C'est peut-être le personnage de Gene Tierney qui impose les lits séparés ? Enfin, j'imagine que le public américain "savait" à quoi s'en tenir - autrement dit qu'il s'agissait bien d'une convention à l'écran - tout simplement en se référant à ses propres habitudes sur le sujet.Supfiction a écrit :La Mère du marié / The Mating Season (1951)
A cet égard, je me suis toujours demandé comment le public de l'époque réagissait à cette énormité du code. Imagine t-on un mari dormir dans un petit lit séparé de son épouse quand celle-ci a l'apparence de Gene TIerney ??? Ce public trouvait-il cela totalement idiot ? N'y faisait-il juste pas du tout attention ou certains croyaient-ils vraiment à ces mœurs étranges ? Bref.
Gene Tierney (1920-1991)
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Re: Gene Tierney (1920-1991)
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Re: Gene Tierney (1920-1991)
Un DVD, please !Supfiction a écrit : La Mère du marié / The Mating Season (1951)
Val, un homme d'origine modeste, épouse en grande pompe Maggie Carleton, une riche héritière. Leur idylle s'annoncerait sous les meilleures auspices si elle ne reposait pas sur un malentendu. Par crainte de se voir opposé une fin de non recevoir, Val a «omis» d'avouer sa piètre condition financière à son épouse. Lorsque la mère de Val se présente pour lui souhaiter ses meilleurs voeux de bonheur, elle est prise pour la nouvelle bonne à la suite d'un malentendu. L'irruption de l'insupportable génétrice de Maggie, très opposée à la mésalliance de sa fille, vient encore compliquer la cohabitation, d'autant qu'un rival éconduit manoeuvre pour reconquérir Maggie....
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Re: Gene Tierney (1920-1991)
Supfiction a écrit :
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Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Gene Tierney (1920-1991)
Alexandre Angel a écrit :Supfiction a écrit :
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Je me suis donné du mal pour l'avoir cette image, je savais qu'elle ferait son petit effet.
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Re: Gene Tierney (1920-1991)
Cette photo dans la cuisine? Elle est affolante. J'en meurs..Supfiction a écrit :Je me suis donné du mal pour l'avoir cette image, je savais qu'elle ferait son petit effet.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Gene Tierney (1920-1991)
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Re: Gene Tierney (1920-1991)
Entièrement d'accord avec ça et un film dont le charme pétillant agit encore longtemps après le générique de fin.bruce randylan a écrit :La mère du marié ( The Mating Season - 1951 )
Une excellente comédie enlevée et irrésistible.
Le scénario à la construction impeccable évoque comment une femme d'origine modeste se retrouve, suite à un quiproquo, à devenir la cuisinière de son propre fils et garder cet emploi pour ne pas gêner sa belle-fille qui ignore son identité. Ce se pimente encore plus comme la mère de la mariée, une bourgeoise hautaine à baffer, vient séjourner dans leurs appartement.
Rythme soutenu, dialogues percutant, situations cocasses, mises en scène tout en élégance et surtout un bien sur casting en or ! Entre Gene Tierney qui aura rarement été aussi fraiche, Miriam Hopkins impayable avec sa méchanceté et ses poses shakespeariennes, John Lund dépassé par les événements et surtout une Thelma Ritter extraordinaire, le spectateur est aux anges et savoure chaque seconde passé avec eux.
Ce sont ces personnages délicieusement humains et cette alchimie entre les touches d'émotion et un rire léger, raffiné et jamais vulgaire qui font de Leisen un réalisateur humble, modeste et chaleureux.
On en viendrait presque à regretter que Gene Tierney n'ait pas davantage été à l'affiche de comédies douces amères comme celle ci et telles que les affectionnait Leo McCarey par exemple.
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Re: Gene Tierney (1920-1991)
En ce mopent, dans toutes les bonnes Fnac :
On aura jamais eu autant de Gene Tierney qu'en ce moment..
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Re: Gene Tierney (1920-1991)
Émission spéciale de Franck Ferrand :
http://www.europe1.fr/emissions/au-coeu ... 17-3521939
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Re: Gene Tierney (1920-1991)
Dana Andrews - Gene Tierney, 4eme !
Après Tobacco Road (1941), Belle Starr (1941), Laura (1944), et avant Where the Sidewalk Ends : The Iron Curtain (1948)
Le dvd sort le 10 Octobre.
https://video.fnac.com/a12793663/Le-Rid ... 663|BL4|L1
Un blu ray existe mais en France il faudra se contenter du dvd.
Après Tobacco Road (1941), Belle Starr (1941), Laura (1944), et avant Where the Sidewalk Ends : The Iron Curtain (1948)
Le dvd sort le 10 Octobre.
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Re: Gene Tierney (1920-1991)
Supfiction a écrit :Dana Andrews - Gene Tierney, 4eme !
Après Tobacco Road (1941), Belle Starr (1941), Laura (1944), et avant Where the Sidewalk Ends : The Iron Curtain (1948)
Le dvd sort le 10 Octobre.
https://video.fnac.com/a12793663/Le-Rid ... 663|BL4|L1
Un blu ray existe mais en France il faudra se contenter du dvd.
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Pour l’avoir vu hier soir (via le BR Signal One, justement), ce n’est pas une grosse perte : à ma grande surprise, le film est une bouse intersidérale.
L’intrigue est linéaire. Il n’y a rien, ni rythme, ni suspens, très peu de développement psychologique, bref, rien qui puisse rendre cette histoire un minimum intéressante. Pire, pendant une grande partie du film, un narrateur à la voix de stentor nous explique ce qui se passe à chaque transition de scène, preuve, s’il en fallait, de l’échec narratif du film.
Dana Andrews est en service (ultra) minimum, la moue pincée de toute la première partie du film étant censée nous montrer qu’il est un vaillant fonctionnaire soviétique méprisant la civilisation capitaliste décadente. Une fois qu’il comprend (en deux scènes) qu’il s’est trompé, il garde la même expression, qui, cette fois, nous montre qu’il a peur.
Gene Tierney n’a pas grand-chose à faire quand elle est là, sinon avoir un regard enamouré (pour son mari Dana Andrews) ou apeuré (quand ils font défection). Elle a fait, évidemment, bien mieux ailleurs sinon on ne parlerait plus d’elle.
Comme il s’agit d’un film de grossière propagande, tout cela est totalement manichéen même si l’on n’est pas un ardent fanatique de l’URSS. Ce ne serait pas un problème si le film n’inspirait pas, très rapidement, un ennui vraiment profond. Du coup, je me réjouirais plutôt de la sortie uniquement en DVD en France : avec le Pal Speed up, le film va passer de 86 à 83 mn et ça, c’est vraiment bien !
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Re: Gene Tierney (1920-1991)
Lionel a écrit :avec le Pal Speed up, le film va passer de 86 à 83 mn et ça, c’est vraiment bien !
Merci de ton retour.
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Re: Gene Tierney (1920-1991)
Merci aussi. Même si je n'attendais pas grand-chose.Supfiction a écrit :Lionel a écrit :avec le Pal Speed up, le film va passer de 86 à 83 mn et ça, c’est vraiment bien !
Merci de ton retour.
Au passage : visuel bien immonde... je me suis demandé qui avait commis cette "chose"... Réponse : "Les Films du Paradoxe". Inconnu(s) au bataillon.
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Re: Gene Tierney (1920-1991)
C'est vrai que les visuels sont vilains.
Il y a ça aussi qui sort en Octobre (vu dans le topic de Feb), jamais vu pour ma part il me semble :
Il y a ça aussi qui sort en Octobre (vu dans le topic de Feb), jamais vu pour ma part il me semble :
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Re: Gene Tierney (1920-1991)
Rings on her fingers (1942). Gene "jeune", je vais me laisser tenter . Le visuel n'est pas excitant, mais il est un peu moins moche que celui du "Rideau de fer".John Holden a écrit :C'est vrai que les visuels sont vilains.
Il y a ça aussi qui sort en Octobre (vu dans le topic de Feb), jamais vu pour ma part il me semble :
Pour "Rideau de fer", la qualité d'image est potable ? (pour savoir si les masters tiennent la route) Merci.
EDIT : et, dis donc... il y a la VO sous-titrée au moins ? (parce qu'Amazon -- qui raconte souvent n'importe quoi -- n'annonce "que" le français !)
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