Classement des sorties Cinéma/VOD 2023

[Zelda Zonk]

Babylon (Damien Chazelle - 2023) : 6,5/10

Un bon demi-point de soustrait suite à ce final "je brise le 4ème mur" très mal branlé et peu convaincant. Je rejoins la #teamFlol et la #teamThaddeus sur ce coup là. Pour le reste, le film est trop long et s'égare parfois dans un "scénario" qui part dans tous les sens, mais propose tout de même de belles séquences dès qu'il se concentre sur son sujet principal, de loin le plus intéressant : la création cinématographique à l'époque du muet, la révolution du passage au parlant, la fragilité des carrières et la déchéance des stars...
Après, il faut adhérer au postulat de base, à savoir une approche moderne, anachronique, fantasmée et irréaliste de cette époque, et ce à tous les niveaux, y compris la musique, pas vraiment en phase avec le style musical et les orchestres alors en vogue dans les années 20 et 30 (Cab Calloway, Georges Gershwin, Duke Ellington, Count Basie, Glenn Miller...).

[poet77]

Tar: 7/10

[Nestor Almendros]

Youssef Salem a du succès ; 6,5/10

[nobody smith]

Jung_E (Netflix) 6/10

[Karras]

Narvik (Netflix) : 5,5/10

[Roilo Pintu]

Babylon - Damien Chazelle : 8/10

Lettre d'amour au pouvoir et à la magie du cinéma, et comment l'attrait du grand écran peut changer des vies et réaliser des rêves. Un récit bien connu mais où Babylon arrive sans problème à s’extirper du lot. Au milieu d’un chaos total, Damien Chazelle démontre une maîtrise surprenante (quoique vu sa filmographie !) mais surtout une audace et une rage qui contraste avec l’époque et l’image que lui-même peut renvoyer. Il lui suffit de quelques minutes pour intégrer cette narration en mouvement, donner de l’impulsion au film et nous entraîner, ou pas vu le clivage que provoque le film !

Au-delà des qualités de Damien Chazelle, ou encore du casting qui offre un bel éventail de performances, c’est la partition extraordinaire de Justin Hurwitz qui m’a régalé et ajoute une nouvelle dimension au film. Une gamme de mélodies de jazz originales et palpitantes, un festival de trompettes rugissantes, de saxophones hurlants ou encore de tambours tonitruants qui donnent une ambiance bruyante et un regain d'énergie chaotique à l'ensemble. Justin Hurwitz n’hésite pas également à sortir des clous en mettant à la fois de l'ordre dans le chaos de "Babylone" et en même temps y participe pleinement.

A mon niveau, je ne peux être qu’emporter par cette envie de bousculer, de proposition, de déclarer sa flamme, quitte à appuyer son propos gratuitement d’un montage dispensable mais qui jure par ses choix radicaux. Réalisation impressionnante, musique virtuose, trio d’acteurs entraînant, l’année commence plutôt bien pour moi !

[Lohmann]

Tár 6/10
Retour à Séoul 4/10

[Vic Vega]

Retour à Séoul 4/10

Après avoir découvert ce week-end un Diamond Island en forme de compile des gros noms du cinéma d'auteur asiatique de ces 30 dernières années, voilà qui fait envie.

Sinon:
Aftersun de Charlotte Wells 7/10
Pathaan de Siddarth Anand 3/10

[Lohmann]

Retour à Séoul 4/10

Après avoir découvert ce week-end un Diamond Island en forme de compile des gros noms du cinéma d'auteur asiatique de ces 30 dernières années, voilà qui fait envie.

Dans Retour à Séoul, c’est pire : Ça commence par HSS, et puis ça enfile du HHH, WKW avec même une touche Sofia Coppola. Malheureusement au final ça ressemble surtout à du Olivier Assayas

[Jeremy Fox]

. Malheureusement au final ça ressemble surtout à du Olivier Assayas

Pas de bol. C'est ça qui me donnerait au contraire le plus envie de voir le film

[Alibabass]

Ne fait pas attention à ses HxC cinéphile : Il y a du Fin août, début septembre dans le dernier Davy Chou, pourquoi pas, mais un Fin août, début septembre qui va chercher des va et vient plutôt du côté de la recherche d'identité. Et c'est très beau au final, Jeremy Fox je te le conseil, ne les écoutent pas (complètement) ^^.
No offence les gars ^^.

[Karras]

Aftersun (6,5/10)

[-Kaonashi-]

Nostalgia : 6

[poet77]

La Montagne: 6,5/10

[ballantrae]

Tranchons sur Babylon: 7/10
La BA théma "amour du cinéma" et les 2 séquences ratées selon moi ( avec comme animal fétiche le serpent d'une part et le rat d'autre part) m'empêchent de donner un 8/10 voire un 9/10.