Les tops 2022 des Classikiens (Ciné/VOD)
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Re: Les tops 2022 des Classikiens (Ciné/VOD)
1.Avatar : la voie de l'eau
2.Elvis
3.Nouvel Ordre
4.Blonde
5.Licorice Pizza
6.Val
7.Novembre
8.Athena
9.X
10.Top Gun : Maverick
En ramant pas mal.
2.Elvis
3.Nouvel Ordre
4.Blonde
5.Licorice Pizza
6.Val
7.Novembre
8.Athena
9.X
10.Top Gun : Maverick
En ramant pas mal.
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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Re: Les tops 2022 des Classikiens (Ciné/VOD)
Mon Top 2022, une très belle année Cinéma!
1- Avatar : la voie de l’eau – James Cameron
2- Licorice Pizza – Paul Thomas Anderson
3- Green Knight – David Lowery
4- Elvis – Baz Luhrmann
5- Armageddon Time – James Gray
6- As Bestas - Rodrigo Sorogoyen
7- The Batman – Matt Reeves
8- Nightmare Alley – Guillermo Del Toro
9- Pinocchio - Guillermo Del Toro
10- Ennio - Giuseppe Tornatore
Bonus : Top Gun : Maverick – Joseph Kosinski / La Nuit du 12 – Dominik Moll / Decision to leave – Park Chan-Wook /Alerte rouge – Domee Shi / Nope – Jordan Peele
1- Avatar : la voie de l’eau – James Cameron
2- Licorice Pizza – Paul Thomas Anderson
3- Green Knight – David Lowery
4- Elvis – Baz Luhrmann
5- Armageddon Time – James Gray
6- As Bestas - Rodrigo Sorogoyen
7- The Batman – Matt Reeves
8- Nightmare Alley – Guillermo Del Toro
9- Pinocchio - Guillermo Del Toro
10- Ennio - Giuseppe Tornatore
Bonus : Top Gun : Maverick – Joseph Kosinski / La Nuit du 12 – Dominik Moll / Decision to leave – Park Chan-Wook /Alerte rouge – Domee Shi / Nope – Jordan Peele
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Re: Les tops 2022 des Classikiens (Ciné/VOD)
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Re: Les tops 2022 des Classikiens (Ciné/VOD)
Il est demandé 11 en fait.
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« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
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Re: Les tops 2022 des Classikiens (Ciné/VOD)
Top | Supfiction 2022
1- Licorice Pizza (2022, P.T. Anderson)
2- Elvis (2022, Baz Luhrmann)
3- L’innocent (2022, Louis Garrel)
4- Armageddon time (2022, James Gray)
5- Chronique d'une liaison passagère (2022, Emmanuel Mouret)
6- Un beau matin (2022, Mia Hansen-Løve)
7- En attendant Bojangles (2022, Régis Roinsard)
8- Top Gun Maverick (2022, Joseph Kosinski)
9- Les Passagers de la nuit (2022, Mikhaël Hers)
10- Avatar: La voie de l’eau (2022, James Cameron)
1- Licorice Pizza (2022, P.T. Anderson)
2- Elvis (2022, Baz Luhrmann)
3- L’innocent (2022, Louis Garrel)
4- Armageddon time (2022, James Gray)
5- Chronique d'une liaison passagère (2022, Emmanuel Mouret)
6- Un beau matin (2022, Mia Hansen-Løve)
7- En attendant Bojangles (2022, Régis Roinsard)
8- Top Gun Maverick (2022, Joseph Kosinski)
9- Les Passagers de la nuit (2022, Mikhaël Hers)
10- Avatar: La voie de l’eau (2022, James Cameron)
- Thaddeus
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Re: Les tops 2022 des Classikiens (Ciné/VOD)
1. Armageddon Time – James Gray
Sans la moindre concession au sentimentalisme, en cultivant une lucidité sans nostalgie qui refuse autant le douteux plaisir de la défaite que la facilité du renoncement, Gray raconte comment la trivialité d’une histoire adolescente se généralise en principe moral, comment l’anecdote débouche sur la structuration future de chaque être dans la société des hommes, comment ses héros se condamnent à errer en naufragés dans un monde qu’ils n’ont pas su accorder à leurs rêves. Subtil et bouleversant.
2. The Fabelmans – Steven Spielberg
Les rêves font peur et l’art fait mal. Mais lorsqu’on réfléchit vingt-quatre fois par seconde, cela donne un film léger et grave, émouvant et enchanteur, par lequel un immense artiste s’autorise, au soir d’une carrière sans égal, à ouvrir en grand les portes de son cœur. Investissant la création comme maison à vivre et instrument de reconquête du monde, il enseigne à quel point comprendre celui-ci revient à accepter de grandir, à continuer de regarder à juste distance ce qui se présente à soi.
3. Les Passagers de la Nuit – Mikhaël Hers
Chacun est persuadé d’avoir vécu durant sa jeunesse la plus belle période du monde. C’est la sienne que le réalisateur réécrit à travers cette errance rêvée entre des états crépusculaires, hommage molletonné et chavirant sur une ballade de Joe Dassin. Trempé dans la ouate, le film cristallise ainsi un temps, un lieu, une mémoire, les convoque à la manière d’un carnet d’archives intimes, en redistribue subtilement les composantes et contribue à les fonder en vérité. On appelle cela une saudade.
4. Tár – Todd Field
Portrait vertigineux d’une femme confinée dans sa bulle mégalomaniaque, trop exceptionnelle pour se soumettre au regard de la société, et dont la complexité s’offre majestueusement à reconstituer : quand vient l’ultime image, on est toujours en train de peler l’oignon. Tout de coulées galvaniques, d’ellipses hantées, de nuances de gris, le film saisit l’air du temps avec une acuité magistrale, et anéantit l’enfer feutré d’un microcosme artistique en préservant notre totale liberté de jugement.
5. As Bestas – Rodrigo Sorogoyen
Qui fixe les limites du jeu social, qui dicte sa loi ? De quel prix paie-t-on le refus de répondre sur leur terrain à la violence des agresseurs ? Voici plusieurs questions posées par ce film sinueux, torve, suffocant, où la terre humide absorbe les larmes retenues de la souffrance, où la forêt dissimule un esprit de clocher délétère, où les roches matent toute révolte en provenance de l’extérieur. Et de cette tension attisée dans la braise surgit un miroir saisissant de l’insécurité humaine.
6. Les Enfants des Autres – Rebecca Zlotowski
Avoir un enfant ou non, le sien biologique ou celui d’un autre : telle est la situation à laquelle est confrontée Rachel, quarante ans bien tassés, amoureuse d’un père comblé. Servi par des orfèvres de l’incarnation, le film emprunte au mélo pour mieux dynamiter les lieux communs. Dessiner pareil portrait de femme, avec ce que cela suppose de maturité, d’intelligence, de sentimentalité premier degré, n’est pas à la portée de tout le monde. En frappant au cœur, Zlotowski l’accomplit avec éclat.
7. Decision to Leave – Park Chan-wook
Tout réussit à ce film. La précision millimétrée d’un style agencé comme un ballet de trompe-l’œil, une sphère d’attraction. La mosaïque cinégénique d’un suspense vampirisé par les affects. La volupté de l’osmose perpétuellement empêchée du flic et de la veuve. Park a retenu la leçon de Vertigo selon laquelle l’amour est affaire d’imagination, dut-elle s’enflammer et couvrir d’un flot de lave endeuillée celui qui en est la proie, quitte à se réveiller avec les longues intermittences des volcans.
8. Leila et ses Frères – Saeed Roustayi
On pourrait être dans une version dégradée du Parrain, sans flingue ni dignité. Voire chez Molière, avec ce vieil avare accroché à ses pièces d’or. Lacérant un patriarcat à bout de souffle, portant en bandoulière l’humour féroce du désespoir, Roustayi nous plonge dans un récit à haute intensité dramatique qui ballotte d’arnaques pyramidales en promesses non tenues, de transactions en pertes et de leurres en humiliations. Et même s’il invite à tuer le père, il n’empêche pas de le pleurer.
9. EO – Jerzy Skolimowski
Du cirque à l’abattoir, sous les caresses et les coups de pied, sur-expressif dans son mutisme de bête qui n’en pense pas moins, l’âne divague, s’enfuit, se perd, saute d’un désordre à l’autre. Faute de référence ou de comparaison probante, c’est à une épopée dionysiaque que l’on pourrait assimiler ce film cubiste, speed, drogué, dont l’énergie figurative et l’animisme hallucinés trahissent une assurance que l’âge du réalisateur, loin d’affaiblir, renforce au point d’exploser tous les possibles.
10. L’Innocent – Louis Garrel
Cela pourrait se situer aujourd’hui ou dans les eighties, être signé par un Claude Lelouch inspiré ou un serviteur émérite de la comédie italienne. Glissant avec brio entre les registres intimement rapprochés du suspense et du sentiment, Garrel réussit avec ce divertissement de première tenue, que traversent une envie partageuse de cinéma et l’inquiète insouciance de la jeunesse, à raconter cet art étrange de s’épanouir en se fuyant, de devenir pleinement soi-même en jouant le rôle d’un autre.
Sur le banc : Les Amandiers (Valeria Bruni-Tedeschi), Les Banshees d’Inisherin (Martin McDonagh), Les Cinq Diables (Léa My-sius), Everything Everywhere All at Once (Daniel Scheinert & Daniel Kwan), R.M.N. (Cristian Mungiu)…
Sans la moindre concession au sentimentalisme, en cultivant une lucidité sans nostalgie qui refuse autant le douteux plaisir de la défaite que la facilité du renoncement, Gray raconte comment la trivialité d’une histoire adolescente se généralise en principe moral, comment l’anecdote débouche sur la structuration future de chaque être dans la société des hommes, comment ses héros se condamnent à errer en naufragés dans un monde qu’ils n’ont pas su accorder à leurs rêves. Subtil et bouleversant.
2. The Fabelmans – Steven Spielberg
Les rêves font peur et l’art fait mal. Mais lorsqu’on réfléchit vingt-quatre fois par seconde, cela donne un film léger et grave, émouvant et enchanteur, par lequel un immense artiste s’autorise, au soir d’une carrière sans égal, à ouvrir en grand les portes de son cœur. Investissant la création comme maison à vivre et instrument de reconquête du monde, il enseigne à quel point comprendre celui-ci revient à accepter de grandir, à continuer de regarder à juste distance ce qui se présente à soi.
3. Les Passagers de la Nuit – Mikhaël Hers
Chacun est persuadé d’avoir vécu durant sa jeunesse la plus belle période du monde. C’est la sienne que le réalisateur réécrit à travers cette errance rêvée entre des états crépusculaires, hommage molletonné et chavirant sur une ballade de Joe Dassin. Trempé dans la ouate, le film cristallise ainsi un temps, un lieu, une mémoire, les convoque à la manière d’un carnet d’archives intimes, en redistribue subtilement les composantes et contribue à les fonder en vérité. On appelle cela une saudade.
4. Tár – Todd Field
Portrait vertigineux d’une femme confinée dans sa bulle mégalomaniaque, trop exceptionnelle pour se soumettre au regard de la société, et dont la complexité s’offre majestueusement à reconstituer : quand vient l’ultime image, on est toujours en train de peler l’oignon. Tout de coulées galvaniques, d’ellipses hantées, de nuances de gris, le film saisit l’air du temps avec une acuité magistrale, et anéantit l’enfer feutré d’un microcosme artistique en préservant notre totale liberté de jugement.
5. As Bestas – Rodrigo Sorogoyen
Qui fixe les limites du jeu social, qui dicte sa loi ? De quel prix paie-t-on le refus de répondre sur leur terrain à la violence des agresseurs ? Voici plusieurs questions posées par ce film sinueux, torve, suffocant, où la terre humide absorbe les larmes retenues de la souffrance, où la forêt dissimule un esprit de clocher délétère, où les roches matent toute révolte en provenance de l’extérieur. Et de cette tension attisée dans la braise surgit un miroir saisissant de l’insécurité humaine.
6. Les Enfants des Autres – Rebecca Zlotowski
Avoir un enfant ou non, le sien biologique ou celui d’un autre : telle est la situation à laquelle est confrontée Rachel, quarante ans bien tassés, amoureuse d’un père comblé. Servi par des orfèvres de l’incarnation, le film emprunte au mélo pour mieux dynamiter les lieux communs. Dessiner pareil portrait de femme, avec ce que cela suppose de maturité, d’intelligence, de sentimentalité premier degré, n’est pas à la portée de tout le monde. En frappant au cœur, Zlotowski l’accomplit avec éclat.
7. Decision to Leave – Park Chan-wook
Tout réussit à ce film. La précision millimétrée d’un style agencé comme un ballet de trompe-l’œil, une sphère d’attraction. La mosaïque cinégénique d’un suspense vampirisé par les affects. La volupté de l’osmose perpétuellement empêchée du flic et de la veuve. Park a retenu la leçon de Vertigo selon laquelle l’amour est affaire d’imagination, dut-elle s’enflammer et couvrir d’un flot de lave endeuillée celui qui en est la proie, quitte à se réveiller avec les longues intermittences des volcans.
8. Leila et ses Frères – Saeed Roustayi
On pourrait être dans une version dégradée du Parrain, sans flingue ni dignité. Voire chez Molière, avec ce vieil avare accroché à ses pièces d’or. Lacérant un patriarcat à bout de souffle, portant en bandoulière l’humour féroce du désespoir, Roustayi nous plonge dans un récit à haute intensité dramatique qui ballotte d’arnaques pyramidales en promesses non tenues, de transactions en pertes et de leurres en humiliations. Et même s’il invite à tuer le père, il n’empêche pas de le pleurer.
9. EO – Jerzy Skolimowski
Du cirque à l’abattoir, sous les caresses et les coups de pied, sur-expressif dans son mutisme de bête qui n’en pense pas moins, l’âne divague, s’enfuit, se perd, saute d’un désordre à l’autre. Faute de référence ou de comparaison probante, c’est à une épopée dionysiaque que l’on pourrait assimiler ce film cubiste, speed, drogué, dont l’énergie figurative et l’animisme hallucinés trahissent une assurance que l’âge du réalisateur, loin d’affaiblir, renforce au point d’exploser tous les possibles.
10. L’Innocent – Louis Garrel
Cela pourrait se situer aujourd’hui ou dans les eighties, être signé par un Claude Lelouch inspiré ou un serviteur émérite de la comédie italienne. Glissant avec brio entre les registres intimement rapprochés du suspense et du sentiment, Garrel réussit avec ce divertissement de première tenue, que traversent une envie partageuse de cinéma et l’inquiète insouciance de la jeunesse, à raconter cet art étrange de s’épanouir en se fuyant, de devenir pleinement soi-même en jouant le rôle d’un autre.
Sur le banc : Les Amandiers (Valeria Bruni-Tedeschi), Les Banshees d’Inisherin (Martin McDonagh), Les Cinq Diables (Léa My-sius), Everything Everywhere All at Once (Daniel Scheinert & Daniel Kwan), R.M.N. (Cristian Mungiu)…
Dernière modification par Thaddeus le 31 déc. 23, 11:43, modifié 3 fois.
- Vic Vega
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Re: Les tops 2022 des Classikiens (Ciné/VOD)
Pour moi, une très belle cuvée de cinéma, c'est une année où sortent en salles en France L'Anguille, Le Goût de la cerise, Happy Together, Lost Highway, Volte/Face, En chair et en os et Hana Bi. Donc je ne partage pas forcément le constat. En revanche, 2022 a regorgé de suffisamment de propositions de cinéma à la fois singulières et un minimum convaincantes pour composer facilement un Top Ten. Si je devais choisir un film emblématique de 2022, ce serait Pacifiction, film qui a alterné le génial et des moments dignes des parodies de films art et essai des Inconnus. Il n'y a pas eu en 2022 de vrai grand film se détachant comme Séjour dans les monts Fuchun en 2020 et Drive my car en 2021.
-
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Re: Les tops 2022 des Classikiens (Ciné/VOD)
Je n'avais pas compris la règle qui était pourtant simple, je retire donc "Tromperie" et "Arthur Rambo".Chapichapo a écrit : ↑31 déc. 22, 08:51 13 sans ordre
Licorice pizza
Nightmare alley
The souvenirs 1 et 2
Petite Solange
Arthur Rambo
Maternité éternelle
Les passagers de la nuit
A Chiara
Sweat
Decision to leave
Columbus
Tromperie
Les banshees d'Inisherin
- cinephage
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Re: Les tops 2022 des Classikiens (Ciné/VOD)
C'est un peu compliqué de suivre les sorties avec les films vus en festival, mais en gros, j'ai vu 57 films cette année qui m'ont vraiment tapé dans l'oeil. Mon top ressemble un peu à çà :
1 Avatar: the way of water, de James Cameron (2022) 10/10
2 Licorice pizza, de Paul Thomas Anderson (2021) 10/10
3 The Northman, de Robert Eggers (2022) 10/10
4 Un monde, de Laura Wandel (2022) 9/10
5 The Card Counter, de Paul Schrader (2021) 9/10
6 Junk Head, de Takahide Hori (2017) 9/10
7 Sentinelle Sud, de Mathieu Gérault (2021) 9/10
8 Doctor Strange in the Multiverse of Madness, de Sam Raimi (2022) 9/10
9 Hinterland, de Stefan Ruzowitzky (2021) 9/10
10 L'origine du mal, de Sébastien Marnier (2022) 9/10
11 Minions: The Rise of Gru, de Kyle Balda, Brad Abelson & Jonathan del Val (2022) 9/10
12 Men, d'Alex Garland (2022) 8,5/10
13 Nope, de Jordan Peele (2022) 8,5/10
14 The Batman, de Matt Reeves (2022) 8,5/10
15 Nitram, de Justin Kurzel (2021) 8,5/10
16 As Bestas, de Rodrigo Sorogoyen (2022) 8,5/10
17 Ne dis rien / Speak no evil, de Christian Tafdrup (2022) 8,5/10
18 Armageddon Time, de James Gray (2022) 8,5/10
19 Tomb of the river, de Yoon Young-bin (2021) 8,5/10
20 Princesse Dragon, de Jean-Jacques Denis & Anthony Roux (2021) 8.5/10
21 Barbarian, de Zach Cregger (2022) 8,5/10
22 Detective vs Sleuths / San taam daai zin de Wai La-Fai (2022) 8,5/10
23 Project Wolf Hunting / Neugdaesanyang, de Kim Hongsun (2022) 8,5/10
24 Rien à foutre, de Julie Lecoustre & Emmanuel Marre (2021) 7,5/10
25 Bad Luck Banging or Loony Porn, de Radu Jude (2021) 8/10
26 A plein temps, d'Eric Gravel (2021) 8/10
27 The Assistant, de Kitty Green (2019) 8/10
28 Viens je t'emmène, d'Alain Guiraudie (2022) 8/10
29 Huesera, de Michelle Garza Cervera (2022) 8/10
30 Robuste, de Constance Meyer (2022) 8/10
31 Deep Fear, de Grégory Beghin (2022) 8/10
32 La abuela, de Paco Plaza (2021) 8/10
33 Elvis, de Baz Luhrmann (2022) 8/10
34 Ego / Pahanhautoja, de Hanna Bergholm (2022) 8/10
35 Red Rocket, de Sean Baker (2021) 8/10
36 La nuit du 12, de Dominik Moll (2022) 8/10
37 Les nuits de Mashhad / Holy Spider, de Ali Abbasi (2022) 8/10
38 Guillermo del Toro's Pinocchio, de Guillermo del Toro (2022) 8/10
39 Destruction babies / Disutorakushon beibîzu, de Tetsuya Mariko (2016) 8/10
40 Evolution, de Kornel Mundruczo (2021) 8/10
41 X, de Ti West (2022) 8/10
42 Deadstream, de Joseph Winter & Vanessa Winter (2022) 8/10
43 La conspiration du Caire, de Tarik Saleh (2022) 8/10
44 Wendell & Wild, de Henry Selick (2022) 8/10
45 Leila et ses frères, de Saeed Roustayi (2022) 8/10
46 The Cursed : Dead Man's Prey, de Kim Yong-Wan (2021) 8/10
47 Bones and all, de Luca Guadagnino (2022) 8/10
48 Don't worry darling, d'Olivier Wilde (2022) 8/10
49 Goliath, de Frédéric Tellier (2022) 8/10
50 Dual, de Riley Stearns (2022) 8/10
51 Les promesses, de Thomas Kruithof(2021) 8/10
52 Le lycéen, de Christophe Honoré (2022) 8/10
53 Aucun ours, de Jafar Panahi (2022) 8/10
54 Sagasu / Missing, de Shinzo Katayama (2021) 8/10
55 Apollo 10 1/2: A Space Age Adventure, de Richard Linklater (2022) 8/10
56 Escape from Mogadishu, de Ryu Seung-wan (2021) 8/10
57 Venus, de Jaume Balaguero (2022) 8/10
58 Sinkhole, de Kim Ji-Hoon (2021) 8/10
Il y a pas mal de films que je n'ai pas vu, notamment Inisherin, RMN, EO et Pacifiction qui ont de bonnes chances d'intégrer ce top. Et Unicorn Wars, vu hier et qui aurait sa place là-dedans aussi...
1 Avatar: the way of water, de James Cameron (2022) 10/10
2 Licorice pizza, de Paul Thomas Anderson (2021) 10/10
3 The Northman, de Robert Eggers (2022) 10/10
4 Un monde, de Laura Wandel (2022) 9/10
5 The Card Counter, de Paul Schrader (2021) 9/10
6 Junk Head, de Takahide Hori (2017) 9/10
7 Sentinelle Sud, de Mathieu Gérault (2021) 9/10
8 Doctor Strange in the Multiverse of Madness, de Sam Raimi (2022) 9/10
9 Hinterland, de Stefan Ruzowitzky (2021) 9/10
10 L'origine du mal, de Sébastien Marnier (2022) 9/10
11 Minions: The Rise of Gru, de Kyle Balda, Brad Abelson & Jonathan del Val (2022) 9/10
12 Men, d'Alex Garland (2022) 8,5/10
13 Nope, de Jordan Peele (2022) 8,5/10
14 The Batman, de Matt Reeves (2022) 8,5/10
15 Nitram, de Justin Kurzel (2021) 8,5/10
16 As Bestas, de Rodrigo Sorogoyen (2022) 8,5/10
17 Ne dis rien / Speak no evil, de Christian Tafdrup (2022) 8,5/10
18 Armageddon Time, de James Gray (2022) 8,5/10
19 Tomb of the river, de Yoon Young-bin (2021) 8,5/10
20 Princesse Dragon, de Jean-Jacques Denis & Anthony Roux (2021) 8.5/10
21 Barbarian, de Zach Cregger (2022) 8,5/10
22 Detective vs Sleuths / San taam daai zin de Wai La-Fai (2022) 8,5/10
23 Project Wolf Hunting / Neugdaesanyang, de Kim Hongsun (2022) 8,5/10
24 Rien à foutre, de Julie Lecoustre & Emmanuel Marre (2021) 7,5/10
25 Bad Luck Banging or Loony Porn, de Radu Jude (2021) 8/10
26 A plein temps, d'Eric Gravel (2021) 8/10
27 The Assistant, de Kitty Green (2019) 8/10
28 Viens je t'emmène, d'Alain Guiraudie (2022) 8/10
29 Huesera, de Michelle Garza Cervera (2022) 8/10
30 Robuste, de Constance Meyer (2022) 8/10
31 Deep Fear, de Grégory Beghin (2022) 8/10
32 La abuela, de Paco Plaza (2021) 8/10
33 Elvis, de Baz Luhrmann (2022) 8/10
34 Ego / Pahanhautoja, de Hanna Bergholm (2022) 8/10
35 Red Rocket, de Sean Baker (2021) 8/10
36 La nuit du 12, de Dominik Moll (2022) 8/10
37 Les nuits de Mashhad / Holy Spider, de Ali Abbasi (2022) 8/10
38 Guillermo del Toro's Pinocchio, de Guillermo del Toro (2022) 8/10
39 Destruction babies / Disutorakushon beibîzu, de Tetsuya Mariko (2016) 8/10
40 Evolution, de Kornel Mundruczo (2021) 8/10
41 X, de Ti West (2022) 8/10
42 Deadstream, de Joseph Winter & Vanessa Winter (2022) 8/10
43 La conspiration du Caire, de Tarik Saleh (2022) 8/10
44 Wendell & Wild, de Henry Selick (2022) 8/10
45 Leila et ses frères, de Saeed Roustayi (2022) 8/10
46 The Cursed : Dead Man's Prey, de Kim Yong-Wan (2021) 8/10
47 Bones and all, de Luca Guadagnino (2022) 8/10
48 Don't worry darling, d'Olivier Wilde (2022) 8/10
49 Goliath, de Frédéric Tellier (2022) 8/10
50 Dual, de Riley Stearns (2022) 8/10
51 Les promesses, de Thomas Kruithof(2021) 8/10
52 Le lycéen, de Christophe Honoré (2022) 8/10
53 Aucun ours, de Jafar Panahi (2022) 8/10
54 Sagasu / Missing, de Shinzo Katayama (2021) 8/10
55 Apollo 10 1/2: A Space Age Adventure, de Richard Linklater (2022) 8/10
56 Escape from Mogadishu, de Ryu Seung-wan (2021) 8/10
57 Venus, de Jaume Balaguero (2022) 8/10
58 Sinkhole, de Kim Ji-Hoon (2021) 8/10
Il y a pas mal de films que je n'ai pas vu, notamment Inisherin, RMN, EO et Pacifiction qui ont de bonnes chances d'intégrer ce top. Et Unicorn Wars, vu hier et qui aurait sa place là-dedans aussi...
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
- Paroju
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Re: Les tops 2022 des Classikiens (Ciné/VOD)
C'est 2021, je récupère les Minions 2 du coup.
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Re: Les tops 2022 des Classikiens (Ciné/VOD)
A noter que, pour l'instant, c'est tout ou rien pour Avatar: the Way of Water. Autant il n'apparaît quasiment pas dans certains tops, autant il est 7 fois au sommet des classements.
Pas mal pour un film qui n'a jamais été tourné!
Pas mal pour un film qui n'a jamais été tourné!
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Re: Les tops 2022 des Classikiens (Ciné/VOD)
1 Avatar la voie de l 'eau
2 Nightmare alley
3 Tha batman
4 Pinocchio de Guillermo del Toro
5 Armageddon time
6 Everything everywhere all at once
7 Blonde
8 Decision to leave
9 Coupez !
10 Eo
2 Nightmare alley
3 Tha batman
4 Pinocchio de Guillermo del Toro
5 Armageddon time
6 Everything everywhere all at once
7 Blonde
8 Decision to leave
9 Coupez !
10 Eo
- Tina Quintero
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Re: Les tops 2022 des Classikiens (Ciné/VOD)
Je fais le choix des 11 titres non classés :
• Armageddon Time
• Un beau matin
• Il Buco
• Juste sous vos yeux
• Nope
• Pacifiction
• Les Poings desserrés
• Rien à foutre
• R.M.N.
• The Souvenir (I et II)
• Soy libre
Parmi les vôtres, j'aime particulièrement les choix de Wulfa (à part Un autre monde) et poet77 (à part Frère et Sœur), et j'attends beaucoup ceux d'Alibabass dont je partage souvent les goûts.
• Armageddon Time
• Un beau matin
• Il Buco
• Juste sous vos yeux
• Nope
• Pacifiction
• Les Poings desserrés
• Rien à foutre
• R.M.N.
• The Souvenir (I et II)
• Soy libre
Parmi les vôtres, j'aime particulièrement les choix de Wulfa (à part Un autre monde) et poet77 (à part Frère et Sœur), et j'attends beaucoup ceux d'Alibabass dont je partage souvent les goûts.
- G.T.O
- Egal à lui-même
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Re: Les tops 2022 des Classikiens (Ciné/VOD)
TOP 2022
1. MEN / Alexis Garland
2. AU COEUR DES VOLCANS: REQUEM POUR KATIA ET MAURICE KRAFFT / Werner Herzog
3. RESURRECTION /Andrew Semans
4. ARMAGEDDON TIME / James Gray
5. THE NORTHMAN / Robert Eggers
6. THE BLACK PHONE / Scott Derrickson
7. OCCHIALI NERI / Dario Argento
8. RED ROCKET / Sean Baker
9. LES BANSHEES OF INISHERIN / McDonagh
10. PINOCCHIO / Del Toro/Gustafson
Pas vu, pas pris:
Decision to leave, EO, As Bestas, Il Bucco, Pacifiction ...
FLOP 2022
LICORICE PIZZA - Anderson nous peigne un coming of age standard, qui se démarque par sa durée invraisemblable, et son côté compilatoire. Après le sur-auteur, le sous-auteur.
PREY -Le retour du chasseur rasta peigné en ode Disney sur les épreuves de statut d'une Pocahontas. Le mythe du retour à la bestialité gauchit en un opportuniste empowerment féministe.
ELVIS - Ascension et chute du célèbre chanteur, enrobé du style bouffi, grandiloquent et inarticulé de Baz Luhrman.
3000 ANS À ATTENDRE - Quand Miller se prend les pieds dans le tapis de la fresque grandiose d'une redoutable laideur, et du métafilm.
BLONDE -Kaléidoscope psychiatrique de Marylin qui insiste, assez lourdement et avec esthétisme, sur l’envers abusif et expiatoire de l’actrice.
HELLRAISER: Bruckner se fourvoie totalement avec cette pauvre réitération de Hellraiser plus lisse et insipide que jamais.
PEARL/X: ce diptique maniériste bientôt trilogie, à peine sauvée, dans l'un, par l’ambiance à la Massacre à la tronçonneuse, dans l’autre, par un plan de fin énigmatique que la mimétique affectée d'un oeil n'ayant rien à filmer que des ruines.
1. MEN / Alexis Garland
2. AU COEUR DES VOLCANS: REQUEM POUR KATIA ET MAURICE KRAFFT / Werner Herzog
3. RESURRECTION /Andrew Semans
4. ARMAGEDDON TIME / James Gray
5. THE NORTHMAN / Robert Eggers
6. THE BLACK PHONE / Scott Derrickson
7. OCCHIALI NERI / Dario Argento
8. RED ROCKET / Sean Baker
9. LES BANSHEES OF INISHERIN / McDonagh
10. PINOCCHIO / Del Toro/Gustafson
Pas vu, pas pris:
Decision to leave, EO, As Bestas, Il Bucco, Pacifiction ...
FLOP 2022
LICORICE PIZZA - Anderson nous peigne un coming of age standard, qui se démarque par sa durée invraisemblable, et son côté compilatoire. Après le sur-auteur, le sous-auteur.
PREY -Le retour du chasseur rasta peigné en ode Disney sur les épreuves de statut d'une Pocahontas. Le mythe du retour à la bestialité gauchit en un opportuniste empowerment féministe.
ELVIS - Ascension et chute du célèbre chanteur, enrobé du style bouffi, grandiloquent et inarticulé de Baz Luhrman.
3000 ANS À ATTENDRE - Quand Miller se prend les pieds dans le tapis de la fresque grandiose d'une redoutable laideur, et du métafilm.
BLONDE -Kaléidoscope psychiatrique de Marylin qui insiste, assez lourdement et avec esthétisme, sur l’envers abusif et expiatoire de l’actrice.
HELLRAISER: Bruckner se fourvoie totalement avec cette pauvre réitération de Hellraiser plus lisse et insipide que jamais.
PEARL/X: ce diptique maniériste bientôt trilogie, à peine sauvée, dans l'un, par l’ambiance à la Massacre à la tronçonneuse, dans l’autre, par un plan de fin énigmatique que la mimétique affectée d'un oeil n'ayant rien à filmer que des ruines.
Dernière modification par G.T.O le 5 janv. 23, 13:48, modifié 2 fois.
- Mosin-Nagant
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- Inscription : 12 juin 14, 19:36
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Re: Les tops 2022 des Classikiens (Ciné/VOD)
Top 13 pour l'année 2022 :
01. Licorice Pizza
02. Armageddon Time
03. Vortex
04. Avatar : La voie de l'eau
05. Decision to Leave
06. Blonde
07. Top Gun : Maverick
08. Nope
09. Barbare
10. Trois mille ans à t'attendre
11. Incroyable mais vrai
12. L'innocent
13. Prey
01. Licorice Pizza
02. Armageddon Time
03. Vortex
04. Avatar : La voie de l'eau
05. Decision to Leave
06. Blonde
07. Top Gun : Maverick
08. Nope
09. Barbare
10. Trois mille ans à t'attendre
11. Incroyable mais vrai
12. L'innocent
13. Prey
You know my feelings: Every day is a gift. It's just, does it have to be a pair of socks?
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