Hellraiser (1987-2011)

[1kult]

Espérons que ça monte en qualité par la suite...

Ouhla non, c'est plutôt une descente aux enfers qui t'attend (oh oh oh !).
Le pire étant atteint pour moi avec le 8ème opus Hellraiser : Hellworld, un machin aussi ringard que moche qui tourne autour d'une soirée avec des jeunes cons et un jeu vidéo tout moisi.

Je parlais de la suite du troisième épisode. Il y a 15 ans, j'aurais peut-être dévoré la saga, mais là, j'ai des étagères qui dégueulent de titres, donc vais finir cet opus, et m'en contenter...

[reuno]

Pareil, ma préférence est toujours allé vers le second.
Le premier je l'ai revu pas plus que que samedi au festival de Gérardmer. J'ai beaucoup d'estime pour m'a toujours un peu géné par le manque d'apparition des Cénobites ainsi qu'une interprétation et certaines situations/réactions par moment un peu hasardeuses.
Mais bon je chipote, hein... ses qualités restent indéniables.

[Demi-Lune]

Sinon pour m'être refait les 3 premiers il y a quelques mois grâce à Arrow, mon amour pour le second opus a grimpé en flèche, tant il est blindé d'idées visuelles totalement dingues et de délires gores pendant minimum 1 heure.

Il y a quelques séquences qui ont moins bien passé le cap de la révision dans mon cas (notamment la transformation un peu nanarde du méchant à la fin). Mais c'est vrai que c'est un espèce de rollercoaster halluciné où certains moments cheap en côtoient d'autres mémorables.
Le score de Christopher Young est extraordinaire (cette ouverture épique avec les chœurs!).
J'adore cette scène de morgue aux Enfers avec les corps féminins ensanglantés qui se tortillent sous des draps. Qui apparaissent, disparaissent.
Je ne sais pas si tu as vu la version Unrated mais la "naissance" de la belle-mère est particulièrement dégueu.

[Alexandre Angel]

Ça vaut quoi Cabal, du même Clive Barker?

[Flol]

Perso j'adore, bien que la version que l'on connaisse soit totalement tronquée (et ça se sent un peu trop, malheureusement).
Mais le score d'Elfman est dantesque, les créatures sont sublimes, Cronenberg en serial-killer est hyper flippant (rien que son masque fait son petit effet), mais le script est bizarrement construit, notamment sur la fin qui manque d'ampleur et donne le sentiment que tout va beaucoup trop vite. Probablement que le director's cut doit permettre de corriger ça (je l'espère, en tout cas).

[Alexandre Angel]

OK merci!
Je me souviens que j'ai eu envie de le voir à sa sortie (les créatures, je pense, que du maquillage je crois) mais en fait pas vu (ou si, en partie, sur M6, mais ça compte pas).
Je ne cracherais pas sur un dvd ou un br.

[locktal]

OK merci!
Je me souviens que j'ai eu envie de le voir à sa sortie (les créatures, je pense, que du maquillage je crois) mais en fait pas vu (ou si, en partie, sur M6, mais ça compte pas).
Je ne cracherais pas sur un dvd ou un br.

Cabal existe en DVD Zone 2 chez les Trésors Warner :
https://video.fnac.com/a9083031/Cabal-D ... earchpos=1

Par contre il s'agit de la version internationale, coupée donc.

[Alexandre Angel]

[Flol]

OK merci!
Je me souviens que j'ai eu envie de le voir à sa sortie (les créatures, je pense, que du maquillage je crois) mais en fait pas vu (ou si, en partie, sur M6, mais ça compte pas).
Je ne cracherais pas sur un dvd ou un br.

J'essaie justement de pousser le Chat à nous sortir le director's cut dans un beau BR !
http://www.dvdclassik.com/forum/viewtop ... &start=690

[gnome]

Ça vaut quoi Cabal, du même Clive Barker?

C'est cool. D'autant qu'il y a Cronenberg dedans. Mais l'ambiance est différente.

[1kult]

Ouhla non, c'est plutôt une descente aux enfers qui t'attend (oh oh oh !).
Le pire étant atteint pour moi avec le 8ème opus Hellraiser : Hellworld, un machin aussi ringard que moche qui tourne autour d'une soirée avec des jeunes cons et un jeu vidéo tout moisi.

Je parlais de la suite du troisième épisode. Il y a 15 ans, j'aurais peut-être dévoré la saga, mais là, j'ai des étagères qui dégueulent de titres, donc vais finir cet opus, et m'en contenter...

Bon, fini le 3. Moche, artificiel, sans saveur. Un peu plus de peps dans la seconde partie, mais ça pue l'opportunisme de mettre en rayon une sous-marque pour surfer sur le succès du premier. il y a cette séquence où on voit une relative débauche de moyens, lorsque toute la ville est sous les flammes, mais c'est assemblé n'importe comment. Et mon Dieu, ce trauma du père à la guerre...

Une horreur, même si quelques plans sont intéressants (dans l'Eglise, les clous enlevés du crane avec les bestioles...) !

[Arn]

J'ai découvert le 2 ce WE.
Ce concentré de visions de cauchemars Très sympa à ce niveau, le côté gore marche encore très bien aujourd'hui, j'ai vraiment ressenti le côté répugnant, malsain.
Mais à côté de ça je met quand même le premier un cran au dessus, pour l'ambiance principalement, et aussi niveau écriture, le second m'a semblé plus fouillis à ce niveau. Ca fait vraiment "ils veulent plus de cénobites et de gores ? Ils vont être servis !". Y'a presque un côté "too much", même si c'est pas déplaisant non plus

[Outerlimits]

Pareil, ma préférence est toujours allé vers le second.
Le premier je l'ai revu pas plus que que samedi au festival de Gérardmer. J'ai beaucoup d'estime pour m'a toujours un peu géné par le manque d'apparition des Cénobites ainsi qu'une interprétation et certaines situations/réactions par moment un peu hasardeuses.
Mais bon je chipote, hein... ses qualités restent indéniables.

Il y a une scène également bien kitsch dans le film (je me demande comment ils ont pu laisser passer ça au lieu de refaire la prise) : lorsque l'héroïne est poursuivie par le monstre, on voit clairement l'armature à roulettes qui permet de le faire avancer.

[mannhunter]

Pareil, ma préférence est toujours allé vers le second.
Le premier je l'ai revu pas plus que que samedi au festival de Gérardmer. J'ai beaucoup d'estime pour m'a toujours un peu géné par le manque d'apparition des Cénobites ainsi qu'une interprétation et certaines situations/réactions par moment un peu hasardeuses.
Mais bon je chipote, hein... ses qualités restent indéniables.

Il y a une scène également bien kitsch dans le film (je me demande comment ils ont pu laisser passer ça au lieu de refaire la prise) : lorsque l'héroïne est poursuivie par le monstre, on voit clairement l'armature à roulettes qui permet de le faire avancer.

Effectivement, c'est bien voyant, je l"avais remarqué dès le premier visionnage en vhs à l'époque...vu le budget modeste du film, je suppose que Barker n'avait pas assez de temps et d'argent pour une deuxième prise.

[Mosin-Nagant]