Cédric Klapisch
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Re: Cédric Klapisch
Je suis assez neutre vis-à-vis de Klapisch (j'en aime bien certains, moins d'autres, c'est comme ça), c'est surtout madame qui est enthousiaste à son sujet (il fait visiblement des rares réals qu'elle peut physiquement reconnaitre, avec ici la preuve avec son caméo en début de film, qu'elle a reconnu), donc on ne partait vraiment pas avec des a prioris négatifs.
Mais même elle en est sortie en disant "oué bah je suis pas surprise qu'il n'ait rien gagné aux Césars, c'était quand même pas folichon ni bien palpitant".
Ça m'a fait d'ailleurs penser qu'on n'a toujours pas vu Deux moi (I have a dream that one day, les titres de Klapisch ne seront plus des jeux de mots Libération), mais j'avais oublié que François Civil était le 1er rôle, et sa prestation dans En corps m'a vastement refroidi.
Mais même elle en est sortie en disant "oué bah je suis pas surprise qu'il n'ait rien gagné aux Césars, c'était quand même pas folichon ni bien palpitant".
Ça m'a fait d'ailleurs penser qu'on n'a toujours pas vu Deux moi (I have a dream that one day, les titres de Klapisch ne seront plus des jeux de mots Libération), mais j'avais oublié que François Civil était le 1er rôle, et sa prestation dans En corps m'a vastement refroidi.
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Re: Cédric Klapisch
Il est pourtant très bien dans ce qui nous lie. Tout comme le film. Pas vu encore en corps.
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Re: Cédric Klapisch
En corps n’est pas un grand film certes (et ne méritait vraiment pas ces nominations aux Cesar) mais c’est tout de même un film sympathique devant lequel on peut passer un bon moment. Je ne suis pas fan de François Civil mais je l’ai trouvé plutôt amusant dans la scène du râteau.
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Re: Cédric Klapisch
Moi qui espérais longuement que ce perso ne sombre pas dans un énième professionnel tombant amoureux de sa patiente, ce moment m'a esquissé un poli sourire tant ça ressemblait surtout à un sketch à peine digne de Scènes de ménage (et je passerait outre l'épilogue de son personnage, là encore en pilote automatique, c'est incroyable).Supfiction a écrit : ↑20 mars 23, 19:29Je ne suis pas fan de François Civil mais je l’ai trouvé plutôt amusant dans la scène du râteau.
J'oubliais par contre un détail que j'ai beaucoup aimé : le mixage sonore des séquences dansées, notamment le ballet du début, où le bruit des pas et des mouvements est clairement mis bien plus en avant que ce qu'on entendrait normalement, donnant l'impression d'une intimité avec l'artiste au milieu d'une performance "publique".
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Re: Cédric Klapisch
Deux moi est bien plus intéressant et François Civil y est bien meilleur que dans En corps.tenia a écrit : ↑20 mars 23, 17:55Ça m'a fait d'ailleurs penser qu'on n'a toujours pas vu Deux moi (I have a dream that one day, les titres de Klapisch ne seront plus des jeux de mots Libération), mais j'avais oublié que François Civil était le 1er rôle, et sa prestation dans En corps m'a vastement refroidi.
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Re: Cédric Klapisch
C'est quand même un enfer, les titres de ses films. Les voir tous citer sur cette page, ça me rend leur lecture encore plus pénible.
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Re: Cédric Klapisch
En plus, y a deux CKU (Cedric Klapisch Universe) : les jeux de mots Libération d'un côté, et le running gag Maisons du monde de l'autre. Un vrai One Man Show !
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Re: Cédric Klapisch
Un vrai casse tête chinois tous ses titres j'avoue.
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Re: Cédric Klapisch
Et c’est parti pour Salade Grecque, troisième suite du Xavier Cinematic Universe. P.. déjà dix ans depuis Casse-tête chinois. Et donc on en est désormais au stade de suivre les aventures des enfants de xavier et Wendy (à ce titre ça fait bizarre de redécouvrir Kelly Reilly en Wendy et plus dans le rôle de la garce badass absolue de Yellowstone).
Le premier épisode est l’occasion de revoir également William, le frère de Wendy, ainsi que Tobias dans un Athènes sinistré.
Salade Grecque se veut beaucoup plus politique que les précédents films de Klapisch en confrontant un frere et une soeur aux idées radicalement opposées. On est à ce titre plus souvent dans la lignée de Ma part du gâteau que de la trilogie de l’auberge espagnole beaucoup plus insouciante. La série il est vrai semble trop souvent vouloir être moderne et rattraper le temps perdu en embrassant les grands sujets sociétaux de ces dernières années : metoo, la théorie du genre, la crise migratoire, la crise économique de 2008. Autant de sujets qui n’ont pas été traités dans la trilogie (et pour cause).
Mais l’épisode de Noël voit enfin le retour des anciens et la série bascule alors dans quelque chose de totalement différent. En quelques secondes les excellents Duris, Cecile de France et Kelly Reilly nous ramènent dans l’ambiance originel et plus légère des films et là c’est un peu comme si deux récits se télescopaient.
Le premier épisode est l’occasion de revoir également William, le frère de Wendy, ainsi que Tobias dans un Athènes sinistré.
Salade Grecque se veut beaucoup plus politique que les précédents films de Klapisch en confrontant un frere et une soeur aux idées radicalement opposées. On est à ce titre plus souvent dans la lignée de Ma part du gâteau que de la trilogie de l’auberge espagnole beaucoup plus insouciante. La série il est vrai semble trop souvent vouloir être moderne et rattraper le temps perdu en embrassant les grands sujets sociétaux de ces dernières années : metoo, la théorie du genre, la crise migratoire, la crise économique de 2008. Autant de sujets qui n’ont pas été traités dans la trilogie (et pour cause).
Mais l’épisode de Noël voit enfin le retour des anciens et la série bascule alors dans quelque chose de totalement différent. En quelques secondes les excellents Duris, Cecile de France et Kelly Reilly nous ramènent dans l’ambiance originel et plus légère des films et là c’est un peu comme si deux récits se télescopaient.
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Re: Cédric Klapisch
Très amateur de la trilogie de Cédric Klapisch, cette suite télévisuelle me semblait être une très bonne idée.
Hélas elle se concentre principalement sur les enfants de Xavier et Wendy lors d’une année à Athènes. L’un a un projet de start-up prometteuse, l’autre a abandonné ses études pour travailler dans une association d’aide aux réfugiés.
C'était très mitigé in fine, un brin trop long, un peu trop le cul entre plusieurs sujets de société (la transidentité, les réfugiés de guerre en Grèce, Me-too,...), les personnages ne sont vraiment pas attachants (à quelques exceptions près), et seules les rares parties avec les "vieux" sont vraiment sympas.
D’ailleurs ils ne font souvent que de la figuration dans la moitié des épisodes, à l’exception du très bon 5ème épisode se déroulant à Noël.
Hélas elle se concentre principalement sur les enfants de Xavier et Wendy lors d’une année à Athènes. L’un a un projet de start-up prometteuse, l’autre a abandonné ses études pour travailler dans une association d’aide aux réfugiés.
C'était très mitigé in fine, un brin trop long, un peu trop le cul entre plusieurs sujets de société (la transidentité, les réfugiés de guerre en Grèce, Me-too,...), les personnages ne sont vraiment pas attachants (à quelques exceptions près), et seules les rares parties avec les "vieux" sont vraiment sympas.
D’ailleurs ils ne font souvent que de la figuration dans la moitié des épisodes, à l’exception du très bon 5ème épisode se déroulant à Noël.
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Re: Cédric Klapisch
Je trouve que Aliocha Schneider est plutôt pas mal et s’en sort bien mais évidemment il fait un peu pâle figure par rapport au capital sympathie de Duris (et c’est flagrant dès que ce dernier apparaît, notamment dans l’épisode de Noël). J’ai beaucoup plus de mal avec le personnage de la sœur. En revanche, dans les seconds rôles il y a la petite italienne qui relève le niveau des colocs 2.0.
Dernière modification par Supfiction le 25 avr. 23, 12:47, modifié 1 fois.
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Re: Cédric Klapisch
Oui, suis du même avis, je ne supportais pas la soeur (malgré les galères qu'elle a pu vivre, notamment au cours de la saison), alors que le frère a un côté "verre à moitié plein" positif et donc beaucoup plus attachant. Et l'italienne s'en sort mieux que les autres en effet.Supfiction a écrit : ↑25 avr. 23, 10:10Je trouve que Aliocha Schneider est plutôt pas mal et s’en sort bien mais évidemment il fait un peu pas figure par rapport au capital sympathie de Duris (et c’est flagrant dès que ce dernier apparaît, notamment dans l’épisode de Noël). J’ai beaucoup plus de mal avec le personnage de la sœur. En revanche, dans les seconds rôles il y a la petite italienne qui relève le niveau des colocs 2.0.
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Re: Cédric Klapisch
J'ai vu pour le moment les deux premiers épisodes, et si je trouve ça plutôt sympa, j'ai moi aussi beaucoup de mal avec le personnage de la soeur qui est (pour l'instant en tout cas) sans aucune nuance et à qui j'ai envie de mettre des claques. Même ressenti avec le personnage de Kristos. J'attend de visionner la suite pour me prononcer totalement (je regarde avec mon épouse qui est beaucoup plus fan que moi de la trilogie de Klapisch, donc pas avant ce week-end).
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