Mosin-Nagant a écrit :
J'ai remarqué que cette nouvelle édition "simple", on a un format plus réduit que celle avec les dvd...
C'est bien aussi, hein. Moins de place sur l'étagère. Mais je ne regrette pas d'avoir la précédente édition pour autant.
Je trouve la mise en page de la première édition beaucoup plus élégante!
Oui moi aussi je trouve, et ça me permet enfin de frimer quand je le lis devant tout le monde dans le train.
Et accessoirement, c'est à peine la 3ème fois que je le lis et c'est toujours aussi génial.
Chip a écrit :ça vaut quoi ? le texte au verso, me semble, plus relever de la légende que de la réalité.
C'est une biographie romancée (qui est un genre que je n'aime pas trop en fait), l'auteur brode sur des agissements de Robert au quotidien en mode présent (de l'indicatif ), genre : "Bob ôte son casque et s'allume une Philip Morris, sans même y penser. Il se retourne vers la cabine de l'ingé son."
Y sont intégrés de vrais faits et situations, plus ou moins connus de sa vie et de sa carrière.
Ce qui me ferait vraiment plaisir c'est que ses ayant droits lâchent le copyright de ses poèmes, même s'il n'a jamais voulu les publier de son vivant.
PS : "l'ingé son" ça me fait bien rire, genre chuis in
Chip a écrit :ça vaut quoi ? le texte au verso, me semble, plus relever de la légende que de la réalité.
J'ai lu celui sur Brando dans la même collection, c'était vraiment sympa mais on est en effet dans la biographie "print the legend" plutôt que dans la bio minutieuse...
J'ai un peu cassé la tirelire, mais le bouquin est superbe...
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
cinephage a écrit :J'ai un peu cassé la tirelire, mais le bouquin est superbe...
Jaloux je suis. Tu l'as eu pour combien ?
166 dollars, plus des frais de port assez conséquents... Glups...
Mais bon, 736 pages, plus de 1600 photos quadrichromes, et puis bon, Rick Baker, quoi... J'ai lu qu'il était très cash sur son parcours, parce qu'étant à la retraite, il n'a plus à ménager les susceptibilités. J'ai hâte de le commencer, ça a l'air assez fabuleux.
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C'est tentant, mais en anglais je ne le lirais jamais...
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky