Vos découvertes naphtas 2022

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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villag
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Re: Vos découvertes naphtas 2022

Message par villag »

ai lu : la prisonnière du désert de Ford ( avec toutefois des réserves notables )......QUOI : des réserves ....!!!!!
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The Eye Of Doom
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Re: Vos découvertes naphtas 2022

Message par The Eye Of Doom »

villag a écrit : 29 déc. 22, 14:40 ai lu : la prisonnière du désert de Ford ( avec toutefois des réserves notables )......QUOI : des réserves ....!!!!!
Yes.
Voir ici :
viewtopic.php?p=2950349#p2950349

Le revoyure recente de My darling Clementine, absolu chef d’oeuvre de a à z dans sa version Director cut, me confirme l’ecart qu’il y a entre ces deux films.
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Flol
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Re: Vos découvertes naphtas 2022

Message par Flol »

villag a écrit : 29 déc. 22, 14:40 ai lu : la prisonnière du désert de Ford ( avec toutefois des réserves notables )......QUOI : des réserves ....!!!!!
Indiennes, peut-être ?
(vous l'avez ?)
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Lohmann
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Re: Vos découvertes naphtas 2022

Message par Lohmann »

Petite année naphta, vu pas mal de films mais peu qui ont notablement retenus mon attention. Tout ce qui suit à 7/10.

Le Dernier des hommes F.W. Murnau (1924)
Les Surprises de la TSF Ernst Lubitsch (1926)
Bonne chance! Sacha Guitry, Fernand Rivers (1935)
La Prise de pouvoir par Louis XIV Roberto Rossellini (1966)
Loin du Vietnam Agnès Varda, Alain Resnais, Joris Ivens, William Klein, Claude Lelouch, Jean-Luc Godard, Chris Marker (1967)
La Terre Youssef Chahine (1970)
Agarrando pueblo Luis Ospina, Carlos Mayolo (1978)
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Flol
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Re: Vos découvertes naphtas 2022

Message par Flol »

Allez hop, c'est parti pour mon top 10 naphta :

1. In Cold Blood (Richard Brooks - 1967)
Spoiler (cliquez pour afficher)
La claquouze, brillantissime à tous les niveaux : photo, musique, montage, mise en scène, interprétations (même si Robert Blake ressemble un peu trop à un mix entre Daniel Balavoine et Philippe Manœuvre sans lunettes), ce film donne ce sentiment rare de plénitude et de perfection à tous les étages.
Chaque chose est parfaitement à sa place, tout s'imbrique de façon hyper fluide, presque évidente. Et j'ai beau y réfléchir, difficile d'y trouver le moindre défaut.
Du pur cinéma dans ce que ça a de plus beau et de plus fort, jusqu'à sa conclusion sur fond de battements de cœur, qui ne fait que confirmer l'immense gâchis que constitue ce triste fait divers. Toutes ces vies brisées, toutes ces morts inutiles. Pour à peine 40$...
On ne parle décidément pas assez de Richard Brooks.
2. Le Conformiste (Bernardo Bertolucci)
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Parfois, on se retrouve devant un film et on se rappelle pourquoi on aime le cinéma. Pourquoi le cinéma peut-être un art et un mode d'expression aussi puissant, lorsque sont à la barre des personnes talentueuses et impliquées.
Et Le Conformiste en est un parfait exemple, tant c'est un véritable festival d'idées formelles (environ une idée par plan, c'est complètement dingue), menées de main de maître par un Bertolucci alors âgé d'à peine 29 ans (le genre d'infos qui donne le tournis), entourées des plus grands artistes à tous les niveaux, avec notamment une photo incroyable de Storaro et une partition splendide de Delerue (c'est presque un pléonasme).
Le tout au service d'un récit intemporel sur la veulerie et la lâcheté des Hommes, avec un Trintignant absolument incroyable dans ce domaine, incarnant un petit fasciste aussi minable que lâche. Même dans sa démarche, il parvient à montrer à quel point ce Clerici est un salaud de la pire espèce, que même l'amour ne pourra sauver.
Du cinéma total, quasiment écrasant et intimidant, tellement il y a du génie qui s'étale dans tous les coins de l'écran. On a malheureusement un peu perdu l'habitude de voir ça en 2022...
3. Dites-lui que je l'aime (Claude Miller - 1977)
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Il paraît que Patricia Highsmith détestait cette adaptation. Elle devait probablement être un peu sénile la Patoche, parce que certes elle ne respecte pas totalement son roman d’origine (ce qui est un peu la condition sine qua non à toute bonne adaptation), mais alors quel film grand tragico-romantique c’est.
Depardieu est absolument fabuleux en amoureux obsédé maladif (malgré une coupe de douille un peu nulle, héritée du tournage du 1900 de Bertollucci), face à une Miou-Miou d’une mignonnitude fracassante, une Dominique Laffin extrêmement touchante et un Clavier totalement parfait en petit connard imbécile (rôle de composition ?).
Un casting de haut vol mis en valeur à la perfection par une réalisation de Claude Miller redoutable de précision et de trouvailles visuelles. Tout semble couler de source, pas un plan n’est de trop, chaque cadre paraît composé de la façon la plus parfaite qui soit.
Et c’est particulièrement visible lors de la dernière séquence dans la piscine, climax émotionnel dont les derniers instants constituent certainement ce que j’ai vu de plus ébouriffant en 2022.
4. Nuit et Brouillard (Alain Resnais - 1955)
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Bon ben comme prévu, c'était difficilement soutenable. La puissance du texte, alliée à la puissance (évidente) des images d'archives, m'ont atomisé émotionnellement à plusieurs reprises.
Et ce malgré un ton presque dégagé par moments, et une musique qui se fait presque guillerette.
Mais il est humainement impossible de ne pas être bouleversé par tant de cruauté extrême et d'horreur absolue, que l'on peine encore aujourd'hui, 80 ans après, à pleinement concevoir.
En fait non, c'est toujours et ça restera à tout jamais inconcevable. Ce que Resnais a réussi à retranscrire à la perfection.
5. La Grande pagaille (Luigi Comencini - 1960)
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Un film absolument génial. Je ne sais pas par quel miracle Comencini a réussi à mêler aussi bien le film d'aventures, le film de guerre et la comédie, sans qu'un genre en particulier ne prenne le dessus sur les autres, sans que l'un soit mis de côté ou mal intégré au reste. C'est totalement passionnant et donc constamment prenant.
Et c'est dû en grande partie grâce à Alberto Sordi, incroyable de bout en bout et ce dans tous les registres (l'évolution de sa relation avec Serge Reggiani est extrêmement touchante).
Il y a donc quelque chose d'à la fois drolatique de voir ces personnages ayant pour unique but de rentrer chez eux...mais aussi mélancolique, puisque pour certains, c'est un but qu'ils n'atteindront jamais.
On est quand même pas loin du chef-d'œuvre.
6. Husbands (John Cassavetes - 1970)
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Ça faisait des mois que j'avais le bluray de celui-là, et ça faisait des mois que je repoussais sa découverte, par peur de me retrouver face à un gros objet de cinoche épuisant de plus de 2h20.
J'ai finalement inséré la galette dans mon lecteur un soir de novembre, et qu'est-ce que j'ai eu ? Un gros objet de cinoche épuisant de plus de 2h20 !
Cassavetes a vraiment le don de créer immédiatement de l'empathie pour ces 3 quadras un peu perdus, limite insupportables par moments, mais que l'on est quand même bien content de suivre dans leurs conneries y compris lors d'une petite escapade sous la pluie londonienne.
Mais Cassavetes a aussi le défaut de faire durer certaines séquences plus que de raison, et là je pense très fort au segment avec les nanas à Londres, et notamment cette longue scène où Cassavetes joue avec sa conquête (même si on ne sait pas trop à quel point leurs gestes violents l'un envers l'autre sont de l'ordre du jeu). C'est long, très long, trop long.
Pour le reste, c'était vraiment une chouette expérience que de passer un peu de temps avec Gus (Cassavetes a un rire hyper communicatif, il m'a fait marrer à plusieurs reprises cet idiot), Harry et Archie.
7. Folie meurtrière (Tonino Valerii - 1972)
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Quel magnifique giallo que celui-là. Score envoûtant de Morricone, mise en scène hyper élégante (gros boulot sur la composition des cadres), scénario bien écrit, personnages bien croqués...vraiment, il y a tout là-dedans pour en faire un plaisir de tous les instants.
Dès la séquence d'intro, je savais que ça partait bien : on y voit un pauvre bougre au bord d'un lac se faire soulever par une excavatrice de chantier, avant tout bonnement de se faire décapiter. Et là PAF GENERIQUE !
Le reste du film est totalement à l'image de cette ouverture, avec notamment des séquences de meurtres particulièrement graphiques et violentes (celui à la scie circulaire m'a limite mis mal à l'aise), jusqu'à une résolution étirée sur une excellente scène finale impliquant un bien mystérieux miroir, jusqu'à la révélation du plan final qui n'a fait que confirmer l'excellence de ce film.
Chaudement recommandé à tous les amateurs de gialli qui ont la classe.
8. Girlfriends (Claudia Weill - 1978)
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Petite pépite évoquant le Woody Allen de l'époque, tout en étant précurseur du mouvement mumblecore à venir. On pense également à ce que feront Lena Dunham, Nicole Holofcener et Lynn Shelton (qui ont forcément vu ce film).
Tout le monde est un peu moche mais c'est tout de même absolument charmant. À l'image de Melanie Mayron, particulièrement émouvante et rigolote en nana un peu paumée qui se retrouve toute seule, pense aimer ça, avant de réaliser qu'en fait pas tellement. Et son histoire avec un rabbin de 30 ans son aîné (Eli Wallach !) est particulièrement touchante (alors qu'elle serait considérée aujourd'hui comme "problématique" par certains...mais fuck them all).
En bonus, on y retrouve aussi Christopher Guest et ce bon vieux Bob Balaban, présence toujours aussi rassurante partout où il apparaît.
9. La mort a souri à l'assassin (Joe D'Amato - 1972)
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Alors là, si je m'attendais à ça de la part de Joe D'Amato...
Ce que j'ai vu de lui jusqu'à présent était au mieux gentiment gore, mais surtout un peu mou du genou.
Quelle belle surprise donc, que ce Death Smiles on a Murderer (en anglais), qui a pour principal défaut d'avoir une intrigue assez confuse, mais finalement en accord total avec l'atmosphère vaporeuse proche du cauchemar éveillé qui s'en dégage tout du long.
À la fois conte gothique, récit vengeur, film d'horreur, avec en plus des petits bouts de giallo, D'Amato s'est sorti les doigts pour ce qui constituait alors sa première incursion dans le genre. Et on peut dire qu'il s'est lâché, parce que c'est visuellement une splendeur : plein de cuts agressifs, de jeux audacieux sur les cadres et porté par une partition sublime de Berto Pisano (jamais entendu parler), c'est un véritable régal.
Et je ne m'attendais pas à dire ça d'un film venant du monsieur.
Fun fact : c'est obligé que Stuart Gordon ait eu connaissance de ce film avant de s'atteler à l'écriture de Re-Animator. Ce mystérieux scientifique (ici Klaus Kinski, un peu survendu sur l'affiche puisqu'on le voit environ 12 minutes) qui ramène des morts à la vie grâce à un étrange sérum verdâtre...ça ne peut pas être qu'une simple coïncidence.
10. Beyond the Door (Ovidio G. Assonitis - 1974)
Spoiler (cliquez pour afficher)
Sont quand même forts, ces Italiens. 1 an à peine après le carton atomique de The Exorcist, voilà le ripoff un peu bis et un peu nanar signé entre autres par Ovidio G. Assonitis, sacré margoulin du bis ayant beaucoup oeuvré dans les 70’s et les 80’s.
Sauf que ce Beyond the Door est un cas à part, capable de passer en l’espace de 12 secondes d’une séquence ridicule (le mec qui marche dans la rue mais se fait emmerder sans la moindre raison par des troubadours qui jouent de la flûte) à une autre séquence authentiquement creepy (quelques apparitions de Juliet Mills en possédée font réellement froid dans le dos).
Une atmosphère pesante soulignée par une mise en scène presque abstraite par moments, usant de nombreux ralentis à des moments où ça n’a aucun sens et de plein d’arrêt sur images inopinés mais donnant une impression d’inquiétante étrangeté à laquelle je ne m’attendais certainement pas.
Donc nanar ? Eh bien en fait non, pas trop. Mais un vrai bon film car totalement imprévisible et bourré d’idées très chelous, qui en font un objet assez fascinant venant compléter la vision de Friedkin au lieu de simplement la piller.
Dernière modification par Flol le 2 janv. 23, 12:26, modifié 1 fois.
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Joshua Baskin
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Re: Vos découvertes naphtas 2022

Message par Joshua Baskin »

Beaaaaaucoup moins de naphtas vus cette année (encore une fois me direz-vous) mais voici la crème de la crème :

Accident (Joseph Losey) : 8/10

Meurtre par intérim (Umberto Lenzi) : 7,5/10

Les cavaliers (John Frankenheimer) : 7/10
L'extravagant Monsieur Deeds (Franck Capra) : 7/10
Le monde du silence (Jacques-Yves Cousteau & Louis Malle) : 7/10
Bartleby (Anthony Friedman) : 7/10
The people next door (David Greene) : 7/10

Même pas de quoi faire un top 10...
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Re: Vos découvertes naphtas 2022

Message par cinéfile »

Par ordre alphabétique (équivalent note >= 7,5/10) :

Cannibal man (De la Iglesia, 1972)
[La] Carrière de Suzanne (Rohmer, 1963)
Chantage (Hitchcock, 1929) dans ses 2 versions
Chantons sous la pluie (Donen/Kelly, 1952), il n’est jamais trop tard :fiou:
[Un] condamné à mort s'est échappé (Bresson, 1956)
[La] Cousine Angélique (Saura, 1974)
[L'] Enfance nue (Pialat, 1968)
En la palma de tu mano (Gavaldón, 1951)
Je veux être femme/Cambio de Sexo (Aranda, 1977)
Lucky Jo (Deville, 1964)
[La] Marie du port (Carné, 1950)
Méditerranée (Pollet, 1963)
No es bueno que el hombre esté solo (Olea, 1973)
[La] Poison (Guitry, 1951)
Pourvu qu'on ait l'ivresse (Pollet, 1958 CM)
Retour à la bien-aimée (Adam, 1979)
Stavisky (Resnais, 1974)
[La] Toile d'Araignée (Rosenberg, 1975)
[Les] Trafiquants du Dunbar (Dearden, 1951)
Victime (Dearden, 1961)
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Prolls
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Re: Vos découvertes naphtas 2022

Message par Prolls »

Par ordre chronologique de sortie :

Noblesse oblige (Robert Hamer - 1949)
L'homme tranquille (John Ford - 1952)
Le train sifflera trois fois (Fred Zinnemann - 1952)
Ariane (Billy Wilder - 1957)
Le dernier train de Gun Hill (John Sturges - 1959)
Le trou ( Jacques Becker - 1960)
Seuls sont les indomptés (David Miller - 1962)
Charade (Stanley Donen - 1963)
L'armée des ombres (Jean-Pierre Melville - 1969)
Tuez Charley Varrick (Don Siegel - 1973)
Les pirates du métro (Joseph Sargent - 1974)
Flic story (Jacques Deray - 1975)
Monsieur Klein (Joseph Losey - 1976)
Silver bears (Ivan Passer - 1977)
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Re: Vos découvertes naphtas 2022

Message par nobody smith »

Ingeborg Holm – Victor Sjöström (1913)
Cria Cuervos – Carlos Saura (1979)
Planète interdite – Fred M. Wilcox (1956)
La bonne année – Claude Lelouch (1973)
Lettre d’une inconnue – Max Ophüls (1948)
Seuls sont les indomptés – David Miller (1962)
Les nus et les morts – Raoul Walsh (1958)
Un carnet de bal – Julien Duvivier (1937)
Le clan des irréductibles – Paul Newman (1971)
Contes cruels du Bushido – Tadashi Imai (1963)
La grande aventure – Arne Sucksdorff (1953)
L’une chante l’autre pas – Agnès Varda (1977)
Le fleuve – Jean Renoir (1951)

Pas beaucoup de grosses découvertes naphta cette année
"Les contes et les rêves sont les vérités fantômes qui dureront, quand les simples faits, poussière et cendre, seront oubliés" Neil Gaiman
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Jeremy Fox
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Re: Vos découvertes naphtas 2022

Message par Jeremy Fox »

nobody smith a écrit : 31 déc. 22, 16:05 Planète interdite – Fred M. Wilcox (1956)
Lettre d’une inconnue – Max Ophüls (1948)
L’une chante l’autre pas – Agnès Varda (1977)
Le fleuve – Jean Renoir (1951)

Pas beaucoup de grosses découvertes naphta cette année
Certes mais du lourd ; j'adore ces 4 là.
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Père Jules
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Re: Vos découvertes naphtas 2022

Message par Père Jules »

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JE M'BALADE DANS MOSCOU (Gueorgui Danielia, 1964) 9
FRONTIERE CHINOISE (John Ford, 1966) 9
HISTOIRE D'UNE PROSTITUEE (Seijun Suzuki, 1965) 8,5
UN PETIT CARROUSEL DE FETE (Zoltan Fabri, 1956) 8,5
MEURTRE SOUS CONTRAT (Irving Lerner, 1958) 8,5
MENILMONTANT (Dimitri Kirsanoff, 1926) 8,5
CREPUSCULE DE GLOIRE (Josef von Sternberg, 1928) 8
QUAND UNE FEMME MONTE L'ESCALIER (Mikio Naruse, 1960) 8
LA VOIX SANS OMBRE (Seijun Suzuki, 1958) 8
LE PROFIL DE LA VILLE (Hiroshi Shimizu, 1953) 8
LES MUSICIENS DE GION (Kenji Mizoguchi, 1953) 8
L'AMOUR L'APRES-MIDI (Eric Rohmer, 1972) 8
UN JUGE EN DANGER (Damiano Damiani, 1977) 8
LOS TALLOS AMARGOS (Fernando Ayala, 1956) 8
LES MOUCHOIRS JAUNES DU BONHEUR (Yoji Yamada, 1977) 8
HOMMES, PORCS ET LOUPS (Kinji Fukasaku, 1964) 8
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Re: Vos découvertes naphtas 2022

Message par The Eye Of Doom »

Père Jules a écrit : 31 déc. 22, 18:08
FRONTIERE CHINOISE (John Ford, 1966) 9
HISTOIRE D'UNE PROSTITUEE (Seijun Suzuki, 1965) 8,5
CREPUSCULE DE GLOIRE (Josef von Sternberg, 1928) 8
QUAND UNE FEMME MONTE L'ESCALIER (Mikio Naruse, 1960) 8
LES MUSICIENS DE GION (Kenji Mizoguchi, 1953) 8
LES MOUCHOIRS JAUNES DU BONHEUR (Yoji Yamada, 1977) 8
J’ai pas vu les autres mais pour ceux la :D
A l’occasion, tu peux passer commenter aux topics : Ford, Suzuki, Sternberg, Baruse, Mizogushi, Yamada
Ou y lire ce que j’en ai ecrit (sauf pour Frontière chinoise, faute d’un blu à ce mettre sous la main)
Chapichapo
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Re: Vos découvertes naphtas 2022

Message par Chapichapo »

Les 6 Kinuyo Tanaka
Mr Ripois /René Clément
Passion d'amour/ Ettore Scola
La poupée /Wojcieh Has
La soldate/ Valério Zurlini
L'élu /Jeremy Paul Kagan
Le jour d'après / Nicholas Meyer
Spring night summer night / Joseph Anderson
An unsuitable job for a woman /Christopher Petit
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Vic Vega
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Re: Vos découvertes naphtas 2022

Message par Vic Vega »

Très grands films:
Ménilmontant (Dimitri Kirsanoff)
Meshes of the Afternoon (Maya Deren et Alexander Hammid)

Excellents:
At Land (Maya Deren)
Boule de Feu (Howard Hawks)
Germinal (Albert Capellani)
Héros à vendre (William A. Wellman)
Jusqu'à notre prochaine rencontre (Imai Tadashi)
La Maison est Noire (Forough Farrokhzad)
Le Brasier Ardent (Ivan Mosjoukine et Alexandre Volkoff)
Le Plein de Super (Alain Cavalier)
Le Soleil brille pour tout le monde (John Ford)
L'Échiquier du Vent (Mohammad Reza Aslani)
Les Misérables (Henri Fescourt)
Manon des Sources (Marcel Pagnol)
Miyamoto Musashi (Kato Tai)
Monte Cristo (Henri Fescourt)
The Bitter Stems (Fernando Ayala)
The Blossom and the Sword (Katô Tai)
Tuer un enfant (Gösta Werner)
Typhoon (Pan Lei)

Très bien:
Calcutta 71 (Mrinal Sen)
Dédée d'Anvers (Yves Allégret)
Démangeaisons (Masumura Yasuzô)
Du Côté de la Côte (Agnès Varda)
Du Rouge pour un Truand (Lewis Teague)
Eroica (Andrzej Munk)
Ganga Jamuna (Nitin Bose)
He Who Rides a Tiger (Charles Crichton)
Je m'balade dans Moscou (Georgij Danelija)
La Mer de Genkai (Kara Juro)
Le Charlatan (Edmund Goulding)
Les Codes (Wojciech Has)
Les Flots du Danube (Liviu Ciulei)
L'Homme Tranquille (John Ford)
L'Indic (Ken Annakin)
Ode au yakuza (Masumura Yasuzô)
Opération Scotland Yard (Basil Dearden)
Remous de (Istvan Gaal)
Samurai from Nowhere (Uchikawa Seiichirô)
Sibériade (Andreï Kontchalovski)
The Days of No Return (Fujita Toshiya)
Touki Bouki (Djibril Diop Mambety)
Ugolin (Marcel Pagnol)
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Re: Vos découvertes naphtas 2022

Message par Beule »

Chapichapo a écrit : 1 janv. 23, 09:00 La poupée /Wojcieh Has
Fabuleux morceau de cinéma que ce Has. Son indescriptible beauté baroque charriant mille trésors d'une saisissante acuité métaphorique me hante depuis sa découverte il y a quelques jours. Tout comme la partition de Wojciech Kilar, inoubliable. Il me tarde de pouvoir y replonger en espérant, mais sans trop y croire, que Malavida lui dédiera l'écrin HD que ses splendeurs méritent.
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