On en a déjà parlé moult fois par ici, mais je ne serai jamais d'accord avec ce constat.Coxwell a écrit : ↑8 sept. 21, 16:45 Il y a une imagerie, un traitement de photo, une lumière, une matière qui est très conditionnée en fonction du support destiné - dominant (grand écran, salle de cinéma, écran/smartphone). Il y a un certain type de photo/modelé de l'image qui change non pas seulement en raison des caméras numériques, mais aussi des conditions prévues par les plateformes et les producteurs de ce type (TV, échelle de gris, compression, etc.). Je l'ai entendu à plein de reprises de la bouche des réals petits ou grands. Netflix n'est pas qu'une plateforme, c'est aussi un producteur et un initiateur d'un certain type de contenus esthétiques.
Cela me rend triste car je constate jour après jour ce formatage esthétique dans les productions récentes estampillées Netflix and co. Et je ne parle même pas du contenu à l'écriture, qui est encore plus navrant sans doute.
Surtout lorsque pour le justifier, on choisit des films qui ont simplement été achetés par Netflix, ce qui rend la démonstration totalement caduque.