The Doors
Publié : 13 janv. 04, 01:12
Voilà, ça faisait un moment que je voulais m'atteler à un topic sur le groupe qui m'a donné envie de m'intéresser à la musique et tout particulièrement au rock. L'histoire veut qu'un jour, un de mes amis me donne à écouter un best of des Rolling Stones et au bout duquel, dans la foulée, il me dise que si j'aimais, je devrais écouter The Doors. Ca ne me disait pas grand chose si ce n'est le morceau d'ouverture et de fin du Copolla. J'ai commencé par ça:
- The Best of The Doors - Compilation - 1985 - Elektra / Asylum Records
Break On Trough (To The Other Side)
Light My Fire
The Crystal Ship
People Are Strange
Strange Days
Love Me Two Times
Five To One
Waiting For The Sun
Spanish Caravan
When The Music's Over
Hello, I Love You
Roadhouse Blues
L.A. Woman
Riders On The Storm
Touch Me
Love Her Madly
The Unknown Soldier
The End -
Je sais que ce n'est pas le meilleur moyen de commencer (par un best of) mais disons que ça me donnait une idée du reste. C'est la seule fois dans ma vie où j'avais envie de reécouter le disque en boucle. Ce fut un signe. La première chanson qui me vient à l'esprit est Riders on the Storm qui reste et restera je pense ma chanson préféré parmi toutes. Cette chanson est un véritable bijoux d'un point de vue mélodique et de ses arrangements fait sur le tard. La dernière à proprement dite du groupe et la plus étrange. Disons que pour moi, c'est la plus représentative du groupe.
Ensuite, j'ai découvert les albums un par un mais en commençant par un morceau qui existe dans la version double de la bo de Apocalipse Now (peut-être également dans la version simple). Pendant The End, on peut entendre les gémissement de Morrison de façon plus audible (Kill the pigs...) que dans la version LP de l'album eponyme du groupe.
The Doors: Janvier 1967
Break On Through
Soul Kitchen
The Crystal Ship
Twentieth Century Fox
Alabama Song (Whisky Bar)
Light My Fire
Back Door Man
I Looked At You
End Of The Night
Take It As It Comes
The End
Voilà comment j'ai appris l'existence de Bertold Brecht... Alabama Song est un petit interlude qui prend toute sa dimension en live (j'y reviendrai). En fait, à travers Morrison, je me suis fait ma petite culture personnelle au milieu des Céline (End of the Night) et des Kerouac et j'en passe. J'ai découvert en même temps ses écrits (j'y reviendrai encore...). A noter que la chanson la plus populaire du groupe, à savoir Light my Fire fut écrite, une fois n'est pas coutume par Robbie Krieger, guitariste très inspiré du quartet. Le texte est plutôt facile, loin de la tourmente de Morrison mais ce morceau est tout de même anthologique de part sa carrière et de son impact. Je me souviens avoir lu un texte narrant le bordel mis par Morrison lors d'un Saturday Night à propos de Get much Higher (planer) qui devait être changé si le groupe voulait chanter cette chanson. Que nenni, c'était sans connaître la fougue du groupe...
Strange Days: Octobre 1967
Stange days
You're lost little girl
Love me two times
Unhappy Girl
Horse Latitudes
Moonlight drive
People are strange
My eyes have seen you
I can't see your face in my mind
When the music's over
Dans la continuité du premier, le deuxième opus du groupe. Pour la plupart, les textes et la musique furent composés bien avant l'enregistrement. Le groupe faisait déjà pas mal de concert avec une quantité non négligeable de morceaux avant de se faire repérer au Whisky à Gogo à LA par Elektra et surtout Paul Rotchild.
Mes morceaux favoris de cet opus sont Unhappy Girl et When The Music's Over.
Waiting for the sun: Juillet 1968
Hello, i love you
Love Street
Not to touch the earth
Summer's almost gone
Wintertime Love
The unknow soldier
Spanish Caravan
My Wild Love
We could be so good together
Yes, the river knows
Five to one
Aah cet album et cette chanson Not To touch The Earth... Il n'y a que du bon dans cet album et je pense, le plus accessible aux novices. Mais c'est aussi la période où Morrison commence à déconner grâve avec la dope et le reste. Ce qui fera naître l'album suivant dans la douleur et loin de l'atmosphère du groupe car composé en partie par Krieger.
The Soft Parade: Juillet 1969
Tell all the people
Touch me
Shaman's blues
Do it
Easy ride
Wild Child
Runnin'blue
Whishful Sinful
The Soft Parade
Si je ne devais retenir qu'une chanson, ce serait The Soft Parade. Le côté théâtral de cette chanson est stupéfiante, on passe d'un univers à un autre avec dans les paroles mêmes, un condensé des thèmes propre à Morrison. Wild Child est une très belle chanson d'amour dédié je pense non pas à Pamela Courson mais à Patricia Connely, une de ces favorites qui initia Morrison à la sorcellerie et avec qui il se maria de manière un peu étrange. Scène reprise il me semble dans le film de Stone avec en fond sonore le Carmina Burana. Une expérience selon Morrison... Dans tous les cas, l'album, malgré toutes les mauvaises critiques est tout de même à la hauteur vu son enfantement. Krieger reste un très bon compositeur et malgré ses textes, loin de la noirceur de Morrison, un peu pop, le groupe a quand même réussi l'impossible au moment des faits, enregistrer un album...
Morrison Hotel: Février 1970
Roadhouse blues
You make me real
Waiting for the sun
Peace Frog
Blue Sunday
Ship of fools
Land Ho!
The spy
Queen of the highway
Indian Summer
Maggie M'Gill
L'album le plus blues que je n'ai jamais entendu. Si je ne devais en choisir qu'un seul, je choisirais celui ci tant il est phénoménal. Mon morceau favori est Maggie MacGill mais je pourrais dire également The Spy ou un opus un peu plus jazzy funky comme Peace Frog. Indian Summer fait partie de mes chansons d'amour préférées et Roadhouse Blues comme un de mes blues faisant parti du patrimoine du genre. N'hésitez surtout pas si vous trouvez cet album.
L.A.Woman: Avril 1971
The Changeling
Love her madly
Been down so long
Cars hiss by my window
L.A.Woman
L'America
Hyacinth House
Crawling King Snake
The WASP (Texas radio & the big beat)
Riders on the storm
Voici l'album posthume du groupe. Terminé alors que Morrison allait se rendre sur Paris et y mourir. On y retrouve Riders... et des petites perles de blues ainsi qu'une reprise, une fois n'est pas coutume, Crawling King Snake. C'est toujours délicat de dire à des gens de choisir tel ou tel album d'un groupe, mais celui ci est à part. La petite anecdote voudra que cet album fut enregistré dans sa majeure partie dans des toilettes (repris par le film également il me semble, à la fin) et que Morrison voulait s'en tenir là. Après, The Doors continuerait peut-être mais sans lui. L'épisode de Miami avait laissé des séquelles (accusé d'outrage aux bonnes moeurs pour avoir soit disant montré sa bite et simulé une masturbation sur scène).
In Concert: 1991
Disc One
House Announcer
Who Do You Love-Medley
Alabama Song (Whisky Bar)
Backdoor Man
Love Hides
Five To One
Build Me A Woman
When The Music's Over
Universal Mind
Petition The Lord With Prayer-Medley
Dead Cats, Dead Rats
Break On Through, #2-The Celebration Of The Lizard
Lions In The Street
Wake Up
A Little Game
The Hill Dwellers
Not To Touch The Earth
Names Of The Kingdom
The Palace Of Exile
Soul Kitchen
Disk Two
Roadhouse Blues
Gloria
Light My Fire (Including: Graveyard Poem)
You Make Me Real
Texas Radio & The Big Beat
Love Me Two Times
Little Red Rooster (Featuring: John Sebastian On Harmonica)
Moonlight Drive (Including: Horse Latitudes)
Close To You
Unknown Soldier
The End
Je n'irai pas par quatre chemins et en quelques mots... Le meilleur album Live jamais écouté. Vous pouvez y retrouver notamment An American Prayer pour ceux que ça intéressent et une version de The End à fleur de peau.
Les autres albums sont moins indispensable, j'entends par là, tous les pirates même si pour le fan ils peuvent être d'un grand intérêt.
Pour le reste, je vous conseille également le coffret sorti il y a quelques années
The Doors Box Set: Octobre 1997
Qui regroupe pas mal d'inédit et de set en live.
CD1:Whithout a safety net
Five to one (Live à Miami)
Queen of the highway (Version Jazz)
Hyacinth House (Demo)
My eyes have seen you (Demo 65)
Who scared you
Black train song (Live à Philadelphie)
End of the night (Demo 65)
Whiskey, Mystics and men
I will never be untrue (Live à Los Angeles)
Moonlight drive (Demo 65)
Moonlight drive (Demo 66)
Rock is dead
Albinoni's Adagio
CD2:Live in New-York (Madison Square Garden: Janvier 1970)
Roadhouse blues
Ship of fools
Peace Frog
Blue Sunday
Celebration of the Lizard
Gloria
Crawling King Snake
Money
Build me a woman
The end
CD3:The future ain't what it use to be
Hello to the cities
Break on through (Festival de l'île de whight)
Rock me (Live à Vancouver)
Money (Live à Vancouver)
Someday Soon (Live à Seattle)
Go insane (Demo 65)
Mental Floos
Summer's almost gone (Demo 65)
Adolph Hitler (Liveà Boston)
Hello, I love you (Demo 65)
Crystal ship (Live au Matrix)
I can't see your face in my mind (Live au Matrix)
The Soft Parade (PBS TV)
Thrightrope ride
Orange country suite
CD3:Band Favorite
Light my fire
Peace Frog
Whishful Sinful
Take it as it comes
L.A.Woman
I can't see your face in my mind
Land Ho!
Yes, the river knows
Shaman'blues
You're lost little girl
Love me two times
When the music's over
The unknown soldier
Wild child
Riders on the storm ...
Et... Bien sûr, un 33tour d'époque recherché de tous... An American Prayer que l'on peut trouver également en Cd, mais bcp plus facilement, qui regroupe quelque écrits enregistrés à l'occasion de son anniversaire dans un studio accompagné d'une bonne bouteille de bourbon...
On peut y découvrir non seulement la voix éffacé de l'auteur mais également quelques morceaux arrangé post mortem par le reste du groupe. Stone utilisera un morceau et l'adagio d'Albinoni pour son film. Pour la petite histoire, j'ai trouvé l'album d'époque dans une foire au disque pour 250 frs à l'époque. Depuis, une réédition est en vente en cd et en vinyl il me semble mais datée des années 90.
Pour les écrits de Morrison, qui peuvent en effrayé certains, on y trouve de tout, surtout en collection 10/18.
Seigneurs et nouvelles créatures: James Douglas Morrison - Poésie
Bilingue - 10/18 - 1219
Une Prière Américaine: James Douglas Morrison - Textes de chansons - Poésie
Bilingue - 10/18 - 1714
Wilderness: James Douglas Morrison - Poésie
Bilingue - 10/18 - 2273
La nuit Américaine: James Douglas Morrison
Bilingue - 10/18 - 2526
Arden Lointain:James Douglas Morrison
Bilingue - 10/18 - 2306
Si vous voulez une bonne biographie, je ne saurais trop vous conseiller
Personne ne sortira d'ici vivant:Hopkins/Sugerman
10/18 - 2241 - Biographie de Morrison
Après deux albums anodins, Other Voices (1971) et Full Circle (1972), le groupe arrêta de se produire hormis en solo. Morrison est mort le 3 juillet 71 à Paris et repose au Père Lachaise, division 6.
Ce personnage me manque aujourd'hui.
J'éditerai au fur et à mesure de mes souvenirs...
- The Best of The Doors - Compilation - 1985 - Elektra / Asylum Records
Break On Trough (To The Other Side)
Light My Fire
The Crystal Ship
People Are Strange
Strange Days
Love Me Two Times
Five To One
Waiting For The Sun
Spanish Caravan
When The Music's Over
Hello, I Love You
Roadhouse Blues
L.A. Woman
Riders On The Storm
Touch Me
Love Her Madly
The Unknown Soldier
The End -
Je sais que ce n'est pas le meilleur moyen de commencer (par un best of) mais disons que ça me donnait une idée du reste. C'est la seule fois dans ma vie où j'avais envie de reécouter le disque en boucle. Ce fut un signe. La première chanson qui me vient à l'esprit est Riders on the Storm qui reste et restera je pense ma chanson préféré parmi toutes. Cette chanson est un véritable bijoux d'un point de vue mélodique et de ses arrangements fait sur le tard. La dernière à proprement dite du groupe et la plus étrange. Disons que pour moi, c'est la plus représentative du groupe.
Ensuite, j'ai découvert les albums un par un mais en commençant par un morceau qui existe dans la version double de la bo de Apocalipse Now (peut-être également dans la version simple). Pendant The End, on peut entendre les gémissement de Morrison de façon plus audible (Kill the pigs...) que dans la version LP de l'album eponyme du groupe.
The Doors: Janvier 1967
Break On Through
Soul Kitchen
The Crystal Ship
Twentieth Century Fox
Alabama Song (Whisky Bar)
Light My Fire
Back Door Man
I Looked At You
End Of The Night
Take It As It Comes
The End
Voilà comment j'ai appris l'existence de Bertold Brecht... Alabama Song est un petit interlude qui prend toute sa dimension en live (j'y reviendrai). En fait, à travers Morrison, je me suis fait ma petite culture personnelle au milieu des Céline (End of the Night) et des Kerouac et j'en passe. J'ai découvert en même temps ses écrits (j'y reviendrai encore...). A noter que la chanson la plus populaire du groupe, à savoir Light my Fire fut écrite, une fois n'est pas coutume par Robbie Krieger, guitariste très inspiré du quartet. Le texte est plutôt facile, loin de la tourmente de Morrison mais ce morceau est tout de même anthologique de part sa carrière et de son impact. Je me souviens avoir lu un texte narrant le bordel mis par Morrison lors d'un Saturday Night à propos de Get much Higher (planer) qui devait être changé si le groupe voulait chanter cette chanson. Que nenni, c'était sans connaître la fougue du groupe...
Strange Days: Octobre 1967
Stange days
You're lost little girl
Love me two times
Unhappy Girl
Horse Latitudes
Moonlight drive
People are strange
My eyes have seen you
I can't see your face in my mind
When the music's over
Dans la continuité du premier, le deuxième opus du groupe. Pour la plupart, les textes et la musique furent composés bien avant l'enregistrement. Le groupe faisait déjà pas mal de concert avec une quantité non négligeable de morceaux avant de se faire repérer au Whisky à Gogo à LA par Elektra et surtout Paul Rotchild.
Mes morceaux favoris de cet opus sont Unhappy Girl et When The Music's Over.
Waiting for the sun: Juillet 1968
Hello, i love you
Love Street
Not to touch the earth
Summer's almost gone
Wintertime Love
The unknow soldier
Spanish Caravan
My Wild Love
We could be so good together
Yes, the river knows
Five to one
Aah cet album et cette chanson Not To touch The Earth... Il n'y a que du bon dans cet album et je pense, le plus accessible aux novices. Mais c'est aussi la période où Morrison commence à déconner grâve avec la dope et le reste. Ce qui fera naître l'album suivant dans la douleur et loin de l'atmosphère du groupe car composé en partie par Krieger.
The Soft Parade: Juillet 1969
Tell all the people
Touch me
Shaman's blues
Do it
Easy ride
Wild Child
Runnin'blue
Whishful Sinful
The Soft Parade
Si je ne devais retenir qu'une chanson, ce serait The Soft Parade. Le côté théâtral de cette chanson est stupéfiante, on passe d'un univers à un autre avec dans les paroles mêmes, un condensé des thèmes propre à Morrison. Wild Child est une très belle chanson d'amour dédié je pense non pas à Pamela Courson mais à Patricia Connely, une de ces favorites qui initia Morrison à la sorcellerie et avec qui il se maria de manière un peu étrange. Scène reprise il me semble dans le film de Stone avec en fond sonore le Carmina Burana. Une expérience selon Morrison... Dans tous les cas, l'album, malgré toutes les mauvaises critiques est tout de même à la hauteur vu son enfantement. Krieger reste un très bon compositeur et malgré ses textes, loin de la noirceur de Morrison, un peu pop, le groupe a quand même réussi l'impossible au moment des faits, enregistrer un album...
Morrison Hotel: Février 1970
Roadhouse blues
You make me real
Waiting for the sun
Peace Frog
Blue Sunday
Ship of fools
Land Ho!
The spy
Queen of the highway
Indian Summer
Maggie M'Gill
L'album le plus blues que je n'ai jamais entendu. Si je ne devais en choisir qu'un seul, je choisirais celui ci tant il est phénoménal. Mon morceau favori est Maggie MacGill mais je pourrais dire également The Spy ou un opus un peu plus jazzy funky comme Peace Frog. Indian Summer fait partie de mes chansons d'amour préférées et Roadhouse Blues comme un de mes blues faisant parti du patrimoine du genre. N'hésitez surtout pas si vous trouvez cet album.
L.A.Woman: Avril 1971
The Changeling
Love her madly
Been down so long
Cars hiss by my window
L.A.Woman
L'America
Hyacinth House
Crawling King Snake
The WASP (Texas radio & the big beat)
Riders on the storm
Voici l'album posthume du groupe. Terminé alors que Morrison allait se rendre sur Paris et y mourir. On y retrouve Riders... et des petites perles de blues ainsi qu'une reprise, une fois n'est pas coutume, Crawling King Snake. C'est toujours délicat de dire à des gens de choisir tel ou tel album d'un groupe, mais celui ci est à part. La petite anecdote voudra que cet album fut enregistré dans sa majeure partie dans des toilettes (repris par le film également il me semble, à la fin) et que Morrison voulait s'en tenir là. Après, The Doors continuerait peut-être mais sans lui. L'épisode de Miami avait laissé des séquelles (accusé d'outrage aux bonnes moeurs pour avoir soit disant montré sa bite et simulé une masturbation sur scène).
In Concert: 1991
Disc One
House Announcer
Who Do You Love-Medley
Alabama Song (Whisky Bar)
Backdoor Man
Love Hides
Five To One
Build Me A Woman
When The Music's Over
Universal Mind
Petition The Lord With Prayer-Medley
Dead Cats, Dead Rats
Break On Through, #2-The Celebration Of The Lizard
Lions In The Street
Wake Up
A Little Game
The Hill Dwellers
Not To Touch The Earth
Names Of The Kingdom
The Palace Of Exile
Soul Kitchen
Disk Two
Roadhouse Blues
Gloria
Light My Fire (Including: Graveyard Poem)
You Make Me Real
Texas Radio & The Big Beat
Love Me Two Times
Little Red Rooster (Featuring: John Sebastian On Harmonica)
Moonlight Drive (Including: Horse Latitudes)
Close To You
Unknown Soldier
The End
Je n'irai pas par quatre chemins et en quelques mots... Le meilleur album Live jamais écouté. Vous pouvez y retrouver notamment An American Prayer pour ceux que ça intéressent et une version de The End à fleur de peau.
Les autres albums sont moins indispensable, j'entends par là, tous les pirates même si pour le fan ils peuvent être d'un grand intérêt.
Pour le reste, je vous conseille également le coffret sorti il y a quelques années
The Doors Box Set: Octobre 1997
Qui regroupe pas mal d'inédit et de set en live.
CD1:Whithout a safety net
Five to one (Live à Miami)
Queen of the highway (Version Jazz)
Hyacinth House (Demo)
My eyes have seen you (Demo 65)
Who scared you
Black train song (Live à Philadelphie)
End of the night (Demo 65)
Whiskey, Mystics and men
I will never be untrue (Live à Los Angeles)
Moonlight drive (Demo 65)
Moonlight drive (Demo 66)
Rock is dead
Albinoni's Adagio
CD2:Live in New-York (Madison Square Garden: Janvier 1970)
Roadhouse blues
Ship of fools
Peace Frog
Blue Sunday
Celebration of the Lizard
Gloria
Crawling King Snake
Money
Build me a woman
The end
CD3:The future ain't what it use to be
Hello to the cities
Break on through (Festival de l'île de whight)
Rock me (Live à Vancouver)
Money (Live à Vancouver)
Someday Soon (Live à Seattle)
Go insane (Demo 65)
Mental Floos
Summer's almost gone (Demo 65)
Adolph Hitler (Liveà Boston)
Hello, I love you (Demo 65)
Crystal ship (Live au Matrix)
I can't see your face in my mind (Live au Matrix)
The Soft Parade (PBS TV)
Thrightrope ride
Orange country suite
CD3:Band Favorite
Light my fire
Peace Frog
Whishful Sinful
Take it as it comes
L.A.Woman
I can't see your face in my mind
Land Ho!
Yes, the river knows
Shaman'blues
You're lost little girl
Love me two times
When the music's over
The unknown soldier
Wild child
Riders on the storm ...
Et... Bien sûr, un 33tour d'époque recherché de tous... An American Prayer que l'on peut trouver également en Cd, mais bcp plus facilement, qui regroupe quelque écrits enregistrés à l'occasion de son anniversaire dans un studio accompagné d'une bonne bouteille de bourbon...
On peut y découvrir non seulement la voix éffacé de l'auteur mais également quelques morceaux arrangé post mortem par le reste du groupe. Stone utilisera un morceau et l'adagio d'Albinoni pour son film. Pour la petite histoire, j'ai trouvé l'album d'époque dans une foire au disque pour 250 frs à l'époque. Depuis, une réédition est en vente en cd et en vinyl il me semble mais datée des années 90.
Pour les écrits de Morrison, qui peuvent en effrayé certains, on y trouve de tout, surtout en collection 10/18.
Seigneurs et nouvelles créatures: James Douglas Morrison - Poésie
Bilingue - 10/18 - 1219
Une Prière Américaine: James Douglas Morrison - Textes de chansons - Poésie
Bilingue - 10/18 - 1714
Wilderness: James Douglas Morrison - Poésie
Bilingue - 10/18 - 2273
La nuit Américaine: James Douglas Morrison
Bilingue - 10/18 - 2526
Arden Lointain:James Douglas Morrison
Bilingue - 10/18 - 2306
Si vous voulez une bonne biographie, je ne saurais trop vous conseiller
Personne ne sortira d'ici vivant:Hopkins/Sugerman
10/18 - 2241 - Biographie de Morrison
Après deux albums anodins, Other Voices (1971) et Full Circle (1972), le groupe arrêta de se produire hormis en solo. Morrison est mort le 3 juillet 71 à Paris et repose au Père Lachaise, division 6.
Ce personnage me manque aujourd'hui.
J'éditerai au fur et à mesure de mes souvenirs...