phylute a écrit :Très bonne joute Solal / Blackwell... du haut niveau... j'ai rien compris. J'ai eu l'impression de me replonger dans Villa Vortex de Dantec !
Par contre à la fin, quand tout le monde s'est pouillé j'ai tout saisi ! Il y'a encore de l'espoir pour moi...
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Sympa les mecs, à quoi ça a servi que je me casse à mettre des smileys ?
En tout cas, me voilà définitivement décrédibilisé - ça m'apprendra à vouloir ouvrir un peu les horizons du sieur Blackwell. A choisir, je préfèrerais encore être associé à Kurtz.
Sympa les mecs, à quoi ça a servi que je me casse à mettre des smileys ?
En tout cas, me voilà définitivement décrédibilisé - ça m'apprendra à vouloir ouvrir un peu les horizons du sieur Blackwell. A choisir, je préfèrerais encore être associé à Kurtz.
Moi aussi je me considère comme un mystique et les réflexions de Alex me semblent très intéressantes même si je relève aussi les contardictions et parfois la trop grande solennité du ton (à la limite de la suffisance).
Et plutôt que d'écarter la remarque de Cinetudes d'un revers de la mains, je préfère l'amender en donnant mon opinion : le cinéma n'est pas la synthèse de tous les arts mais un art qui part des enseignements et des méthodologies fournis par ces derniers pour acquérir un langage propre.
Et maintenant, si on arrêtait de faire des classements sans objet autre que le goût (c'est mon cinéma qui a la plus grosse... non c'est la musique... vos gueules, c'est la litérrature...)
Roy Neary a écrit :Ca pipeaulogise un max dans le coin.
Moi aussi je me considère comme un mystique et les réflexions de Alex me semblent très intéressantes même si je relève aussi les contardictions et parfois la trop grande solennité du ton (à la limite de la suffisance).
Et plutôt que d'écarter la remarque de Cinetudes d'un revers de la mains, je préfère l'amender en donnant mon opinion : le cinéma n'est pas la synthèse de tous les arts mais un art qui part des enseignements et des méthodologies fournis par ces derniers pour acquérir un langage propre.
Et maintenant, si on arrêtait de faire des classements sans objet autre que le goût (c'est mon cinéma qui a la plus grosse... non c'est la musique... vos gueules, c'est la litérrature...)
Roy Neary a écrit :Ca pipeaulogise un max dans le coin.
Moi aussi je me considère comme un mystique et les réflexions de Alex me semblent très intéressantes même si je relève aussi les contardictions et parfois la trop grande solennité du ton (à la limite de la suffisance).
Au bout du compte on est d'accord sur le fait que les plus grandes oeuvres cinématographiques savent tirer la substantifique moelle des arts dont elle si'nspire ou qu'elle utilise pour effectivement en tirer un language qui leur est propre.
En tout cas merci de ne pas avoir balayé ma remarque d'un revers de la main, merci mon bon, mon magnanime.
Alex, t'a tjs pas répondu à ma proposition c'est oui ou c'est non ou tu veux qu'on en parles.
Cinetudes a écrit :Eh Roy tu joue sur les mots la quand même non ?
Au bout du compte on est d'accord sur le fait que les plus grandes oeuvres cinématographiques savent tirer la substantifique moelle des arts dont elle si'nspire ou qu'elle utilise pour effectivement en tirer un language qui leur est propre.
En tout cas merci de ne pas avoir balayé ma remarque d'un revers de la main, merci mon bon, mon magnanime.
Alex, t'a tjs pas répondu à ma proposition c'est oui ou c'est non ou tu veux qu'on en parles.
Tu veux que j'écrive pour ton site en voie de gestation? Pourquoi pas mais je ne te cache pas qu'en ce moment je ne vis que pour voir une seule chose: la parution de mon livre sur la Nuit du chasseur...
Cinetudes a écrit :
Au bout du compte on est d'accord sur le fait que les plus grandes oeuvres cinématographiques savent tirer la substantifique moelle des arts dont elle si'nspire ou qu'elle utilise pour effectivement en tirer un language qui leur est propre.
Non, nulle logomachie dans le discours de Roy, ta formulation laisse entendre que l'art cinématographique se trouve à al croisée des autres arts pour opérer à une transcendance des langages qui leurs sont propres en n'en retenant justement que la "substantifique moelle", ce que Roy et moi même nous réfutons, puisque le cinéma résulte certes d'un amalgame théorique issu des autres arts, mais cet amalgame ne constitue pas un langage en lui même, constitué comme un "best of", c'est un héritage, détail qui a son importance, qui permet lui la naissance d'un nouveau langage, propre au cinéma, même s'il entretient des rapports de consubstantialité avec d'autres et qu'il n'est pas fermé à l'intrusion nouvelle d'éléments allogènes, issus de l'évolution parallèle des autres arts.
Requiem a écrit :Non, nulle logomachie dans le discours de Roy, ta formulation laisse entendre que l'art cinématographique se trouve à al croisée des autres arts pour opérer à une transcendance des langages qui leurs sont propres en n'en retenant justement que la "substantifique moelle", ce que Roy et moi même nous réfutons, puisque le cinéma résulte certes d'un amalgame théorique issu des autres arts, mais cet amalgame ne constitue pas un langage en lui même, constitué comme un "best of", c'est un héritage, détail qui a son importance, qui permet lui la naissance d'un nouveau langage, propre au cinéma, même s'il entretient des rapports de consubstantialité avec d'autres et qu'il n'est pas fermé à l'intrusion nouvelle d'éléments allogènes, issus de l'évolution parallèle des autres arts.
Cinetudes a écrit :
Au bout du compte on est d'accord sur le fait que les plus grandes oeuvres cinématographiques savent tirer la substantifique moelle des arts dont elle si'nspire ou qu'elle utilise pour effectivement en tirer un language qui leur est propre.
Non, nulle logomachie dans le discours de Roy, ta formulation laisse entendre que l'art cinématographique se trouve à al croisée des autres arts pour opérer à une transcendance des langages qui leurs sont propres en n'en retenant justement que la "substantifique moelle", ce que Roy et moi même nous réfutons, puisque le cinéma résulte certes d'un amalgame théorique issu des autres arts, mais cet amalgame ne constitue pas un langage en lui même, constitué comme un "best of", c'est un héritage, détail qui a son importance, qui permet lui la naissance d'un nouveau langage, propre au cinéma, même s'il entretient des rapports de consubstantialité avec d'autres et qu'il n'est pas fermé à l'intrusion nouvelle d'éléments allogènes, issus de l'évolution parallèle des autres arts.
Mais ceci dit si je me base sur ce que j'ai compris tu n'a effectivement pas tort et je suis plutôt d'accord avec toi m'étant mal exprimé dans mon message.
Le cinéma s'appuie sur les autres arts pour créer son language propre !!
Cinetudes a écrit :Ouh lala mon Requiem que de mots savants !!
Mais ceci dit si je me base sur ce que j'ai compris tu n'a effectivement pas tort et je suis plutôt d'accord avec toi m'étant mal exprimé dans mon message.
Le cinéma s'appuie sur les autres arts pour créer son language propre !!
J'ai bon ?
Stefan
Tu tranches dans le vif mais c'est à peu près ça...
De toute manière il ne s'agit pas de citer à tort et à travers des noms de philosophes pour se créer une pensée. Il est normal que des références puissent être décelées lorsque l'on s'exprime car après tout des penseurs nombreux nous ont précédé.
Néanmoins j'affirme que je pense par moi même et que ce que je dis ne doit pas grand chose à quiconque, voilà, et j'emmerde heidegger aussi bien que hegel. Re voilà.