Synopsis
Lydia Tár, cheffe avant-gardiste d’un grand orchestre symphonique allemand, est au sommet de son art et de sa carrière. Le lancement de son livre approche et elle prépare un concerto très attendu de la célèbre Symphonie n° 5 de Gustav Mahler. Mais, en l’espace de quelques semaines, sa vie va se désagréger d’une façon singulièrement actuelle. En émerge un examen virulent des mécanismes du pouvoir, de leur impact et de leur persistance dans notre société.
Bande-annonce
Quelques notes et remarques :
zemat a écrit : ↑26 janv. 23, 09:56 TAR : 4/10
C'était l'une de mes grosses attentes de ce mois, j'ai vite déchanté. Trooooooooooooop long et trop référencé en musique classique (où je dois reconnaître mon manque total de connaissances), il n'y a guère que la dernière 1/2h qui a relevé mon intérêt. Bon, Cate est très bien comme d'hab', mais ça ne fait pas le film. Le film dure 30min de moins que Babylon mais m'a paru faire deux fois plus de temps...
Nestor Almendros a écrit : ↑4 févr. 23, 18:27 Tar : 6/10
Un film peu aimable qui repose presque entièrement sur les épaules de Cate Blanchett.
Ballard73 a écrit : ↑9 mars 23, 23:11 Tar 9 / 10
Vu seulement 48h après le Spielberg...Eh ben on est sur une autre galaxie, celle du 9/10 à 10/10, celle d'un film exigeant mais d'une puissance incroyable. A partir d'un sujet à priori pointu (un morceau de la vie d'une grande chef d'orchestre), le film se donne pour ambition de traiter d'un sujet universel : la conquête du pouvoir. BO aux petits oignons, photographie en cohérence avec l'esprit froid de Lydia Tar, justesse de l'interprétation, contenance des personnages secondaires, ce fut 2h30 de régal, en plus dans des conditions idéales (la grande salle du Pathé, avec 4 personnes à l'intérieur) !
D'autres remarques :
Tina Quintero a écrit : ↑5 févr. 23, 14:18J'avoue que j'ai eu peur de ne pas accrocher au début, et j'ai vu quelques spectateurs quitter la salle... Mais c'est volontaire, ça concerne au final peu de scènes, et ne gêne aucunement la compréhension du film. Télérama écrit très justement :Le recours au jargon musical — « Très punkt kontrapunkt » ! — risque à chaque instant la pédanterie, mais crée un effet de réel rare, tant, ailleurs, le cinéma regarde souvent le travail de loin, en arrière-plan flou.