respect de l’intégrité de l’œuvre, dénaturée, moins authentique en Imax par rapport à son support initial ? Mais de quoi parle-t-on on exactement ? Quel est le support initial de référence ? Le Scope ? Le gamma 2.4 ? La courbe HDR ? Le profil Rec 2020 ? Quelle est la référence dans ce contexte si ce n’est le process natif du double format et des choix de photo pris en ce sens avec travail des courbes pour coller au cahier des charges du DP avec les machines de cinéma utilisées ?
En quoi une machine de cinéma calibrée et conçue chez Imax avec l’appui du support DCP Imax du film (avec travail en amont du DP qui est parfaitement au courant) serait moins authentique qu’un DCP 2k downscale et projeté sur une infinité de machines moins étalonnées - normées (et ce, en raison du parc différencié) ? C’est bien entendu illogique, et dans ce contexte, il n’y a pas de question de dénaturer. Quand on voit les efforts gigantesques qui sont faits sur le master et l’étalonnage de la machine et tests en salles, prétendre l’inverse est une provocation gratuite, incongrue et irrespectueuse pour toutes les personnes qui travaillent avec les équipes techniques du/des film(s). Le travail réalisé est dantesque et il n’y a rien de transgressif dans le résultat visuel. Il ne s’agit pas d’un type devant son ordinateur et son projecteur qui appuye a tout hasard sur la télécommande + saturation +++ netteté+++. Soyons sérieux.
"We added a little saturation and brightness to allow for the silvered screen. You need to add that to balance between the desaturated edges of the frame and the hot spot in the center. That is why I don't like IMAX."
La question est donc légitime quand le process IMAX oblige le DP à consciemment, délibérément devoir s'écarter de ce qu'il a prévu car le format l'y oblige. Sans parler, comme il le dit plus haut, du process DMR spécifique à IMAX, et en partie (ou totalement - à nouveau, je ne connais pas précisément son contenu versus l'ensemble du process Enhanced) repris pour le IMAX Enhanced, et qui là encore vient distordre l'image prévue pour la conformer au process de diffusion IMAX.
De fait, et j'en suis désolé, je ne trouve pas du tout mes remarques illégitimes, et en quoi elles manqueraient de sérieux. Que tu sois convaincu (en tout cas, c'est ce qui ressort de tes posts là dessus) du bien fondé et de la transparence parfaite du process aux intentions d'origine est une chose, qu'on constate à la fin qu'IMAX, d'une manière ou d'une autre, génère des itérations des films différentes de celles originellement prévues (peu importe l'appui du DP), en est une autre. Et ce n'est certainement pas manquer de respect à qui que ce soit que de se demander au final, face à toutes ces versions d'un film qui se cotoient, celles avec plus ou moins de saturation, plus ou moins de dégrainage, plus ou moins de contraste, laquelle est bien "la bonne".
Excuse moi que la version dégrainée, sur-saturée et sur-contrastée ne me paraisse pas instinctivement la réponse.
Mais une énième fois, ça ne parle pas de la confusion entretenue auprès du grand public entre les tournages en IMAX 70/15 et ceux simplement numériques avec un cadre 1.90 (et ce que tu veux de traitements numériques derrière - que l'industrie ne met pas particulièrement en avant, ni ici ni d'habitude), et les histoires de cadrage laissant croire que les films en 2.39 sont anormalement croppés de partout et qu'on retrouve ENFIN l'image telle qu'on aurait du la voir depuis toujours grâce aux ressorties 1.90.
De même qu'il ne s'agit pas tant de comparer l'IMAX 70/15 avec la qualité atteignable numériquement, juste de rappeler que "tourner en IMAX" en numérique ne veut pas dire grand chose (puisque cela reste, donc, des tournages numériques à la base, comme il en existe des milliers), et que ça fait encore moins sens en vidéo (et j'espère que les flux domestiques "IMAX" ne sont pas DMRisés, etc).
- Coxwell
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Re: Disney+
Je n’ai pas dit que l’image 1.90 était meilleure que la 2.40 évidemment mais pas non plus l’inverse. Mais sur certains films, la verticalité de l’image me parle.
Le process évoqué par Deakins et cité ici même concerne une correction liée aux écrans métallisés. Ce n’est pas tant la faute du projecteur et de l’étalonnage de celui-ci. Le problème est lié à la puissance nécessaire pour éclairer les surfaces, et le faire avec une illuminance suffisamment élevée pour compenser le gamma fort qui donne le maximum de relief.
La question des écrans - métallisés - est un problème (J’ai évoqué que c’était l’attribut à améliorer, j’aurais du également parler de la surface et gain), mais en réalité il ne concerne pas seulement Imax, car même si interdit par la Société des exploitants de salles, beaucoup de salles 2k Laser ou Xénon utilisent des écrans métallisés. Donc l’effet est encore pire en terme de speckle (c’est le debruitage évoqué plus haut pour compenser ça) qu’on retrouve sur des Laser - phosphore, un peu moins avec du Laser 6p.
C’est la raison pour laquelle je suis dubitatif sur ce que serait l’image pure, fidèle, authentique, surtout laquelle et avec quel matériel ?
kinepolis Lomme, puisqu’il était cité précédemment, utilise des écrans métallisés dans beaucoup de salles pour remplacer ces anciennes toiles. C’était destiné originellement à de la 3D, mais ça permet désormais de compenser la perte de luminosité des projecteurs Xénon, mais renforce le hot spot et les effets de speckle sur les projections laser.
Dans ce cas de figure, et je pourrais citer d’autres exploitants qui ont des machines qui n’ont pas l’agrément DCI, avec des matrices rincées (Sony), des gamut étriqués, des dérives colorimétriques exagérées, que voit on de la nature originelle de l’image ?
C’est une chaîne et une homogénéité dont il faut parler, et ces ajustements existent à défaut de configurations ou la destructions / distorsion se fait par le matériel utilisé. Lorsqu’on étalonne un film sur un moniteur BVM ou un projecteur de cinéma 2k, que voit on du film sur son écran personnel ? La technologie, sa réponse en sortie, propose une version alternative, intrinsèquement, de ce qui est étalonné en studio. On peut considérer être dans sa représentation du vrai, mais le résultat chez soi sera toujours une proposition différente et contestable de ce qui serait l’expérience et de l’image « naturelle » du film. A l’heure des gradations HDR et des espaces colorimétriques REC2020 réajustés en DCI P3 voire avec conversion SDR, ou même avec DTM pour garder la bonne courbe de luminance des couleurs, que voit on au final ? C’est encore pire de savoir si sa downconversion permet d’avoir les couleurs voulues d’origine ? Il est quasiment impossible à l’heure actuelle d’avoir un résultat vraiment rassurant sur ces critères en lecture HDR>SDR. Dans ce cas de figure, on vol à vue.
Je pense à mon sens, que l’expérience numérique Laser Imax a le mérite d’être totalement standardisée, projecteurs et matériau, avec un contrôle maximal des équipes techniques du film, et ce, avec un écran de taille maximale. C’est la raison pour laquelle, je considère que c’est l’expérience la plus intéressante et la plus valorisante pour la projection d’un certain type de cinéma dans ce que cette expérience a d’exceptionnel de par sa taille mais aussi de par un rendu bien contrôlé et correctement géré sur la chaîne. Quelque chose qu’on ne peut véritablement avoir ailleurs.
Imax enhanced, comme je l’ai dit, c’est un non sens (tout comme le Dolby Atmos chez soi) pour tout un tas de raisons. C’est ça le véritable ersatz peu ou pas contrôlé avec des sacrifices techniques discutables mais ultra commerciaux.
Le process évoqué par Deakins et cité ici même concerne une correction liée aux écrans métallisés. Ce n’est pas tant la faute du projecteur et de l’étalonnage de celui-ci. Le problème est lié à la puissance nécessaire pour éclairer les surfaces, et le faire avec une illuminance suffisamment élevée pour compenser le gamma fort qui donne le maximum de relief.
La question des écrans - métallisés - est un problème (J’ai évoqué que c’était l’attribut à améliorer, j’aurais du également parler de la surface et gain), mais en réalité il ne concerne pas seulement Imax, car même si interdit par la Société des exploitants de salles, beaucoup de salles 2k Laser ou Xénon utilisent des écrans métallisés. Donc l’effet est encore pire en terme de speckle (c’est le debruitage évoqué plus haut pour compenser ça) qu’on retrouve sur des Laser - phosphore, un peu moins avec du Laser 6p.
C’est la raison pour laquelle je suis dubitatif sur ce que serait l’image pure, fidèle, authentique, surtout laquelle et avec quel matériel ?
kinepolis Lomme, puisqu’il était cité précédemment, utilise des écrans métallisés dans beaucoup de salles pour remplacer ces anciennes toiles. C’était destiné originellement à de la 3D, mais ça permet désormais de compenser la perte de luminosité des projecteurs Xénon, mais renforce le hot spot et les effets de speckle sur les projections laser.
Dans ce cas de figure, et je pourrais citer d’autres exploitants qui ont des machines qui n’ont pas l’agrément DCI, avec des matrices rincées (Sony), des gamut étriqués, des dérives colorimétriques exagérées, que voit on de la nature originelle de l’image ?
C’est une chaîne et une homogénéité dont il faut parler, et ces ajustements existent à défaut de configurations ou la destructions / distorsion se fait par le matériel utilisé. Lorsqu’on étalonne un film sur un moniteur BVM ou un projecteur de cinéma 2k, que voit on du film sur son écran personnel ? La technologie, sa réponse en sortie, propose une version alternative, intrinsèquement, de ce qui est étalonné en studio. On peut considérer être dans sa représentation du vrai, mais le résultat chez soi sera toujours une proposition différente et contestable de ce qui serait l’expérience et de l’image « naturelle » du film. A l’heure des gradations HDR et des espaces colorimétriques REC2020 réajustés en DCI P3 voire avec conversion SDR, ou même avec DTM pour garder la bonne courbe de luminance des couleurs, que voit on au final ? C’est encore pire de savoir si sa downconversion permet d’avoir les couleurs voulues d’origine ? Il est quasiment impossible à l’heure actuelle d’avoir un résultat vraiment rassurant sur ces critères en lecture HDR>SDR. Dans ce cas de figure, on vol à vue.
Je pense à mon sens, que l’expérience numérique Laser Imax a le mérite d’être totalement standardisée, projecteurs et matériau, avec un contrôle maximal des équipes techniques du film, et ce, avec un écran de taille maximale. C’est la raison pour laquelle, je considère que c’est l’expérience la plus intéressante et la plus valorisante pour la projection d’un certain type de cinéma dans ce que cette expérience a d’exceptionnel de par sa taille mais aussi de par un rendu bien contrôlé et correctement géré sur la chaîne. Quelque chose qu’on ne peut véritablement avoir ailleurs.
Imax enhanced, comme je l’ai dit, c’est un non sens (tout comme le Dolby Atmos chez soi) pour tout un tas de raisons. C’est ça le véritable ersatz peu ou pas contrôlé avec des sacrifices techniques discutables mais ultra commerciaux.
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Re: Disney+
Merci pour ces excellentes explications.
Ça explique les mauvais retours des projections laser que j'ai eu, car il me semble qu'ils ont des toiles grises pour la 3D.
En tout cas c'est passionnant.
Ça explique les mauvais retours des projections laser que j'ai eu, car il me semble qu'ils ont des toiles grises pour la 3D.
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Re: Disney+
(sinon, j'attends toujours l'intervention de Jack Carter pour dire stop au HS)
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Re: Disney+
Coxwell vainqueur par K.O.Coxwell a écrit : ↑9 nov. 21, 21:51 A l’heure des gradations HDR et des espaces colorimétriques REC2020 réajustés en DCI P3 voire avec conversion SDR, ou même avec DTM pour garder la bonne courbe de luminance des couleurs, que voit on au final ? C’est encore pire de savoir si sa downconversion permet d’avoir les couleurs voulues d’origine ? Il est quasiment impossible à l’heure actuelle d’avoir un résultat vraiment rassurant sur ces critères en lecture HDR>SDR. Dans ce cas de figure, on vol à vue.
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Re: Disney+
Le réalisateur de Doctor Strange, Scott Derickson, ne semble pas trop d'accord avec le recadrage sauvage que Disney+ a fait subir à son film :
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Re: Disney+
CQFD...
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Re: Disney+
downconversion = conversion descendante
A l’heure des gradations HDR et des espaces colorimétriques REC2020 réajustés en DCI P3 voire avec conversion SDR, ou même avec DTM pour garder la bonne courbe de luminance des couleurs, que voit on au final ? C’est encore pire de savoir si sa downconversion permet d’avoir les couleurs voulues d’origine
(Le reste est une évidence)
- Mosin-Nagant
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Re: Disney+
Je suppose que Scott Derickson n'a également jamais eu l'intention de réaliser une daube pareille.
You know my feelings: Every day is a gift. It's just, does it have to be a pair of socks?
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Re: Disney+
Mosin-Nagant a écrit : ↑13 nov. 21, 12:19Je suppose que Scott Derickson n'a également jamais eu l'intention de réaliser une daube pareille.
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Re: Disney+
La première partie de The Beatles : Get Back est disponible depuis aujourd'hui. Elle dure 157 minutes.
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Re: Disney+
Il y a un endroit sur le forum où on parle de l’aspect visuel absolument ignoble de ces archives ?
- Jeremy Fox
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Re: Disney+
Oui ils en parlent dans le topic Beatles en littérature et musique.
https://www.dvdclassik.com/forum/viewto ... =8&t=20867