Roilo Pintu a écrit :The vast of night - Andrew Patterson (2020) : 5/10
Quoi qu'est-ce qu'y a ? C'est trop sombre, c'est ça ?
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Il y a un peu de ça ( ), mais pas que, quand même.
Le film s'appuie un peu trop de clins d'oeil pour rester original, ou d'effet de mise en scène (je suis un peu fatigué de tous ces long plans séquences).L'histoire se suit, mais le film ne m'apporte rien de neuf. Et je rejoins Spongebob qui évoquait le débit mitraillette des persos au début du film qui l'ont un peu fait sortir, c'est également le cas pour moi. Je n'ai jamais voulu aller plus loin avec ses personnages. Je retiens les monologues qui permettent de faire avancer l'histoire et qui épargne le spectateur d'un "trop plein" qu'on voit trop souvent (les producteurs disent merci aussi à Patterson!). Mais c'est insuffisant pour que je retienne ce film ou ai l'envie d'y retourner.
Flol a écrit :Je ne sais plus si je l'ai noté (vu en février) : The Vigil : 6.5/10
J'ai vu la bande annonce et je me suis posé cette question. Peux-t-on dire qu'il est le premier film d'horreur de l'histoire du cinéma ( ) mettant en scène des Juifs très pratiquants?
Il y a eu bien sûr des films fantastiques style Le Dibbouk mais de vrais films d'horreur qui font peur....
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
C'est un petit peu plus compliqué que ça, puisque le personnage principal du film n'est justement plus très croyant et accepte le boulot de "shomer" principalement sous la pression et parce qu'il a besoin de thunes.
En revanche, des films prenant pour cadre les croyances de la communauté juive orthodoxe, il ne doit pas en exister des masses, c'est sûr.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Alexandre Angel a écrit :Et vu ta note, ça a l'air de se laisser voir.
Oui franchement, c'est pas mal du tout. Outre son cadre particulier et original, il y a vraiment tout du long une atmosphère poisseuse et pesante qui fait son petit effet.
Un peu trop d'effets sonores assourdissants, des jumpscares dispensables, mais un vrai sens de la mise en scène.
Ce Keith Thomas est à suivre (paraît-il qu'il bosserait sur une nouvelle adaptation du Charlie de Stephen King).
Après Unorthodox et One of us sur Netflix, c'est la 3e fiction (enfin non, one of us est un documentaire) autour des juifs orthodoxes de Brooklyn que je vois en 3 mois.