Les Comédies romantiques des années 90 à aujourd'hui

[AtCloseRange]

Suite à la défense enthousiaste l'autre jour de Thaddeus sur Love Actually, je me suis dit que ça serait sympa de recenser vos comédies romantiques préférées depuis les années 90.
J'ai choisi cette date car elle correspond à un certain renouveau du genre notamment du côté des anglais avec 4 Mariages et Un Enterrement.

Pour commencer par les évidentes, j'ai toujours une faiblesse pour Notting Hill même si c'est une machine infiniment calibrée, je dois dire que ça fonctionne à peu près toujours pour moi.
Pour continuer avec Julia, Le Mariage de Mon Meilleur Ami bien sûr (pour Julia, Cameron, Rupert et les chansons de Bacharach).

Pour aller dans des terrains moins (re)connus, je citerais:
Un Jour Peut-être (Definitely Maybe) d'Adam Brooks
Wimbledon (Richard Loncraine) - là encore, territoire ultrabalisé mais les acteurs (et le contexte) font la différence
Hitch était plutôt réussi dans mes souvenirs.
Et une des derniéres réussites serait Last Chance for Love avec Dustin Hoffman et Emma Thompson.

J'en oublie sans doute mais comme je suis plutôt friand du genre, j'attends les conseils de Thaddeus avec impatience

[Jack Griffin]

Je trouve le genre assez imbuvable mais des forumeurs vont certainement sortir des titres que j'ai aimé.
Là je pense à Before Sunset mais c'est peut être pas à classer dans ce genre.

[AtCloseRange]

Ah mais l'imbuvabilité fait aussi le charme de la chose.
C'est un peu du cinéma d'"exploitation" d'une certaine façon

[Grimmy]

Last chance for love avec Dustin Hoffman et Emma Thompson était effectivement une très bonne surprise. Sur le papier, ça n'avait pas l'air bien emballant et puis en fait, grâce à ces deux comédiens (surtout Dustin Hoffman qui trouvait là son meilleur rôle depuis depuis ....heu..) et à un scénario plutot bien écrit, la surprise fut totale.
Plus lointain, j'aime bien aussi Franckie et Johnny, de Garry Marshall, avec Al Pacino et Michelle Pfeiffer. L'ambiance prolo autour du film ajoute une touche d'originalité à cette belle histoire, un rien téléphonée, mais l'interprétation est exceptionnelle (le couple star comme les petits seconds rôles) et les dialoguessont hilarants. C'est tiré d'une pièce de théâtre, je crois.

[jacques 2]

Vraiment pas ma tasse de thé : qui a dit "évidemment" ?

Deux exceptions toutefois :

"The holiday" because Kate Winslet (évidemment) Cameron Diaz et le charme de l'ensemble

Et surtout : "le mariage de mon meilleur ami" que je considère comme un vrai chef d'oeuvre (Et Julia Roberts et Burt Bacharach - que j'idolâtre - n'y sont pas pour peu ...)

[7swans]

Un genre propice aux plaisirs coupables, mes exemples :
Un amour à New York (Serendipity) - Peter Chelsom
Le Porteur de cercueil (The Pallbearer) - Matt Reeves

Un peu de mal avec les GROSSES comédies romantiques, je n'aime pas du tout Julia Roberts ou Cameron Diaz ou zzzzzzzzzz... ça limite.

A suivre...

[Grimmy]

Moi non plus c'est pas ma tasse de thé ! Et The holiday, c'était très très mauvais. Le problème majeur venait d'une grosse erreur de casting : Kate Winslet et Cameron Diaz auraient dû intervertir leurs rôles. Et c'était bien trop long !! Et mal fichu.

[jacques 2]

Moi non plus c'est pas ma tasse de thé ! Et The holiday, c'était très très mauvais. Le problème majeur venait d'une grosse erreur de casting : Kate Winslet et Cameron Diaz auraient dû intervertir leurs rôles. Et c'était bien trop long !! Et mal fichu.

Pas d'accord du tout mais je ne me fâcherais pas avec toi pour si peu ... et du moment que tu ne dis pas de mal de Kate elle même

Ceci dit, faut vraiment être dans le contexte particulier pour apprécier ce genre de film sinon attention au diabète ...

[MrDeeds]

Pas vraiment fan non plus du genre mais j'ai aimé 4 mariages et un enterrement qui ressemble aux com' rom' americaines (quand vont-ils finir ensemble ?, baiser sous la pluie, etc...) mais qui a ce si délectable humour british.
Dans la lignée, il me semble que Coup de foudre à Notting Hill était sympa mais je n'en garde que très peu de souvenirs...

[Flol]

En plus des 2 cités par 7swans (notamment Serendipity, que j'adore), il y en a un autre que j'aime beaucoup, dont j'aime notamment le principe plutôt malin, c'est Sliding Doors de Peter Howitt avec Gwyneth Paltrow.
Et je déteste Julia Roberts, sinon.

[AtCloseRange]

Et je déteste Julia Roberts, sinon.

je n'aime pas du tout Julia Roberts

Vous êtes tous les 2 bannis de mon topic

[Federico]

Wimbledon (Richard Loncraine) - là encore, territoire ultrabalisé mais les acteurs (et le contexte) font la différence

Celui-là, c'est une catastrophe. Je ne l'ai regardé que pour le tennis (j'aurais mieux fait de m'intéresser au curling ) et pour Kirsten Dunst (là, par contre... ).

[locktal]

Rapidement, je citerai (parmi les rom com US ou au moins anglo-saxonnes) :

Pretty woman de Garry Marshall
Coup de foudre à Notting Hill de Roger Michell
Le mariage de mon meilleur ami de P. J. Hogan
Sans Sarah rien ne va de Nicholas Stoller
Lolita malgré moi de Mark Waters
Love actually de Richard Curtis
Punch-drunk love de Paul Thomas Anderson
40 ans toujours puceau de Judd Apatow
(500) jours ensemble de Marc Webb
Love & autres drogues d'Edward Zwick

Sans doute d'autres, encore...

[Federico]

Un genre propice aux plaisirs coupables, mes exemples :
Un amour à New York (Serendipity) - Peter Chelsom
Le Porteur de cercueil (The Pallbearer) - Matt Reeves
Un peu de mal avec les GROSSES comédies romantiques, je n'aime pas du tout Julia Roberts ou Cameron Diaz ou zzzzzzzzzz... ça limite.

Je vais faire comme si je n'avais rien lu parce que tu as cité Le porteur de cercueil, petit film que j'ai la faiblesse de bien aimer.

[Federico]

Pas honte d'avouer le plaisir pas du tout coupable ressenti à la vision de certains de ces films qualifiés parfois avec un dédain macho de "films de gonzesses". Sans doute fais-je partie d'une minorité mais je prends autant mon pied avec Predator qu'avec 4 mariages et un enterrement.
Evidemment, comme l'écrit AtCloseRange, il y a un indéniable aspect "exploitation". C'est un cinéma à recette(s), mais guère plus que 95% de la production. Une recette qui ne fait souvent que reprendre celle des grandes comédies américaines des années 30-40. N'empêche, quand c'est bien foutu, je suis client.
Aux titres déjà cités, j'ajouterai Un jour sans fin (comédie romantique nimbée de fantastique, dans la lignée de ce que faisait René Clair à Hollywood), Mariage à l'anglaise (This year's love 1999) et ses zozos un peu trash de Camden, Garçon d'honneur, Pour le pire et pour le meilleur...