Cédric Klapisch
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Re: Cédric Klapisch
Peut-être est un film mal-aimé, que pour ma part j'apprécie beaucoup. Poésie, humour et acceptation de soi caractérisent ce film, certes atypique, mais formidablement joué. Sans doute le dernier bon rôle de Belmondo au cinéma...
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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Re: Cédric Klapisch
Allez, je me le programme dans la semainecinephage a écrit :Peut-être est un film mal-aimé, que pour ma part j'apprécie beaucoup. Poésie, humour et acceptation de soi caractérisent ce film, certes atypique, mais formidablement joué. Sans doute le dernier bon rôle de Belmondo au cinéma...
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Re: Cédric Klapisch
Et c'est une sacrée réussite. Un documentaire magnifique !Cathy a écrit :A noter aussi rediffusion cette nuit du portrait d'Aurélie Dupont, étoile de l'Opéra de Paris que Cedric Klapisch a suivi pendant 3 ans, à partir de 3h05 sur France 3
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Re: Cédric Klapisch
Et puis un film utilisant le sublime quintette avec clarinette de Brahms pour sa très belle scène d'amour finale ne pouvait pas être mauvaiscinephage a écrit :Peut-être est un film mal-aimé, que pour ma part j'apprécie beaucoup. Poésie, humour et acceptation de soi caractérisent ce film, certes atypique, mais formidablement joué. Sans doute le dernier bon rôle de Belmondo au cinéma...
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Re: Cédric Klapisch
Aurélie Dupont danse... l'espace d'un instant - (2010)
Aurélie Dupont danse l'espace d'un instant est un travail de cinéaste, la rencontre entre une danseuse et un réalisateur. Pour les balletomanes on pouvait craindre un travail de "vulgarisation", mais il ne s'agit pas du tout de cela, bien au contraire. Ce documentaire s'adresse à eux en premier, ceux qui voient le travail fini sur scène et se demandent ce qui se passe en coulisses. L'important ce sont les répétitions et Klapisch a su justement toucher ces petites choses qui font le croustillant de celles-ci, les petites réflexions des répétiteurs, même si côté balletomane, il est étonnant de voir une Clotilde Vayer donner des conseils aux étoiles, alors qu'elle n'était que première danseuse et n'a abordé quasiment aucun rôle majeur ! Nous ne sommes pas dans le format traditionnel où l'on voit les tracas de l'étoile dans la vie et son rayonnement sur scène comme si de rien n'était. Naturellement il y a ce sentiment bateau de l'humilité de l'artiste face à l'art et de continuel recommencement avec ces ballets que l'on redécouvre à chaque fois, mais il y a quelque chose qui se dégage de ce documentaire.
Le réalisateur a pris le parti d'accorder son importance aux répétitions, et non aux extraits de ballets. Curieusement ceux-ci sont souvent sur une musique différente de celle des ballets que l'on regarde ou alors pas le moment montré, mais les choix sont judicieux et l'entrée en matière sur la variation dite de "la claque" de Raymonda où l'on voit tous les ballets qui seront évoqués dans le documentaire est fort bien réglé. Tout comme l'est celui de la reprise d'Aurélie Dupont, après sa grossesse et ce raccourci de la représentation de Raymonda ou de la Dame aux camélias et ses changements de costumes incessants. Il faut dire que dans le premier acte, elle change trois fois de costumes dans un même mouvement ce qui est montré avec les robes bleue, rouge et blanche. Les quelques paroles d'Aurélie au moment de Raymonda permettront aux spectateurs habitués de savoir pourquoi ils ont été déçus lors de sa reprise, douleur, stress
Klapisch ne sait pas filmer la danse pour le balletomane, mais il sait filmer la sensualité de celle-ci, il est évident qu'il est aidé par les sujets avec le black pas de deux de la Dame aux camélias et le pas de deux du baiser du Parc de Preljocaj. Il réalise aussi de très jolis portraits de la danseuse comme celui d'Aurélie à travers le trône de Raymonda.
C'est aussi à travers le portrait d'Aurélie, celui de Manuel Legris son partenaire de prédilection qui le fut aussi dans la vie au début de sa carrière. Il est intéressant de voir son côté réconfortant avec Aurélie, ses doutes aussi, l'émotion de ses adieux. Anecdotiquement il est drôle de savoir qu'il peut faire des bleus à ses partenaires pour qu'elles ne tombent pas ! C'est l'hommage d'un réalisateur à une danseuse, on pourra reprocher la prise de son lors des répétitions qui ne permet pas de comprendre toutes les réflexions des danseurs, on admirera ce qui aurait pu être un superbe Jean de Brienne dans cette répétition de Mathias Heymann. Il est aussi intéressant de voir Manuel Legris se faire manager pour la reprise du Parc par Laurent Hilaire, alors qu'ils participaient en alternance à la création mondiale du ballet, même si c'est le second qui a créé le rôle aux côtés d'Isabelle Guérin.
Nous sommes dans des moments choisis de la carrière d'Aurélie Dupont, la femme et la danseuse et on est déçu que le documentaire soit si court, tant nous sommes dans un format différent. Le balletomane trouvera sans doute que les extraits de danse pure sont trop courts, surtout quand on apprécie la danseuse étoile. Sans doute aurait-il apprécié de voir le pas de deux du cygne noir sur scène, quand on voit les répétitions de la coda. Il est aussi frustrant de se dire que pour faire ce documentaire d'une heure, Klapisch a passé trois ans à filmer Aurélie Dupont et n'en a conservé que quelques images.
Bref une belle réussite que ce documentaire qui s'adresse aussi bien aux néophytes qu'aux balletomanes avertis. Et cela est assez rare pour qu'on le signale.
Aurélie Dupont danse l'espace d'un instant est un travail de cinéaste, la rencontre entre une danseuse et un réalisateur. Pour les balletomanes on pouvait craindre un travail de "vulgarisation", mais il ne s'agit pas du tout de cela, bien au contraire. Ce documentaire s'adresse à eux en premier, ceux qui voient le travail fini sur scène et se demandent ce qui se passe en coulisses. L'important ce sont les répétitions et Klapisch a su justement toucher ces petites choses qui font le croustillant de celles-ci, les petites réflexions des répétiteurs, même si côté balletomane, il est étonnant de voir une Clotilde Vayer donner des conseils aux étoiles, alors qu'elle n'était que première danseuse et n'a abordé quasiment aucun rôle majeur ! Nous ne sommes pas dans le format traditionnel où l'on voit les tracas de l'étoile dans la vie et son rayonnement sur scène comme si de rien n'était. Naturellement il y a ce sentiment bateau de l'humilité de l'artiste face à l'art et de continuel recommencement avec ces ballets que l'on redécouvre à chaque fois, mais il y a quelque chose qui se dégage de ce documentaire.
Le réalisateur a pris le parti d'accorder son importance aux répétitions, et non aux extraits de ballets. Curieusement ceux-ci sont souvent sur une musique différente de celle des ballets que l'on regarde ou alors pas le moment montré, mais les choix sont judicieux et l'entrée en matière sur la variation dite de "la claque" de Raymonda où l'on voit tous les ballets qui seront évoqués dans le documentaire est fort bien réglé. Tout comme l'est celui de la reprise d'Aurélie Dupont, après sa grossesse et ce raccourci de la représentation de Raymonda ou de la Dame aux camélias et ses changements de costumes incessants. Il faut dire que dans le premier acte, elle change trois fois de costumes dans un même mouvement ce qui est montré avec les robes bleue, rouge et blanche. Les quelques paroles d'Aurélie au moment de Raymonda permettront aux spectateurs habitués de savoir pourquoi ils ont été déçus lors de sa reprise, douleur, stress
Klapisch ne sait pas filmer la danse pour le balletomane, mais il sait filmer la sensualité de celle-ci, il est évident qu'il est aidé par les sujets avec le black pas de deux de la Dame aux camélias et le pas de deux du baiser du Parc de Preljocaj. Il réalise aussi de très jolis portraits de la danseuse comme celui d'Aurélie à travers le trône de Raymonda.
C'est aussi à travers le portrait d'Aurélie, celui de Manuel Legris son partenaire de prédilection qui le fut aussi dans la vie au début de sa carrière. Il est intéressant de voir son côté réconfortant avec Aurélie, ses doutes aussi, l'émotion de ses adieux. Anecdotiquement il est drôle de savoir qu'il peut faire des bleus à ses partenaires pour qu'elles ne tombent pas ! C'est l'hommage d'un réalisateur à une danseuse, on pourra reprocher la prise de son lors des répétitions qui ne permet pas de comprendre toutes les réflexions des danseurs, on admirera ce qui aurait pu être un superbe Jean de Brienne dans cette répétition de Mathias Heymann. Il est aussi intéressant de voir Manuel Legris se faire manager pour la reprise du Parc par Laurent Hilaire, alors qu'ils participaient en alternance à la création mondiale du ballet, même si c'est le second qui a créé le rôle aux côtés d'Isabelle Guérin.
Nous sommes dans des moments choisis de la carrière d'Aurélie Dupont, la femme et la danseuse et on est déçu que le documentaire soit si court, tant nous sommes dans un format différent. Le balletomane trouvera sans doute que les extraits de danse pure sont trop courts, surtout quand on apprécie la danseuse étoile. Sans doute aurait-il apprécié de voir le pas de deux du cygne noir sur scène, quand on voit les répétitions de la coda. Il est aussi frustrant de se dire que pour faire ce documentaire d'une heure, Klapisch a passé trois ans à filmer Aurélie Dupont et n'en a conservé que quelques images.
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Re: Cédric Klapisch
AURELIE DUPONT DANSE... L'ESPACE D'UN INSTANT (France 3)
Attention voici venir le néophyte! C'est la première fois que je me laisse emporter aussi longtemps dans l'univers de la danse et je ne le regrette pas: c'était passionnant et magnifique. Je n'ai pas les clés pour saisir les subtilités de ce documentaire et ma brève analyse adoptera surtout mes impressions, mes découvertes au fur et à mesure du film. Je ne sais donc pas si je suis dans le vrai, mais après tout ce n'est peut-être pas si grave.
Pendant la première moitié du documentaire, c'est un choc: découverte d'un univers, apprivoisement de gestes, observation d'une grâce incarnée. Entre les extraits de spectacles et les tournages des répétitions, je pense essentiellement à une chose: le travail considérable pour en arriver là. Il faut vraiment un mental d'athlète, une concentration extrême, une santé de fer, un corps robuste pour supporter comme cela des années d'apprentissage strict, et certainement dans la douleur. En même temps que je m'extasiais devant ces postures et ces chorégraphies à la légereté presque surnaturelle, je me faisais donc ces réflexions sur ces personnalités fortes et leur volonté incandescente. Ces 25 premières minutes montrent le travail d'entretien, comment ces danseurs et danseuses se livrent quotidiennement à une échauffement matinal, une mise en route pour garder leurs corps dans le tempo des représentations.
Et puis vient la cassure, l'arrêt momentané: Aurélie stoppe sa carrière une année pour avoir un bébé. Pendant quelques minutes, le film raconte son retour au travail, sa lutte pour revenir sur le devant de la scène. On la sent motivée mais le corps a parfois du mal à suivre (les pieds gonflés qui ne rentrent plus dans les chaussures) et la pression augmente. Le talent de la jeune fille, malgré une désinvolture qui pointe parfois quand elle se prépare à entrer en scène, ne faillit jamais: ce sera un triomphe.
Dernier quart d'heure: un making of d'une scène étonnante que Klapisch nous montre en introduction, pendant une représentation. C'est un passage hallucinant du PARC où le couple tourbillonne sur scène, elle étreignant son partenaire sans avoir plus les pieds au sol. Image forte d'un art très physique: il faut être solide mais aussi agile car l'accident n'est jamais loin. Flashback un mois plus tôt: les danseurs et le chorégraphe répètent cette même scène, étudient les possibilités, cherchent le style, tâtonnent pour trouver l'équilibre, la perfection. Passionnant.
Il ne faudrait pas occulter l'hommage à peine voilé que Klapisch semble donner à Manuel Legris, le partenaire de scène (et de carrière) d'Aurélie Dupont. Il partage de nombreuses scènes de répétition, est souvent mis en valeur, et on le voit conclure sa carrière de danseur étoile dans un triomphe mérité. Ce que montre le documentaire, notamment, c'est le rôle indissociable du partenaire de scène dans le spectacle. Si Aurélie Dupont est aussi reconnue, c'est aussi grâce à de tels partenaires qui la portent (au sens propre comme au figuré) au panthéon de son art.
Attention voici venir le néophyte! C'est la première fois que je me laisse emporter aussi longtemps dans l'univers de la danse et je ne le regrette pas: c'était passionnant et magnifique. Je n'ai pas les clés pour saisir les subtilités de ce documentaire et ma brève analyse adoptera surtout mes impressions, mes découvertes au fur et à mesure du film. Je ne sais donc pas si je suis dans le vrai, mais après tout ce n'est peut-être pas si grave.
Pendant la première moitié du documentaire, c'est un choc: découverte d'un univers, apprivoisement de gestes, observation d'une grâce incarnée. Entre les extraits de spectacles et les tournages des répétitions, je pense essentiellement à une chose: le travail considérable pour en arriver là. Il faut vraiment un mental d'athlète, une concentration extrême, une santé de fer, un corps robuste pour supporter comme cela des années d'apprentissage strict, et certainement dans la douleur. En même temps que je m'extasiais devant ces postures et ces chorégraphies à la légereté presque surnaturelle, je me faisais donc ces réflexions sur ces personnalités fortes et leur volonté incandescente. Ces 25 premières minutes montrent le travail d'entretien, comment ces danseurs et danseuses se livrent quotidiennement à une échauffement matinal, une mise en route pour garder leurs corps dans le tempo des représentations.
Et puis vient la cassure, l'arrêt momentané: Aurélie stoppe sa carrière une année pour avoir un bébé. Pendant quelques minutes, le film raconte son retour au travail, sa lutte pour revenir sur le devant de la scène. On la sent motivée mais le corps a parfois du mal à suivre (les pieds gonflés qui ne rentrent plus dans les chaussures) et la pression augmente. Le talent de la jeune fille, malgré une désinvolture qui pointe parfois quand elle se prépare à entrer en scène, ne faillit jamais: ce sera un triomphe.
Dernier quart d'heure: un making of d'une scène étonnante que Klapisch nous montre en introduction, pendant une représentation. C'est un passage hallucinant du PARC où le couple tourbillonne sur scène, elle étreignant son partenaire sans avoir plus les pieds au sol. Image forte d'un art très physique: il faut être solide mais aussi agile car l'accident n'est jamais loin. Flashback un mois plus tôt: les danseurs et le chorégraphe répètent cette même scène, étudient les possibilités, cherchent le style, tâtonnent pour trouver l'équilibre, la perfection. Passionnant.
Il ne faudrait pas occulter l'hommage à peine voilé que Klapisch semble donner à Manuel Legris, le partenaire de scène (et de carrière) d'Aurélie Dupont. Il partage de nombreuses scènes de répétition, est souvent mis en valeur, et on le voit conclure sa carrière de danseur étoile dans un triomphe mérité. Ce que montre le documentaire, notamment, c'est le rôle indissociable du partenaire de scène dans le spectacle. Si Aurélie Dupont est aussi reconnue, c'est aussi grâce à de tels partenaires qui la portent (au sens propre comme au figuré) au panthéon de son art.
"Un film n'est pas une envie de faire pipi" (Cinéphage, août 2021)
- Cathy
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Re: Cédric Klapisch
Je suis contente que tu aies apprécié ce documentaire, en tant que néophyte ! Je le trouve bien plus intéressant que grands nombres de documentaires où on te montre simplement travail à la barre, répétitions et aboutissement sur scène. Il y a naturellement de cela ici, mais c'est conté autrement. Quant à Manuel Legris, c'était tout simplement LE plus grand danseur étoile de l'Opéra de Paris, partenaire inné, musicalité à toute épreuve, et l'ovation de près d'une demi-heure qui a suivi sa dernière représentation d'Onegin fut à la hauteur de son talent. Manuel Legris a joué un peu un rôle de pygmalion dans la carrière d'Aurélie, elle avait le bagage technique nécessaire, mais il l'a façonnée pour qu'elle devienne l'étoile qu'elle est devenue.
Juste une précision, Aurélie à quand même 37 ans, bon elle en avait 34 quand elle a commencé le tournage de ce documentaire, mais ce n'est plus ce que j'appelle une jeune fille ! Il est vrai que les danseuses font jeunes très tard !
Juste une précision, Aurélie à quand même 37 ans, bon elle en avait 34 quand elle a commencé le tournage de ce documentaire, mais ce n'est plus ce que j'appelle une jeune fille ! Il est vrai que les danseuses font jeunes très tard !
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Re: Cédric Klapisch
Je n'ai pas encore 37 ans (je m'en rapproche à grand pas) mais je suis encore jeune!Cathy a écrit :Juste une précision, Aurélie à quand même 37 ans, bon elle en avait 34 quand elle a commencé le tournage de ce documentaire, mais ce n'est plus ce que j'appelle une jeune fille ! Il est vrai que les danseuses font jeunes très tard !
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Re: Cédric Klapisch
Nestor Almendros a écrit :Je n'ai pas encore 37 ans (je m'en rapproche à grand pas) mais je suis encore jeune!Cathy a écrit :Juste une précision, Aurélie à quand même 37 ans, bon elle en avait 34 quand elle a commencé le tournage de ce documentaire, mais ce n'est plus ce que j'appelle une jeune fille ! Il est vrai que les danseuses font jeunes très tard !
Je vous demande de vous arrêter !!
Heureusement que les grands vins sont là pour nous rappeler que verdeur n'est pas vertu ! Non mais quand même...
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2011
et ta crédibilité en prend encore un coup...Watkinssien a écrit :Ma Part du Gâteau = 9/10 !
Klapisch, c'est quand même pas un cinéaste à pouvoir glaner un 9 quelque soit l'affection qu'on a pour lui.
Mais bon, tu fais comme tu veux, tu peux même lui mettre un 12.
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2011
Mais arretez de saper son enthousiasme, bande rabat-joie !... Je ne connais pas Watkinssien mais en visitant ce site assez souvent, j'avais remarqué cet enthousiasme et moi, j'y peux rien, j'adore les gens enthousiastes !!!!AtCloseRange a écrit :et ta crédibilité en prend encore un coup...Watkinssien a écrit :Ma Part du Gâteau = 9/10 !
Klapisch, c'est quand même pas un cinéaste à pouvoir glaner un 9 quelque soit l'affection qu'on a pour lui.
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2011
Je ne suis pas une bande à moi tout seul.MrDeeds a écrit :Mais arretez de saper son enthousiasme, bande rabat-joie !... Je ne connais pas Watkinssien mais en visitant ce site assez souvent, j'avais remarqué cet enthousiasme et moi, j'y peux rien, j'adore les gens enthousiastes !!!!AtCloseRange a écrit : et ta crédibilité en prend encore un coup...
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Mais bon, tu fais comme tu veux, tu peux même lui mettre un 12.
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2011
Pfffffff, tu veux pas changer ton avatar et mettre ça :AtCloseRange a écrit :et ta crédibilité en prend encore un coup...Watkinssien a écrit :Ma Part du Gâteau = 9/10 !
Klapisch, c'est quand même pas un cinéaste à pouvoir glaner un 9 quelque soit l'affection qu'on a pour lui.
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2011
Au contraire, ça ne m'aurait pas choqué que Chacun cherche son chat ou Le péril jeune en récolte un. Klapisch fait partie des jeunes cinéastes français de ces 20 dernières années que j'apprécie le plusAtCloseRange a écrit :Klapisch, c'est quand même pas un cinéaste à pouvoir glaner un 9 quelque soit l'affection qu'on a pour lui.
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2011
et surtout un air de famille qui doit aussi beaucoup au scénario de Bacri/Jaoui.Jeremy Fox a écrit : Au contraire, ça ne m'aurait pas choqué que Chacun cherche son chat ou Le péril jeune en récolte un.