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Edit2: Et à la petite fille de la pochette de Virgin Killer de Scorpions (10 ans à l'époque), alors là n'en parlons même pas.
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Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
Juste derrière In Utero, que je j'ai de plus en plus apprécié au fil des écoutes, son côté abrasif m'avait un peu rebuté les premières fois.and i swear I don't have a gun
Tiens, c'est moi à la mort de Bowie, ça.Loup Solitaire a écrit : ↑26 août 21, 20:49 Et bonus, la scène en flashback de Six feet under où Nate apprend la mort de Cobain et écoute All apologies
Karras a écrit : ↑5 avr. 19, 15:39 Il y a 25 ans disparaissait Kurt Cobain, leader de Nirvana.
Souvenir du concert des Trans-musicales ou j'ai eu la chance de voir le groupe au début de sa gloire.
https://www.letelegramme.fr/ille-et-vil ... 6RtGFBd.99
Tout à fait sauf que je suis pas du tout passé à côté. Dans les années 2000 il y a aussi eu la déflagration Arcade Fire. Certes c'était plus indé que Nirvana mais ça n'en reste pas moins majeur dans l'histoire du rock. Après Nirvana à la base c'était aussi de l'indé, comme REM.
Grand pote d'ailleurs Michael stipe est le parrain de la fille de Kurt Cobain et c'est lui qui a intronisé Nirvana au rock n' Roll Hall of fame
Oui, la scène américaine autour des Strokes est célébrée dans le livre et dans le documentaire "Meet me in the bathroom" (qui met d'ailleurs beaucoup en avant les Moldy Peaches, comme s'ils étaient la caution "authentique" de l'ensemble). Et voilà. C'est une scène, pas un groupe. Même dans la scène de Seattle, Nirvana a été isolé comme le leader et comme un groupe à part, plus punk, plus direct, moins "Zeppelin" ou "Sabbath". Sur les Strokes seuls, on ne peut pas écrire un livre consistant. Il faut une flanquée de satellites pour rendre ça intéressant.