Beau film sur les douleurs et les joies de la "parentalité par extension" et au delà sur la douleur de l’absence de maternité. Probablement en grande partie autobiographique tant pour sa réalisatrice que pour son actrice principale, plus vulnérable et naturelle que jamais (et qui tient probablement son César cette fois, en tous cas aujourd’hui).
Bogus a écrit : ↑3 oct. 22, 18:24
Je serai moins enthousiaste mais un beau film oui.
Dommage qu’il y ait 20 min de trop (pour moi) comme à peu près dans tous les films de nos jours.
Peut-être pas 20 minutes mais Zlotowski a effectivement du mal à quitter son héroïne. Comme si elle avait hésité entre trois fins possibles et qu’elle avait finalement mis les trois à la suite (heureusement que le film ne se termine pas sur la seconde d’ailleurs), terminant heureusement par le meilleur choix, à savoir que le personnage se rend compte que ce qu’elle a donné n’a pas été vain et qu’elle peut laisser une trace et transmettre d’une autre façon.
J’ajoute dans les faiblesses du film une prise de son pas toujours fabuleuse compte tenu du caractère naturaliste du film où les chuchotements et conversations intimes sont la norme.
Et puis j’ai grave les boules parce qu’on n’y entend PAS la chanson de Françoise Hardy!
Je connais très bien Hardy mais je ne vois pas à quel titre tu fais référence.
Concernant le morceau d’introduction de Vivaldi, il me semblait reconnaître une musique entendu chez Emmanuel Mouret ou Truffaut, je suis persuadé de l’avoir entendu dans un autre film (Mademoiselle de Joncquieres ?).
