Attend de voir son remake westernien encore meilleur et toujours réalisé par Walsh : Colorado territory (La fille du désert)Joshua Baskin a écrit :High Sierra
Attention très grand film !!
Un superbe film de gangsters, mais contrairement à un Scarface, ici le héros est fatigué, tente de raccrocher, mais est poursuivi par ses vieux démons et ne peut contrôler ses pulsions. Tour à tour, tendre et attentif puis menacant, Bogart est formidable dans le rôle de Mad Dog Earle.
Visuellement le film est splendide, la photo est parfois poètique (la scène ou Bogart regarde les étoiles avec la jeune fille) et la fin dans les montagnes, tournée en décors réels est très impressionnante.
Grand film.
Raoul Walsh (1887-1980)
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High sierra : 9/10 :
Un excellent polar de Walsh (que je découvre) avec un étonnant Bogart.
Un film qui démarre comme un mélo pour se terminer en un drame.
Bogart est surprenant et vous me contredirez peut-être mais il ne me semble pas avoir déjà vu Bogart rigoler ou du moins sourire comme il le fait dans ce film.
PS : désolé, Joshua mais je ne retrouve plus ton avis sur ce film que tu as vu il n'y a pas longtemps il me semble.
Un excellent polar de Walsh (que je découvre) avec un étonnant Bogart.
Un film qui démarre comme un mélo pour se terminer en un drame.
Bogart est surprenant et vous me contredirez peut-être mais il ne me semble pas avoir déjà vu Bogart rigoler ou du moins sourire comme il le fait dans ce film.
PS : désolé, Joshua mais je ne retrouve plus ton avis sur ce film que tu as vu il n'y a pas longtemps il me semble.
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Colorado Territory (1949)
"High Sierra" façon western.
Un Walsh en mode mineur certes, mais cela suffit largement à mon bonheur. J'eusse été plus satisfait que le grand homme se garde de confondre par moments vitesse et précipitation et souhaité que sa distribution soit moins "juste" - sans pour autant démériter. Tous éléments qui concourent à reléguer l'indispensable aura de tragédie au rang de simple commodité.
Là où il faut nous contenter de Virginia Mayo en métisse de pacotille, ne doutons pas qu'une Rita Hayworth aurait changé la face du film.
Mais je m'en voudrais pas ces menues réserves d'induire le néophyte en erreur. Que la chose soit dite: voilà du cinéma bel et bon, de celui qui fait chaud au coeur!
"High Sierra" façon western.
Un Walsh en mode mineur certes, mais cela suffit largement à mon bonheur. J'eusse été plus satisfait que le grand homme se garde de confondre par moments vitesse et précipitation et souhaité que sa distribution soit moins "juste" - sans pour autant démériter. Tous éléments qui concourent à reléguer l'indispensable aura de tragédie au rang de simple commodité.
Là où il faut nous contenter de Virginia Mayo en métisse de pacotille, ne doutons pas qu'une Rita Hayworth aurait changé la face du film.
Mais je m'en voudrais pas ces menues réserves d'induire le néophyte en erreur. Que la chose soit dite: voilà du cinéma bel et bon, de celui qui fait chaud au coeur!
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Du Walsh en mode mineurLord Henry a écrit :Colorado Territory (1949)
"High Sierra" façon western.
Un Walsh en mode mineur certes, mais cela suffit largement à mon bonheur. J'eus été plus satisfait que le grand homme se garde de confondre par moments vitesse et précipitation et souhaité que sa distribution soit moins "juste" - sans pour autant démériter. Tous éléments qui concourent à reléguer l'indispensable aura de tragédie au rang de simple commodité.
Là où il faut nous contenter de Virginia Mayo en métisse de pacotille, ne doutons pas qu'une Rita Hayworth aurait changé la face du film.
Mais je m'en voudrais pas ces menues réserves d'induire le néophyte en erreur. Que la chose soit dite: voilà du cinéma bel et bon, de celui qui fait chaud au coeur!
Peut -être le plus beau film de sa filmographie
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jeremy je suis tout a fait d'accord avec toi + =Jeremy Fox a écrit :Du Walsh en mode mineurLord Henry a écrit :Colorado Territory (1949)
"High Sierra" façon western.
Un Walsh en mode mineur certes, mais cela suffit largement à mon bonheur. J'eus été plus satisfait que le grand homme se garde de confondre par moments vitesse et précipitation et souhaité que sa distribution soit moins "juste" - sans pour autant démériter. Tous éléments qui concourent à reléguer l'indispensable aura de tragédie au rang de simple commodité.
Là où il faut nous contenter de Virginia Mayo en métisse de pacotille, ne doutons pas qu'une Rita Hayworth aurait changé la face du film.
Mais je m'en voudrais pas ces menues réserves d'induire le néophyte en erreur. Que la chose soit dite: voilà du cinéma bel et bon, de celui qui fait chaud au coeur!
Peut -être le plus beau film de sa filmographie
je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
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Les implacables de Raoul Walsh (VHS Geoffrey Firmin)
J'ai toujours un peu de mal avec le Walsh des années 50 après cette fameuse décennie fougueuse des années 40. J'y prend du plaisir mais trop de nonchalance, trop de lâcheté (peut-être apparente) dans les scénarios font que je ne m'y passionne pas non plus plus que ça.
Les scènes d'ensemble voyant l'avancée du bétail ne font vraiment pas le poids face à celles dans La rivière rouge.
Et pourtant il y avait matière ici encore. Une très bonne première demi-heure dans le Grand Nord, un beau score ample et intimiste à la fois de Victor Young, un très beau scope et 3 acteurs formidables, Robert Ryan mais surtout Clark Gable et Jane Russell dans un de ses meilleurs rôles (quelle sensualité !)
Donc une impression très agréable mais en même temps assez décevante rattrapée in fine par une superbe phrase très respectueuse de Robert Ryan à l'encontre de Ben Allison (Clark Gable).
Mérite une revision en DVD avant de me prononcer définitivement.
J'ai toujours un peu de mal avec le Walsh des années 50 après cette fameuse décennie fougueuse des années 40. J'y prend du plaisir mais trop de nonchalance, trop de lâcheté (peut-être apparente) dans les scénarios font que je ne m'y passionne pas non plus plus que ça.
Les scènes d'ensemble voyant l'avancée du bétail ne font vraiment pas le poids face à celles dans La rivière rouge.
Et pourtant il y avait matière ici encore. Une très bonne première demi-heure dans le Grand Nord, un beau score ample et intimiste à la fois de Victor Young, un très beau scope et 3 acteurs formidables, Robert Ryan mais surtout Clark Gable et Jane Russell dans un de ses meilleurs rôles (quelle sensualité !)
Donc une impression très agréable mais en même temps assez décevante rattrapée in fine par une superbe phrase très respectueuse de Robert Ryan à l'encontre de Ben Allison (Clark Gable).
Mérite une revision en DVD avant de me prononcer définitivement.
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They Drive by Night, Walsh 1940
Film que je ne connaissais pas...et, personnellement, ne suis pas très enthousiaste. C'est quand même bizarre cette séparation en presque deux films et l'argument évoqué dans un des bonus selon lequel le film a été tourné en 5 semaines en respectant la chronologie me laisse rêveur... vu la construction.
Quelques beaux effets de mise en scène, certes, mais qui me donnent l'impression d'être là pour sauver un peu les meubles.
Mention spéciale à Ida Lupino, miroitante et féline, qui par moment, en l'observant avec attention, fait penser à un compromis entre Elisabeth Taylor et Vivien Leigh. C'est ce que je garde de ce film avec la prestation de G.Raft, intéressante.
Film que je ne connaissais pas...et, personnellement, ne suis pas très enthousiaste. C'est quand même bizarre cette séparation en presque deux films et l'argument évoqué dans un des bonus selon lequel le film a été tourné en 5 semaines en respectant la chronologie me laisse rêveur... vu la construction.
Quelques beaux effets de mise en scène, certes, mais qui me donnent l'impression d'être là pour sauver un peu les meubles.
Mention spéciale à Ida Lupino, miroitante et féline, qui par moment, en l'observant avec attention, fait penser à un compromis entre Elisabeth Taylor et Vivien Leigh. C'est ce que je garde de ce film avec la prestation de G.Raft, intéressante.
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Raoul Walsh
Realisateur ne en 1887 a New York.
Debute en tant qu'acteur, notamment chez D.W.Griffith des 1914(il interprete John Wilkes Booth, l'assassin de Lincoln dans "BIRTH OF A NATION") grace auquel il dirige sa premiere realisation "THE LIFE OF GENERAL VILLA" la meme annee relatant la marche reelle de l'armee du celebre General (auquel il se permettra meme de reclamer de retarder certaines executions afin d'avoir suffisament de lumiere)
Realise plusieurs dizaines de films pour la Fox jusqu'en 1933, a partir de 1935 pour Paramount , puis a partir de 1940 a la Warner.
Il s'eteint le 31 Decembre 1980 en Californie.
Raoul Walsh, c'est d'abord une vie toute aussi trepidante que celle des personnages qui jalonnent sa riche carriere.(cf.sa savoureuse autobiographie "UN DEMI SIECLE A HOLLYWOOD" qui se lit comme on regarde ses films : avec delectation )
Au menu de la filmographie Walshienne :truculence, action,rythme endiable, aprete des sentiments, aventures et surtout cette constante decontraction qui lui ressemble tant.
Au dela de ses nombreuses reussites muettes("THE STRONGEST", "THE THIEF OF BAGDAD", "WHAT PRICE GLORY" et d'autres dont une certaine quantite devenu malheureusement trop rare), c'est a partir de son arrivee a la Warner que Walsh deploie tous ses talents.
Mes films preferes de ce realisateur extraordinaire :
-"THEY DIED WITH THEY BOOTS ON" 1941
-"GENTLEMAN JIM" 1942
-"OBJECTIVE BURMA" 1945
-"PURSUED" 1947
-"SILVER RIVER" 1948
-"WHITE HEAT" 1949
-"THE WORLD IN HIS ARMS" 1952
-"SEA DEVILS" 1953
-"BAND OF ANGELS" 1957
-"THE NAKED AND THE DEAD" 1958
Et vous ?
Debute en tant qu'acteur, notamment chez D.W.Griffith des 1914(il interprete John Wilkes Booth, l'assassin de Lincoln dans "BIRTH OF A NATION") grace auquel il dirige sa premiere realisation "THE LIFE OF GENERAL VILLA" la meme annee relatant la marche reelle de l'armee du celebre General (auquel il se permettra meme de reclamer de retarder certaines executions afin d'avoir suffisament de lumiere)
Realise plusieurs dizaines de films pour la Fox jusqu'en 1933, a partir de 1935 pour Paramount , puis a partir de 1940 a la Warner.
Il s'eteint le 31 Decembre 1980 en Californie.
Raoul Walsh, c'est d'abord une vie toute aussi trepidante que celle des personnages qui jalonnent sa riche carriere.(cf.sa savoureuse autobiographie "UN DEMI SIECLE A HOLLYWOOD" qui se lit comme on regarde ses films : avec delectation )
Au menu de la filmographie Walshienne :truculence, action,rythme endiable, aprete des sentiments, aventures et surtout cette constante decontraction qui lui ressemble tant.
Au dela de ses nombreuses reussites muettes("THE STRONGEST", "THE THIEF OF BAGDAD", "WHAT PRICE GLORY" et d'autres dont une certaine quantite devenu malheureusement trop rare), c'est a partir de son arrivee a la Warner que Walsh deploie tous ses talents.
Mes films preferes de ce realisateur extraordinaire :
-"THEY DIED WITH THEY BOOTS ON" 1941
-"GENTLEMAN JIM" 1942
-"OBJECTIVE BURMA" 1945
-"PURSUED" 1947
-"SILVER RIVER" 1948
-"WHITE HEAT" 1949
-"THE WORLD IN HIS ARMS" 1952
-"SEA DEVILS" 1953
-"BAND OF ANGELS" 1957
-"THE NAKED AND THE DEAD" 1958
Et vous ?
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Re: RAOUL WALSH
Réalisateur extraordinaire surtout dans les années 40 en ce qui me concerne :
Ses 5 chefs d'oeuvres (à mon avis)
THEY DIED WITH THEY BOOTS ON 1941
GENTLEMAN JIM 1942
OBJECTIVE BURMA 1945
COLORADO TERRITORY 1949
WHITE HEAT 1949
Ses 5 chefs d'oeuvres (à mon avis)
THEY DIED WITH THEY BOOTS ON 1941
GENTLEMAN JIM 1942
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WHITE HEAT 1949
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Re: RAOUL WALSH
STRAWBERRY BLONDE 1940
THEY DIED WITH THEY BOOTS ON 1941
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OBJECTIVE BURMA 1945
WHITE HEAT 1949
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Re: RAOUL WALSH
fatalitas a écrit :
STRAWBERRY BLONDE 1940
Tu me fais envie là : jamais vu celui-ci
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Réalisateur très prolifique où se côtoie le bon et le mauvais. Parmi sa filmographie, j'extrais 1939,Les Fantastiques Années Vingt (The Roaring Twenties), 1941, La grande évasion (High Sierra), 1941, La Charge Fantastique (They Died With Their Bonis on), 1942, Gentleman Jim, 1945, Aventures en Birmanie (Objective: Burina !), 1948, La rivière d'argent (Silver River), 1949, La fille du désert (Colorado Territory) , 1949, L'enfer est à lui (White Heat), 1951, Capitaine sans peur (Captain Horatio Hornblower)? 1955, Les implacables (The Tall Men).
Toujours pas vu La piste des géants (The Big Trail, 1930).
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